🏸 Marine Le Pen Chasse À Courre

leprojet d'arrêté du plan de chasse 2017-2018 prévoitl’autorisation de la chasse à courre, de la chasse à l'arc, la chasse par temps de neige, et continue l'autorisation de la chasse tous les jours de la Je signe. Pétition. Pour que Pierre et Bry An chantent à Jules et Ces'Arts. Auteur : Les Pirates. 113 signatures. Bonjour à tous, Je me permets de vous déranger quelques
Le discours semble être relativement indécis au rassemblement national en ce qui concerne la chasse. Différents élus sur les réseaux sociaux se renvoient un peu la balle, certains élus du RN on même clairement affiché leur soutien à AVA pendant que d’autres affichent leur soutien au monde rural et aux chasseurs. L’avis de quelques élus n’est pour autant pas représentatif de la ligne directrice d’un parti politique tout entier. Nous en savons désormais un peu plus avec la déclaration officielle de Marine Le Pen partagée sur les réseaux sociaux sur le compte de la chaîne LCP. Cette dernière a déclaré qu’elle est, à titre personnel, contre la chasse à courre mais n’est pas opposée à la chasse traditionnelle. À titre personnel, je suis contre la chasse à courre, explique MLP_officiel. Mais je ne suis pas opposée à la chasse traditionnelle. » > Elle promet d’autres propositions sur la protection animale dans le cadre de la campagne présidentielle »DirectAN — LCP LCP March 9, 2021 Une position qui fait fortement penser à une stratégie du en même temps » qui va surement déranger côté chasseurs car le monde rural et le monde de la chasse n’a jamais été aussi solidaire. Conscients qu’après la chasse à la glu et la chasse à courre, c’est la chasse dans son intégralité, la pêche et même aujourd’hui l’équitation qui seront la cible des animalistes.
2021Konbini. Accueil Planète. Présidentielle 2022 : que pensent Marine Le Pen et Emmanuel Macron de la chasse ?
Yannick Jadot, candidat écologiste à la présidentielle de 2022, a proposé il y a quelques jours d’interdire la chasse le week-end et les jours fériés. Cette annonce a été très médiatisée, et très décriée du côté des chasseurs. Ce lundi, Marine Le Pen, candidate pour le parti Rassemblement national, s’est exprimée sur le sujet auprès de BFMTV. Je suis contre l’interdiction de la chasse » Pour la candidate, interdire la chasse le week-end et les jours fériés revient à interdire la chasse tout court. Il croit que les chasseurs ne travaillent pas ? Ça n’a pas de sens. Moi je suis contre l’interdiction de la chasse. Je suis pour que les règles de la chasse soient respectées avec fermeté », a-t-elle affirmé. Interrogée sur la chasse à courre et les chasses traditionnelles, qui ont récemment été interdites par le Conseil d’Etat, elle réagit à titre personnel, il y a des choses qui me heurtent ». Toutefois, interdire la chasse sur les périodes de vacances scolaires ou de week-ends aurait des conséquences sur la vie rurale ». La chasse est primordiale pour la ruralité Pour Marine Le Pen, la chasse c’est aussi toute une organisation, une surveillance du territoire. Si nous n’avions pas les chasseurs, on se rendrait compte ne serait-ce que visuellement des conséquences que ça aurait sur notre pays, les paysages et même l’organisation de la ruralité ». Chasse à courre, chasses traditionnelles ou chasse tout court, la course aux voix ferait-elle changer le discours du Rassemblement national ? Marine Le Pen MLP_officiel se dit "contre l'interdiction de la chasse" — BFMTV BFMTV November 8, 2021
Lachasse à courre est une vieille tradition française que beaucoup voudrait voir disparaître. La chasse à courre c’est une bande de chasseurs aidés d’une meute de chiens, lancés à
La mort, ce samedi 19 février, d’une jeune Aveyronnaise mortellement blessée par une balle perdue lors d’une battue aux sangliers alors qu’elle se promenait sur un chemin balisé relance le débat sur la chasse entre les candidats à la présidentielle. Quelles sont leurs positions ? La mort d’une randonneuse de 25 ans, samedi lors d’une battue aux sangliers dans le Cantal, a replacé le débat sur la chasse au cœur de la campagne électorale pour la présidentielle, plusieurs personnalités politiques réclamant son interdiction le week-end. La jeune Aveyronnaise est décédée samedi après-midi tandis qu’elle se promenait sur un chemin balisé avec son compagnon dans une commune proche d’Aurillac, mortellement blessée par une balle perdue lors d’une battue aux sangliers. Yannick Jadot "Elle avait 25 ans. Une jeune femme est décédée parce qu’elle a été touchée par une balle au cours d’un après-midi de chasse. Pensées à ses proches. Il nous faut plus réglementer cette activité, il y a urgence !", a insisté dès samedi le candidat écologiste à la présidentielle, Yannick Jadot, sur Twitter. Dans l’émission de France 2 Elysée 2022, ce jeudi 17 février, le député européen a évoqué son programme concernant la chasse. Il souhaite que la détention de ce permis soit conditionnée à "un examen médical tous les cinq ans", mais ne plaide pas pour que l’âge minimal pour obtenir un permis de chasse soit élevé. Jean-Luc Mélenchon "Il faut que la chasse ne soit pas possible le week-end et pendant les vacances scolaires, parce que c'est là que le risque serait le plus grand", a réagi le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon dimanche sur France 3. "Deuxièmement, il faut cesser de vendre des armes qui sont aussi puissantes". Dans son programme, Jean-Luc Mélenchon souhaite interdire les pratiques de chasse et de "loisirs" cruelles pour les animaux comme le déterrage, la chasse à courre, les combats de coqs et les spectacles incluant des animaux sauvages. Fabien Roussel "J'en ai un peu marre de ces intellectuels condescendants qui n'arrêtent pas de nous donner des leçons sur nos pratiques, sur nos manières de faire, qui nous disent ce qu'il faut manger et comment il faut conduire", affirmait-il sur Franceinfo en octobre dernier. Et de continuer "Il y a un courant anti-chasse que je ne partage pas, parce que je suis moi-même député d'une conscription rurale [dans le Nord]. Je sais que les chasseurs et la Fédération de chasse participent beaucoup à l'entretien, à la préservation des pâtures avec les agriculteurs". Le candidat communiste est en faveur des chasses traditionnelles, car elles sont "exercées par peu de monde". Et "ne se transmettent pas". "Il y a un sens de l'histoire qui fait que petit à petit, ces pratiques vont disparaître naturellement, et donc il faut laisser faire la vie". Marine Le Pen De son côté, Marine Le Pen considère "que la chasse est une tradition ancestrale et qu’elle doit être maintenue". "Si vous empêchez les chasseurs de chasser le week-end, ils ne pourront pas chasser parce qu’ils travaillent quand même les chasseurs. Donc il faut réussir à trouver le moyen pour que les promeneurs et les chasseurs puissent en toute sécurité profiter de notre domaine extraordinaire", a-t-elle jugé sur France Inter. Éric Zemmour "Je refuse que qui que ce soit vous interdise de chasser ! Je refuse que qui que ce soit s’attaque à la pêche, vous avez des techniques ancestrales, qu’il faut conserver et transmettre. [...] Les vrais amateurs de la nature, c’est vous ! Vous les chasseurs, vous les pêcheurs !", avait lancé le candidat d’extrême droite lors du "grand oral" devant le Mouvement de la ruralité. Éric Zemmour avait également affirmé vouloir un grand ministère de l'agriculture de la protection de l'environnement et de la ruralité". Les vrais écologistes, c'est vous" et pas "les citadins qui veulent des biches comme dans Bambi", avait-il lancé également. Valérie Pécresse La candidate LR appelle à "arrêter de faire la chasse aux chasseurs". Pour elle, ils sont les "premiers amoureux de la nature". "On n'entrave pas la pêche et la chasse qui sont des libertés issues de la Révolution" poursuit-elle. Dans un entretien accordé pour le site spécialisé Valérie Pécresse se prononçait en faveur des chasses traditionnelles. Mais elle a également précisé qu'"il faut éviter toute cruauté inutile vis-à-vis des animaux. Il faut protéger les espèces qui sont en danger. Il me semble que les chasseurs sont les premiers concernés car s’ils les chassent elles disparaîtront." Emmanuel Macron Emmanuel Macron, "président des chasseurs" ? Des ONG avaient critiqué en décembre dernier un décret concernant la chasse à tir, à quelques mois de l’élection présidentielle. Ce décret, publié le 26 décembre dernier, diminue "le délai entre la publication de l’arrêté préfectoral annuel d’ouverture de la chasse à tir et sa prise d’effet de 20 jours à sept jours", selon le Journal officiel. Ils y dénonçaient un "nouveau cadeau du gouvernement aux chasseurs". En novembre dernier, Willy Schraen, le président de la puissante Fédération nationale des chasseurs, avait fait l'éloge du bilan de l'actuel locataire de l'Elysée. "Macron a fait des choses pour la chasse qu'aucun président n'a fait", avait-il estimé. Par ailleurs, il a également divisé par deux le prix du permis de chasse, dès le début de son quinquennat.
Aucours de l'émission, un débat autour de la chasse à courre a été proposé. Pour en parler, Antoine Gallon, directeur de la communication de la Société de Vènerie, et Mathilde Dorbessan

Débats Les éditorialistes du Point Politique Européenne VIDÉO. C'est un témoignage effroyable que livre l'eurodéputée Sophie Montel dans Bal tragique au Front national », après avoir claqué la porte du parti de Marine Le Pen. Je l'ai écrit en guise de solde de tout compte, pour fermer une porte. » Voilà le postulat de départ du livre rédigé par Sophie Montel, militante pendant trois décennies au Front national. Cette porte n'est pas fermée, elle est claquée, de toute force ! L'eurodéputée, passée chez Les Patriotes de Florian Philippot avant de les quitter, raconte son vécu dans les arcanes du Front national devenu le Rassemblement national. Deux mots résument l'ambiance au sein du parti de Marine Le Pen pathétique et amateur. Ils [les électeurs, NDLR] doivent savoir pour qui et pour quoi ils ont voté ou s'apprêtent à voter en approchant et en prenant conscience du grand vide politique, du ridicule, et aussi de la perversion, qui caractérisent structurellement ce parti, peut-être arriverons-nous à faire avancer la France », écrit Sophie Montel, en guise d'introduction à la page Le Pen et Sophie Montel entrent en conflit le 1er mai 2010 lorsque la leader frontiste fait revenir Nicolas Bay dans le premier cercle. Cet ancien proche de Mégret il fut secrétaire général de son mouvement revient en grâce après avoir pilonné le FN pendant des années... La pilule ne passe pas. Montel décrit cette réunion qui se tient à Montretout, le saint des saints, au cours de laquelle Bruno Bilde ancien mégretiste et Louis Alliot opposé à cette idée manquent d'en venir aux mains dans une ambiance où, selon Montel, le niveau d'alcoolémie des invités est élevé...Lire notre grand entretien avec Marine Le Pen LR ne travaille pas et ne produit plus d'idées » J'en ai rien à foutre de Brigitte Bardot ! »Deuxième point de friction la défense des animaux. Sophie Montel en fait son cheval de bataille et crée une association, Belaud Argos. Problème comment combiner la défense du bien-être animal avec la drague électorale du FN en direction des chasseurs ? Brigitte Bardot demande un soutien du FN contre un élu local FN, Marc-Étienne Lansade, qui organise dans la ville de Cogolin dont il est maire un salon de la chasse à courre ». Montel fait remonter la supplique de B. B. à Marine Le Pen, laquelle répondra, selon Montel Vous en avez pas marre d'éplucher les poils de cul des maires FN ? » Avant de conclure J'en ai rien à foutre de Brigitte Bardot ! »Lire aussi notre décryptage Écologie les contradictions de Marine Le PenSophie Montel a été élue conseillère régionale en Bourgogne Franche-Comté en 2015. Elle devient présidente du groupe. La description de ses co-listiers vaut le détour. Des gens déloyaux, incompétents et qui plus est prétentieux », écrit-elle, avant d'énumérer les demandes auxquelles elle doit faire face de leur part. L'un veut des places gratuites dans la tribune VIP du stade Bonal [le stade où joue le FC Sochaux, NDLR] », un autre veut une tablette iPad, un troisième une écharpe d'élu régional, un abonnement à Minute, des coupes gratuites pour les organisations sportives... Et toujours la description d'élus alcoolodépendants qui, lors des séances plénières, sont accoudés au bar gratuit du conseil régional dès 10 heures, Heineken à la main ». Très peu travaillent, selon Montel. L'un disparaît pendant 16 mois. On frise la maladie mentale quand une élue lui confie se servir de son urine comme d'un après-shampoing » et la boire tous les matins » en guise d'urinothérapie ». On comprend mieux l'adage des vieux cadres du mouvement que cite Sophie Montel au début de l'ouvrage Tout le monde n'est pas fou au Front national, mais tous les fous y sont ! »L'affaire des assistants parlementairesL'ensemble pourrait paraître anecdotique si Sophie Montel n'abordait au chapitre Le fric d'abord » l'affaire des assistants parlementaires du Parlement européen. L'accusation est portée sans détour lorsqu'elle décrit une réunion du 4 juin 2014 au cours de laquelle Marine Le Pen briefe les eurodéputés sur les moyens financiers du Parlement européen. Montel rapporte ce propos de la patronne du FN Chacun d'entre vous dispose d'une enveloppe budgétaire pour embaucher ses assistants. Je vous indique donc que vous aurez le choix de recruter par vous-même un assistant et que le reste de votre enveloppe d'assistance parlementaire sera mis à la disposition du mouvement. » L'affaire des assistants parlementaires part de là. L'Olaf [Office européen de lutte contre la fraude] et la justice française seront Montel évoque les raisons de sa rupture avec Florian Philippot au sein des Patriotes. En fait, elle n'a pas supporté que celui-ci décide de se rapprocher de... Geneviève de Fontenay, une personnalité peu sérieuse ». Elle constate ensuite que signature aurait été imitée pour couvrir certaines dépenses. Là encore, l'utilisation des fonds du Parlement européen poserait LIRE AUSSISophie Montel Florian Philippot est un enfant gâté » On me reprochera d'avoir participé à tout cela avec bien d'autres », écrit Sophie Montel dans son introduction. Est-ce que je le regrette ? Comment le pourrais-je ? Mon investissement s'est fait sous le sceau de la franchise, sans vice, avec mes tripes parce que j'y croyais. Ainsi, ai-je toujours dit haut et fort aux instances de ce mouvement ce que je pensais de telle ou telle dérive. » Cette fois, Sophie Montel ne s'est pas contentée de pester, elle a planté la plume dans la plaie... Bal tragique au Front national trente ans au cœur du système Le Pen », de Sophie Montel, éd. du Rocher, 272 pages, 17,9 euros. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Dans les coulisses du FN alcool, cris et chuchotements Que lire, que voir, à quel âge ? 64 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.

Investirdans la valorisation énergétique des déchets. Rétablir la retraite à taux plein à 60 ans avec 37,5 annuités, à 55 ans pour les métiers pénibles. Supprimer le droit du sol et les Cette fois-ci, marine Le Pen a franchi le Rubicon. Elle a déclaré le 9 mars qu’elle était personnellement opposée à la chasse à courre et à certaines chasses cruelles qui ne sont plus admises par les français ». Attaquer une chasse, c’est attaquer toute la chasse. Je suis opposée à la chasse à courre mais pas aux chasse traditionnelles »... mais madame Le Pen, la vénerie est une des plus traditionnelles des chasses, vous ne maîtrisez apparemment pas le sujet. Cette déclaration a néanmoins le mérite d’être claire, à défaut d’être cohérente. Nous aussi nous sommes clairs, et nous l’avons toujours dit dans ces colonnes ; attaquer un mode de chasse, c’est attaquer toutes les chasses. Madame Le Pen qui semble n’avoir aucune ligne idéologique précise et stable surfe sur tous les sujets de société qui peuvent lui rapporter quelques voix. Entre les voix des chasseurs et celles des mémères à chats, elle a choisi. Dont acte. Cela ne date pas d’hier. Cela ne date pas d’hier, BFM l’avait déjà remarqué en 2016 En vue de 2017, et dans le cadre de sa stratégie de dédiabolisation, le Front national de l’ère Marine Le Pen drague de manière ostentatoire les amis des animaux. » La défense de la cause animale au sein du RN a conduit le parti a créer en 2016 un collectif Bélaud-Argos. Bélaud comme le chat du poète Joachim du Bellay et Argos comme le chien d’Ulysse. Le collectif est dirigé par l’euro-députée Sophie Montel et a reçu le soutien de Brigitte Bardot. Lors de la présentation du collectif, Sophie Montel avait promis qu’il n’y aurait aucun sujet tabou », citant comme objet des propositions futures la corrida, le gavage des oies et des canards, la chasse . Faut-il rappeler aux afficionados que Marine Le Pen a voté en tant qu’euro-députée un amendement visant à supprimer le financement européen des corridas ? N’étant plus à une contradiction près, Marine Le Pen déclarait à la même période La chasse a joué un rôle clef dans notre destin et elle dépasse la fonction purement alimentaire. Elle est même un vrai morceau de patrimoine un art de vivre, un concentré de traditions, indispensables à la préservation de la ruralité et à la régulation de la faune, tout en respectant la flore. C’est aussi une tradition populaire fortement ancrée dans notre pays. » Il faudrait savoir madame Le Pen, vous êtes donc maintenant opposée à la défense du patrimoine, de l’art de vivre et des traditions françaises ? Comment s’y retrouver dans ces déclarations à géométrie variable, dans ces prises de position souvent contradictoires ? Nous notions déjà il y a peu de temps les déclarations de deux cadres du RN à propos de la vénerie. quele déterrage et la chasse à courre. Interdire la chasse le week-end et lors des vacances. Jean-Luc Mélenchon. 1. Interdire la chasse à courre. Nathalie Arthaud. 1. Position plutôt pro
Arnaud Dumontier avait pris des dispositions pour imposer des limites aux veneurs dans l’agglomération. La fédération de chasse avait saisi la justice. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1,59€/semaine. Sans engagement de durée. En profiter Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Connectez-vous
📹 On va s'en sortir tous ensemble, parce que la France a des atouts incroyables et parce que le peuple a les capacités de retrouver la prospérité, la sécurité, son identité. #Elysée2022”
Marine Le Pen a évoqué l’insécurité et son combat contre les éoliennes lors d’un déplacement, samedi, pour soutenir ses candidats aux élections. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1,59€/semaine. Sans engagement de durée. En profiter Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Connectez-vous
MarineLe Pen soutient la chasse de loisir Agir ! Interpellez-la Click & Tweet Click & Mail Click & Comment Après s'être déclarée contre la chasse à courre et certaines formes de Accidents de chasse, chasse à courre, prix du permis de chasse… Comment se positionnent les deux vainqueurs du premier tour de l’élection présidentielle vis-à-vis de cette pratique débattue ? Si leurs programmes ne sont pas très développés à ce sujet, c’est dans leurs prises de parole qu’il faudra principalement rechercher des indices sur ce qu’ils pourraient mettre en place une fois au Le Pen “n’est pas un dictateur”La candidate du Rassemblement national précise pour sa part dans son programme que ses mesures “n’ont pas pour finalité l’interdiction de la chasse”. Il prévoit la création d’un “nouveau statut civil des animaux”, qui “impliquera une révision générale des réglementations sectorielles destinées à garantir le bien-être animal, afin de limiter au strict minimum nécessaire l’infliction de souffrances”. Celle-ci, précise-t-elle, “sera menée en concertation étroite” avec plusieurs secteurs, dont les associations de outre, dans le cadre de sa volonté de renforcer les peines sanctionnant les infractions commises envers les animaux, elle souhaite créer des sanctions d’interdiction d’exercer certaines activités et cite par exemple la la candidate s’est déjà prononcée plutôt en défaveur de la chasse à courre, elle n’est néanmoins pas du tout un soutien de son interdiction. Lors d’une interview accordée à Chassons TV en mars dernier, cette dernière a déclaré ne pas avoir “le goût de la chasse à courre”, avant d’ajouter “Cette poursuite et la mort de l’animal, ce n’est pas mon goût, mais comme je ne suis pas un dictateur, je n’ai pas vocation à interdire tout ce qui me déplaît.” Et de compléter “Je sais très bien que c’est une chasse ancestrale mais je n’envisage pas de la prohiber, elle a ses adeptes, ses usages, c’est une tradition française, elle ne nuit pas à la conservation des espèces sauvages mais la vénerie est aussi victime de certains de ses propres abus.”Interrogée sur les accidents de chasse, elle a alors indiqué fin février sur Franceinfo qu’elle considérait la chasse comme une “tradition ancestrale” qui doit être “maintenue” et “protégée”. En revanche, elle a déclaré qu’elle voulait qu’il y ait un débat concernant “le partage des forêts domaniales”. Et d’ajouter “Enfin, si vous empêchez les chasseurs de chasser le week-end, ils ne pourront pas chasser parce qu’ils travaillent, donc il faut réussir à trouver le moyen pour que les promeneurs et les chasseurs puissent, en toute sécurité, profiter de notre domaine extraordinaire.”Chargement du twitt...Emmanuel Macron, “le Picard”Dans le programme du président candidat à sa réélection Emmanuel Macron, pas un mot ne figure au sujet de la chasse. Le 30 mars dernier, le président de la Fédération nationale des chasseurs Willy Schraen a annoncé qu’il voterait en faveur d’Emmanuel s’il a indiqué dans une publication Facebook qu’il s’agissait d’un “choix personnel”, il a toutefois justifié son vote en expliquant que sa “logique” était “celle de se positionner dans chaque élection pour la personne qui coche le plus de cases pour notre avenir [comprendre celui des chasseurs’, ndlr]”, arguant “Ce choix, je le fais uniquement dans l’intérêt de la chasse, et soyez sûr qu’à titre personnel, je n’ai rien à y gagner hormis l’incompréhension de certains d’entre nous. J’ai une fois de plus fait passer la chasse avant tout le reste.”À noter également qu’en termes de bien-être animal, le quinquennat du chef d’État s’achève avec un bilan très en demi-teinte. En ce qui concerne strictement la chasse, on se souvient notamment de la baisse du permis de chasse, qui a entraîné une hausse du nombre de demandes de ce même si la chasse à glu, une pratique régulièrement pointée du doigt par les associations de protection animale pour sa cruauté, a toutefois été interdite durant son mandat, c’est parce qu’il fallait que la France se mette “en conformité avec le droit européen”.“Je ne dirais pas que la chasse est une barbarie”, a aussi déclaré Emmanuel Macron dans une récente interview accordée à Brut, avant d’assurer que certaines chasses n’étaient “plus acceptables”, puis de défendre les chasseurs “qui très souvent vivent plus dans la nature que toutes celles et ceux qui leur donnent des leçons”.Enfin, début avril, Emmanuel Macron a adressé un courrier aux chasseurs français dans lequel il donne une idée de ce qui pourrait arriver en cas de réélection. Dans ce dernier, il écrit que la chasse française est une “activité populaire dont le développement doit être soutenu”. Il déclare “Le Picard que je suis sait la place particulière de la chasse dans nos campagnes. Vous êtes motivés par cette passion qui vous conduit à être des acteurs à part entière de la protection de la nature.”Puis ajoute “Sur les chasses traditionnelles, ma position n’a pas varié depuis 2017. […] Pour moi, ces chasses font partie du patrimoine et de l’histoire de nos territoires.” Enfin, au sujet des accidents de chasse, qui font des morts chaque année, il écrit “Il n’a jamais été question d’envisager l’interdiction de la chasse les week-ends et les jours fériés, car la chasse reste une activité populaire.”
Unéquipage de veneurs de l’Oise, dont l’un des membres avait tiré avec son fusil pour abattre un cerf près d’habitations à Morienval le 22 décembre, a été suspendu 15 jours, a-t-on
Alors que l’on ne voyait pas la mère du Rassemblement national RN se positionner contre la chasse, elle a fait une sortie remarquée en mars dernier. A titre personnel, je suis contre la chasse à courre. Un certain nombre de chasses ne sont plus admises par une majorité de Français. Elles expriment une cruauté qui n’est pas nécessaire. Elles relèvent certes de traditions, mais elles heurtent, elles choquent. Mais je ne suis pas opposée à la chasse traditionnelle », expliquait-elle lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale. Propos qui ont du mal à passer chez les chasseurs, mais aussi au sein même du RN. Ce discours revient à prétendre qu’il y aurait les bons et les mauvais chasseurs, camp dont les chasseurs à courre feraient partie. Thierry Coste, conseiller politique de la Fédération nationale des chasseurs, a réagit comme suit L’électeur rural, quand il entend ça, même s’il n’aime pas à titre personnel la chasse à courre, il se dit c’est louche ! … Je pense que c’est une erreur politique. Les têtes de listes du RN aux régionales ont moyennement apprécié ce discours ». Pour lui, s’opposer à la chasse à courre, c’est s’opposer à la chasse tout court. Suite à ce discours, les têtes de liste du RN ne savent plus sur quel pied danser. A l’approche des élections régionales, certains prétendent que ce n’est pas le sujet à aborder, à l’image de Wallerand de Saint Just, trésorier du parti C’est une question importante, mais qui doit être traitée par un candidat à l’élection présidentielle. » La France rurale et la France urbaine semblent encore se tenir tête, et Mme Le Pen a choisi son camp. Suivre la vague verte et s’attacher à l’écologie identitaire décriée par de nombreux chasseurs n’est pas forcément une bonne idée, sauf si le RN veut perdre des voix rurales, sur lesquelles il compte pourtant depuis toujours… Question timing, on repassera. A suivre donc…
BBse félicite qu'un politique, enfin, porte le débat du mal fait aux bêtes sur la place publique. Comme BB, je pense que ce point crucial de l'humanisation des hommes est loin d'être secondaire, accessoire comme on veut se le faire croire. Cette ethique BB se félicite qu'un politique, enfin, porte le débat du mal fait aux bêtes sur la place publique. Comme BB, je
En mars dernier, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale, Marine Le Pen est interrogée sur la chasse. Et la candidate à la présidentielle lâche une petite bombe A titre personnel, je suis contre la chasse à courre. Un certain nombre de chasses ne sont plus admises par une majorité de Français. Elles expriment une cruauté qui n'est pas nécessaire. Elles relèvent certes de traditions, mais elles heurtent, elles choquent. Mais je ne suis pas opposée à la chasse traditionnelle. Pour Marine Le Pen, il y aurait donc les bons et les mauvais chasseurs. Et dans cette dernière catégorie, ceux qui pratiquent la chasse courre. Scandale parmi les lobbyistes de la chasse parmi lesquels Thierry Coste, conseiller politique de la Fédération nationale des chasseurs. Pour lui, s’opposer à la chasse à courre, c’est s’opposer à la chasse tout court. L'électeur rural, quand il entend ça, même s'il n'aime pas à titre personnel la chasse à courre, il se dit c'est louche ! ... Je pense que c'est une erreur politique. Les têtes de listes du RN aux régionales ont moyennement apprécié ce discours. Un malaise que l’on ressent fortement au Rassemblement national. Difficile de faire parler des cadres du parti sur la chasse après les déclarations de Marine Le Pen. Le trésorier Wallerand de Saint Just reconnaît lui-même que le sujet est très délicat. Ce n'est pas vraiment un sujet à aborder dans le cadre des élections régionales. C'est une question importante, mais qui doit être traitée par un candidat à l'élection présidentielle. Il y aurait donc un conflit d’intérêts entre les régionales de 2021, et la présidentielle de 2022. Entre une France rurale et une France urbaine. Et Marine Le Pen semble avoir choisi son camp. En défendant la protection animale, la candidate du Rassemblement national s’inscrit dans une tradition assez ancienne dans sa famille politique selon Christophe Baticle. Il est socio-anthropologue et professeur à l’université de Picardie. Dans l'histoire de l'extrême-droite, les animaux ont été inscrits dans une logique d'êtres moraux. On va trouver une opposition entre une forme d'humanisation de l'animal, et d'animalisation de certaines catégories humaines. Cette déclaration de Marine Le Pen contre la chasse à courre s’inscrit également dans une plus grande prise en compte des questions environnementales par le Rassemblement national. Sous l’impulsion de l’eurodéputé Hervé Juvin, la candidate à la présidentielle s’est récemment convertie à l’écologie identitaire.
Leconstat : En 20 ans plus de 400 morts et 3050 blessés déclarés.Les armes de chasse tuent à plusieurs kilomètres.Selon les sondages issus de divers horizons sur Alors que Valérie Pécresse et plus encore Marine Le Pen ont tenu des positions ambiguës sur la chasse, le candidat de Reconquête a multiplié les signaux en direction de cet électorat convoité. Relevant de nos traditions séculaires au sein de notre ruralité, la chasse véhicule pourtant de nos jours une image parfois mitigée et souvent incomprise par nombre de nos compatriotes. 4 millions de personnes détiennent aujourd’hui le permis en France dont 1,2 millions de chasseurs réguliers, passionnés, amoureux de la nature et de sa conservation, soudés donc autour d’un socle de valeurs communes. Dans ce contexte, les chasseurs représentent un enjeu électoral tant par leur nombre que par les valeurs d’une certaine ruralité et d’une certaine écologie qu’ils incarnent. Les candidats à la présidentielle s’en sont donc logiquement emparés. Dans cette tribune, nous vous proposons donc une revue détaillée des positions de chacun. Nous montrons quel candidat défend le mieux les chasseurs ! 4 millions de personnes détiennent aujourd’hui le permis en France dont 1,2 millions de chasseurs réguliers, passionnés, amoureux de la nature et de sa conservation, soudés donc autour d’un socle de valeurs communes. RÔLE DE LA CHASSE DANS L’ECOSYSTEME RURAL La position actuelle du candidat Macron reste fidèle à son mantra présidentiel du en même temps ». S’il a pu laisser penser qu’il était un défenseur de la chasse, il n’a jamais affirmé clairement le rôle de la chasse dans la régulation de la faune en milieu rural. Il a aussi nommé une anti-chasse revendiquée Barbara Pompili Difficile donc de cerner la véritable perception du Président-candidat sur cette activité. Quant à Eric Zemmour, sa position sur ce thème est connue depuis de nombreuses années et il n’a pas hésité à les rappeler à l’occasion du Congrès de la Fédération Nationale des chasseurs qui s’est tenue le 22 Mars dernier. Se voulant le Président des chasseurs, des pêcheurs, des agriculteurs », il souligne l’incompréhension qui existe aujourd’hui entre des dirigeants urbains et le monde rural. Il reconnaît pleinement le rôle de la chasse dans la régulation de la faune et fait confiance aux chasseurs pour garantir une bonne gestion de la faune sauvage, de la biodiversité et de ses habitats. De plus, il souhaite mettre en place un grand ministère de l’agriculture de la protection de l’environnement et de la ruralité » qui regrouperait l’environnement, l’agriculture, mais aussi la chasse et la pêche, façon de positionner la chasse comme une pratique omniprésente, régulée et contribuant à l’organisation et à la vie de la ruralité ». Marine Le Pen est une animaliste qui clairement laissera les riverains interdire la chasse. Marine Le Pen est une animaliste qui clairement laissera les riverains interdire la chasse. Elle se montre moins hostile à la chasse qu’Emmanuel Macron. PÉRIODE DE CHASSE AUTORISÉE Eric Zemmour souhaite positionner la chasse comme une pratique omniprésente, régulée et contribuant à l’organisation et à la vie de la ruralité » et n’envisage donc pas de restriction de période de chasse autre que celles pré-existantes à son éventuelle élection. Le candidat sortant Emmanuel Macron ne s’est pas prononcé clairement sur sa position concernant les périodes de chasse autorisée. Malgré des signaux perçus comme favorable aux chasseurs, il a nommé une anti-chasse revendiquée Barbara Pompili qui se dit favorable à la réduction des jours autorisés pour cette pratique territoire par territoire ». D’autres souhaitent la limiter très clairement ainsi, Yannick Jadot a par exemple réitéré son souhait ce Dimanche 20 Mars d’interdire la chasse les week-ends et pendant les vacances afin que tout le monde puisse accéder à la nature » laissant entendre qu’elle serait dangereuse pour toute autre activité à proximité. Le candidat Jean-Luc Mélenchon défend la même position. Quant à Valérie Pécresse, son programme n’est pas clair pour les chasseurs. Elle veut aussi ménager les associations animalistes. Sans aller explicitement dans le sens des candidats hostiles à la chasse, mais souhaitant ménager les sensibilités, elle évoque la possibilité d’organiser la cohabitation dans les zones les plus urbaines entre chasseurs et promeneurs, c’est ce qu’on fait dans ma région. Dans ma région, les forêts domaniales publiques sont interdites à la chasse le week-end”. L’hypothèse de restriction de période de chasse n’est donc pas taboue chez la candidate LR. Quant à Valérie Pécresse, son programme n’est pas clair pour les chasseurs. Elle veut aussi ménager les associations animalistes. POSITION VIS-À-VIS DES CHASSES TRADIONNELLES Durant son quinquennat, Emmanuel Macron a soutenu les chasses traditionnelles aux oiseaux. Néanmoins, en décembre 2021, les Jeunes avec Macron dévoilent leurs propositions sur la chasse dont l’interdiction de la chasse à courre une pratique moyenâgeuse et barbare » Ambroise Méjean, délégué général des jeunes avec Macron ainsi que l’interdiction des lâchers de gibiers. Difficile donc de décerner une ligne claire de la part du Président-Candidat. Le candidat de Reconquête considère de son côté que la chasse est déjà largement encadrée et que toutes nouvelles concessions aujourd’hui ouvriraient la voie à de nouvelles revendications de plus en plus excessives et restrictives contre la chasse sous toutes ses formes. Aux nouvelles réformes liberticides », il préfère donc faire confiance aux chasseurs et aux organisations qui les représentent pour veiller à une bonne gestion de la faune sauvage, de la biodiversité et de ses habitats. Il souligne également le rôle de la Fédération nationale de la chasse, de l’Office français de la biodiversité et des Fédérations départementales des chasseurs en matière de police de la chasse, de formation et de sécurité, et encourage les nombreuses actions déjà menées. Marine Le Pen se montre plus nuancée même si elle souligne que cette pratique est déjà suffisamment encadrée, elle se dit personnellement opposée à la chasse à courre » Mars 2021 et se montre floue sur sa vision concrète de la chasse. Le candidat de Reconquête considère de son côté que la chasse est déjà largement encadrée et que toutes nouvelles concessions aujourd’hui ouvriraient la voie à de nouvelles revendications de plus en plus excessives et restrictives contre la chasse sous toutes ses formes. Enfin, Valérie Pécresse explique quant à elle qu’elle ne souhaite pas entraver davantage la pêche et la chasse qui sont des libertés issues de la Révolution” Ainsi, la candidate LR s’est prononcée lors d’un échange sur un site dédié à la chasse en faveur des chasses traditionnelles tout en rappelant qu’ “il faut éviter toute cruauté inutile vis-à-vis des animaux » et qu’Il faut protéger les espèces qui sont en danger ». AUTRES RESTRICTIONS Yannick Jadot a réaffirmé vouloir imposer de nouvelles restrictions outre la question de la période de chasse, il souhaite conditionner le permis de chasse à un examen médical tous les cinq ans », relever l’âge d’obtention du permis de chasse ou encore mettre fin à l’agrainage et à la chasse à enclos. CONCLUSION La gauche assume à nouveau à l’occasion de cette élection présidentielle, son hostilité à cette activité omniprésente dans le monde rurale depuis des siècles qu’elle perçoit comme cruelle et dangereuse. Le Candidat sortant Macron a affiché des positions et des décisions rendant difficile de cerner sa véritable vision de cette activité et par conséquent la politique qu’il appliquerait s’il était réélu. Les candidates LR et RN se sont prononcées de façon explicite en faveur de la chasse et de son rôle au sein de l’écosystème rural. Pour autant, aucune des deux n’a fermé la porte à d’éventuelles restrictions supplémentaires au nom de la défense des animaux ou encore de la nécessaire sécurité des promeneurs en milieu rural. A l’inverse, seul le candidat Eric Zemmour a dégagé une vision claire, cohérente et de long terme de la chasse lui reconnaissant un rôle clé dans la régulation de la faune mais l’inscrivant également comme une pratique faisant partie de notre identité, de notre culture et de notre mode de vie elle doit être défendue et même protégée comme élément constitutif de notre patrimoine culturel ». Sans nul doute que les chasseurs apprécieront cette sincérité et cette clarté qui tranche avec tant d’autres candidats dont les convictions sur ce sujet semblent évoluer selon les publics et les modes médiatiques. Aprèsson intervention, la salle n’a pas manqué de l’interroger sur les prises de paroles de Marine Le Pen contre la chasse à courre, le poussant à une clarification. Il a assuré que c’était un malentendu et qu’après explications Marine Le Pen défendait bien tous les modes de chasse. Si tel n’avait pas été le cas, il aurait quitté le parti. HARO SUR LES GRANDS Marine Le Pen et Jean-Marie Le Pen au congrès du Front national à Lyon, le 29 novembre 2014. Entre les deux, la guerre est déclarée. REUTERS/Robert Pratta/Files Rare, violente - d'une rare violence la date du mercredi 8 avril 2015 est une marque sanglante sur la frise de l'histoire du Front national. Ce jour-là, Jacques Brel aurait fêté ses 86 ans l'âge exact d'un Jean-Marie Le Pen vivant et désormais mort. Le 13 avril, ce dernier renonce à être candidat aux régionales en Paca. Du crépuscule, le voilà qui passe à la nuit. L'hallali commence sous un délicieux soleil, très tôt, ce 8 avril. Dès l'aurore, en maître d'équipage de cette chasse à courre politique, Florian Philippot donne le signal sur Twitter "La rupture politique avec JMLP est désormais totale et définitive. Sous l'impulsion de Marine Le Pen, des décisions seront prises rapidement." Le feuilleton des engueulades entre le fondateur du Front national et sa fille chemine-t-il vers sa conclusion tragique, pour un dérapage de trop dans le journal antisémite Rivarol? A se remémorer les remarques d'un très proche de Marine Le Pen, la réponse semble être oui. Dès le mois de janvier 2011, il décrit un Jean-Marie Le Pen "potentiellement nuisible pour sa fille". En juin 2014, au moment de l'affaire dite "de la fournée" promise à Patrick Bruel, il assure "Quelque chose s'est cassé entre les deux." Le mercredi 8 avril 2015, à 9h54, le même conseiller envoie ce SMS "Là, c'est terminé." La suite de la journée lui donne raison. L'entretien secret à RivarolAu fil des minutes, l'actualité politique se tourne vers l'extrême droite, et chaque silence devient si bruyant que l'on devine un ciel proche de l'explosion. Peu avant midi, un éclair, suivi de ce coup de tonnerre le communiqué de presse parricide de Marine Le Pen. Un texte court, dont la lecture de la première phrase suffit pour imaginer l'effroi de son destinataire "Jean- Marie Le Pen semble être entré dans une véritable spirale entre stratégie de la terre brûlée et suicide politique." Le communiqué est rédigé par Marine Le Pen la veille au soir, avant d'être soumis à la relecture de quelques personnes de confiance. Un texte écrit à l'encre de la rage, au sortir d'une après-midi où les Le Pen père et fille auront eu la discussion la plus désagréable de leur existence commune. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Un rendez-vous réclamé, comme souvent, par le plus âgé des deux. En arrivant à 16 heures pétantes au siège du Front national, à Nanterre, Jean-Marie Le Pen prend la direction de l'aile gauche du bâtiment, monte au premier étage et part s'enfermer avec la présidente dans son bureau. Il n'est pas encore question de l'interview à Rivarol - Marine Le Pen n'en connaît pas l'existence - mais des propos sur les chambres à gaz tenus chez Jean-Jacques Bourdin, le 2 avril. Face à sa fille, le Menhir défend sa liberté de parole, lui, l'homme à qui l'on ne donne pas d'ordres, surtout pas celui de regretter. Surpris de se trouver face à une Marine Le Pen remontée comme jamais, le fondateur du FN ne l'informe pas de la parution très prochaine de son interview dans Rivarol. Il a accordé cet entretien secrètement, sans même prévenir son directeur de cabinet. A la fin de la discussion, les portables de Le Pen et de sa fille ne cessent de vibrer. Ils se quittent, et c'est seulement à cet instant que Marine Le Pen découvre les propos de son père dans ce journal, celui qu'elle hait le plus. Mercredi matin, avant que son communiqué soit rendu public, Marine Le Pen multiplie les textos. Elle voyage en Thalys vers Bruxelles, les coups de fil sont compliqués à passer, mais elle veut s'assurer auprès de plusieurs membres du bureau exécutif de son parti que chacun cautionne le texte acide qu'elle s'apprête à livrer à la presse. Pour les dirigeants chargés de faire le service après-vente de la crise, la consigne donnée par Marine Le Pen tient en une phrase "Faites en sorte que ce soit perçu comme un combat politique, et non une lutte personnelle." Marine s'agace de la victimisation de son pèreJean-Marie Le Pen observe l'ébullition dont il est l'ingrédient principal depuis son domicile temporaire d'une banlieue chic de l'Ouest parisien, où l'assureur de sa femme l'a relogé après l'incendie de sa maison, le 26 janvier. Le Pen bouquine "Je ne me suis pas arrêté de vivre!" assure-t-il, reconnaissant tout de même avoir suivi les débats le concernant sur les chaînes d'information continue. Pendant ce temps, son épouse, Jany, pressent que la mer se forme. Elle rédige ce SMS à un ami du couple "Tu viens nous voir à la maison? Pendant ou après la tempête ?" Jean-Marie Le Pen ne possède pas d'accès à Internet sur son téléphone et passe à côté de l'avalanche de messages le lâchant, postés sur les réseaux sociaux par des dirigeants frontistes de tous âges. Dans les phrases, derrière les mots, pointe l'impression que les formules sommeillaient depuis longtemps. Que chacun attendait, trépignant, de pouvoir, enfin, achever "le vieux". Depuis l'autre bout du monde, où il se trouve en vacances, Wallerand de Saint-Just, le trésorier du FN, retweete une déclaration de Florian Philippot évoquant la "réprobation générale" des propos de Le Pen. Le sénateur Stéphane Ravier, le secrétaire général Nicolas Bay, les jeunes, les ralliés de fraîche ou de longue date, tous les responsables frontistes de France, à l'exception de la députée Marion Maréchal-Le Pen, annoncent leur soutien à cette rupture décidée par leur présidente. Laquelle, avec son compagnon, Louis Aliot, en Belgique, multiplie les coups de fil jusqu'à en décharger son smartphone. Elle discute et rediscute avec Florian Philippot, avec son état-major, avec des conseillers comme son ami Philippe Péninque ou Bruno Bilde. Par SMS, son amie d'enfance France Jamet lui fait part de sa tristesse, mais personne ne la désavoue. Avec les uns et les autres, Marine Le Pen commente les commentaires, s'agace de la victimisation de son père. Et impressionne ses interlocuteurs tous usent de qualificatifs qu'ils réutiliseront le lendemain, après que Marine Le Pen eut publiquement acté sa rupture avec son père, au journal de TF 1. Au siège du parti, le 7 avril, père et fille ont eu la conversation la plus désagréable de leur existence DE SAKUTINDès le mercredi, les interlocuteurs de la présidente du Front national décrivent son "sang-froid", louent la force d'une "femme d'Etat". "Sa mission a pris le dessus", s'enflamme l'un de ses visiteurs du soir, après une conversation avec elle. Dans le bureau de Jean-Marie Le Pen, au premier étage de la villa clodoaldienne de Montretout, le directeur de cabinet tient la permanence. Guillaume L'Huillier a connu Marine Le Pen au début des années 2000, quand cette dernière était conseillère régionale d'Ile-de-France. Depuis, il appartient au tout petit cercle qui entoure Jean-Marie Le Pen au quotidien, entre son chauffeur, son majordome, son garde du corps et sa secrétaire. Toute l'après-midi du 8 avril, L'Huillier décroche le téléphone pour éconduire, avec une malice peu dissimulée, les journalistes curieux de savoir ce qu'il advient de son chef. A son domicile, Jean-Marie Le Pen se tient loin de tout combiné. Son portable est sur répondeur toute la journée. Ce mercredi, comme les autres jours, il n'aime pas parler au téléphone. Parce qu'il se croit en permanence sur écoutes, parce qu'il ne se sent pas à l'aise avec cet outil "Je peux d'ailleurs paraître parfois sec, reconnaît-il, mais c'est juste que je préfère discuter en face à face." Ou par écrit vers 17 heures, il envoie au matois Alain Vizier, historique attaché de presse du Front national, un communiqué pour répondre à celui de sa fille. Dans ce parti où la schizophrénie est une maladie bénigne et courante, Vizier s'exécute. A 17h42, les médias découvrent, médusés, le texte d'un Jean-Marie Le Pen prêt, dans cette "crise qui pourrait être grave de conséquences", au mano a mano, appelant chacun à "mesurer ses responsabilités à l'égard de la France, de son peuple". Deux jours plus tard, Le Pen confie "Je ne comprends pas que Marine soit montée sur ses grands chevaux. Je ne suis pas le porte-parole du Front national, je suis le porte-parole de Jean-Marie Le Pen. La présidence d'honneur m'engage? Elle engage surtout à ce que l'on me respecte. Dans cette affaire, je suis l'agressé." "Je ne m'attendais pas à une telle violence"Une "victime" qui va chercher le réconfort en fin de journée, chez ses amis de Radio Courtoisie. Le rendez-vous a été fixé plusieurs semaines auparavant, Le Pen l'honore malgré l'actualité. Henry de Lesquen, président de cette station réactionnaire, l'attend sur le trottoir. A l'intérieur du studio, deux amis sont là pour l'interroger Gérard Marin, un octogénaire ayant fait sa carrière au Figaro, et le marquis Jean-Paul Chayrigues de Olmetta. Ce dernier a dîné avec le couple Le Pen deux jours après l'incendie de leur maison, et se félicite ce jour-là d'accompagner un brûlé de la politique. Le matin même, il a envoyé un texto à Jany pour assurer son époux de son amitié. Au micro de Radio Courtoisie, Jean-Marie Le Pen fait preuve d'une "très grande prudence", comme le relèvent Lesquen et Marin. Hors antenne, il se montre détendu, évoque avec le marquis le cas d'une relation commune vivant dans le Berry et atteinte d'un cancer. Auprès de Marin, il partage un peu de son abattement "Je ne m'attendais pas à une telle violence dans la réaction de ma fille." Bruno Gollnisch est le seul à avoir défendu l'ancien GUAYJean-Marie Le Pen remonte dans sa Citroën C6 et regagne ses pénates. Après le dîner, il regarde un débat sur iTélé, animé par Olivier Galzi, et écoute "avec intérêt" ce que raconte le politologue Jean-Yves Camus. Bruno Gollnisch intervient à son tour sur le plateau. Comme souvent, il est le seul dirigeant du Front à le défendre en pareilles circonstances. "Bruno n'est pas rancunier, commente alors Le Pen. En 2011, je ne l'avais pas soutenu dans sa campagne face à Marine au moment de ma succession. Il y a des gens qui ne sont pas rancuniers, et puis il y a des gens qui ne sont pas reconnaissants..." Le vieux lion encaisse les coups. Il a joué, il a perdu, mais quelle curée! Mener une contre-offensive? Il ne semble pas décidé à se battre. Dès le lundi 13 avril, devançant de quatre jours le bureau politique destiné à la question, le voilà qui annonce renoncer à briguer l'investiture pour les régionales en Paca. Le vendredi 10 avril, au lendemain de l'intervention clinique de sa fille sur TF1, Jean-Marie Le Pen est l'invité de Jean-Michel Aphatie, à 7h50, sur RTL. Il ne se rend pas rue Bayard, mais répond, par téléphone, d'une voix fatiguée. Il est assis sur son lit. Puis se recouche, une fois l'entretien terminé, déjà lassé de ce vacarme. Fait-on la guerre en pyjama ? Tugdual Denis Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux
ActualitéChasse, Actualités Chasse, Chasse en France, Politique Marine Le Pen s’oppose à la chasse à courre. Denis Plat mars 10, 2021 Cette fois-ci, marine Le Pen a franchi le Rubicon. Elle a déclaré le 9 mars qu’elle
Politique Les pro et anti-chasse à courre se livrent à une vraie bataille d'idées au sein du Rassemblement national. A un an de l'élection présidentielle, un consensus devra pourtant être trouvé sur ce sujet sensible. Publié le 21 mars 2021 à 15h13 Chasse “une cruauté qui n'est pas nécessaire” selon Marine le Pen Photo © Jacques Witt/SIPA Divisions au sein du Rassemblement national. Lors d’une conférence de presse dédiée au thème de l’écologie le 9 mars dernier, Marine le Pen avait été interrogée sur la chasse à courre. La présidente du Rassemblement national avait donné sa position sur cette pratique A titre personnel, je suis contre. Un certain nombre de chasses n’arrivent plus à être admises par une majorité de Français, parce qu’elles expriment une cruauté qui n’est pas nécessaire. », avait-elle déclaré, comme le relaye Le Journal du Dimanche ce 21 mars. Ces déclarations avaient eu un important retentissement au sein de la communauté des chasseurs à courre. Sur Facebook, des milliers de commentaires hostiles à Marine le Pen ont afflué, notamment par le biais deux pages réunissant plus de 300 000 personnes. Le 12 septembre 2020 déjà, une centaine de chasseurs s’étaient réunis devant la permanence du député RN Bruno Bilde à Liévin Nord-Pas-de-Calais après que celui-ci avait signé la proposition de référendum d’initiative partagée contre la maltraitance animale lancée par le journaliste anti chasse Hugo Clément. Bataille idéologique Mais ce n’est pas tout. Les membres du parti eux-mêmes se sont déchirés sur le sujet. Un vrai duel s’est créé entre les pro et les anti-chasse à courre. Un débat national qui s’est aussi invité dans les campagnes départementales et régionales, à quelques mois des élections locales. L’un des cadres régionaux a jugé les prises de position de Marine le Pen pas normales », justifiant leur teneur en contradiction avec les lignes du parti » au sein duquel les traditions françaises occupent une place essentielle, indique le JDD. Tête de liste dans les Hauts-de-France, Sébastien Chenu a souhaité apporter son soutien aux chasseurs à courre Le monde de la ruralité de la chasse et de la pêche pourra compter sur moi. » Plus en accord avec la présidente du parti, le maire RN de Fréjus David Rachline avait relayé une vidéo Twitter du collectif Abolissons la vénerie aujourd’hui, le 10 février dernier. Ce mode de chasse, parfois jugé cruel, consiste à prendre les renards et les blaireaux au fond de leur terrier et d’y introduire un chien pour le maintenir avant que le chasseur ne puisse récupérer l’animal avec des pinces. Selon le conseiller régional et président de la fédération de chasse Paul-Henry Hansen-Catta, cette technique ne devrait pas être remise en cause Attaquer la vénerie, c’est attaquer la chasse .. Si la position finale n’était pas claire et qu’elle laissait la possibilité d’une prohibition, des gens comme moi n’auraient rien à faire au RN. », mettait-il en garde, comme le rapporte le Journal du Dimanche. Cette interdiction pourrait faire partie du champ des possibles », selon l’adjoint à la mairie d’Hénin-Beaumont Christopher Szczurek qui déplore que le problème, c’est que certains veulent caricaturer et faire croire que si on doit interdire certaines pratiques, on va finir par interdire toute la chasse. » En attendant de définir une position claire sur le sujet, Marine le Pen a prévu de rencontrer Pierre Rouälle, le président de la Société de vénerie vendredi prochain.
Ilmet en exergue la suppression de la vénerie sous terre, de la chasse à courre et des lâchers. Les idées de Marine Le Pen. La candidate Marine Le Pen, du Front National défend la suppression des fermes à fourrure concernant les visons, chinchillas et lapins élevés pour leurs poils. Elle souhaite l’instauration de plages
Communiqué de Béatrice Roullaud, conseillère régionale d’Ile-de-France. groupe RN, mardi 15 mars - Beaucoup de personnes l’ignorent, mais le Rassemblement National s’intéresse depuis son origine à la cause animale. Il n’a pas attendu, comme la plupart des partis, que ce soit à la mode pour en parler et faire des propositions cette année, les mesures prévues par Marine Le Pen dans son programme de 2022 et consultables sur internet, sont plus innovantes et audacieuses que jamais. Sur les sept propositions faites en faveur des animaux, quatre d’entre elles méritent particulièrement notre attention. D’abord en femme profondément démocrate, Marine Le Pen, souhaite donner la parole aux Français sur la question animale. C’est ainsi qu’elle leur propose, par la création d’un référendum d’initiative populaire en matière législative, de s’emparer dès 500 000 voix, de certains sujets qui les touchent, comme la chasse à courre par exemple. De tels sujets seront mis sur la table et tranchés par les Français, la majorité l’emportant. Ce qui laisse espérer bien des avancées...Ensuite, et cela est particulièrement novateur, elle entend donner un statut particulier aux animaux en insérant dans le code civil entre le Livre Ier Des personnes » et le Livre II Des biens », un autre livre II bis, Des animaux », pour les faire sortir de la catégorie des choses » où ils sont rangés actuellement. Cela permettra une meilleure prise en compte de leur sensibilité d’êtres vivants reconnue en 2015. Avec Marine Le Pen les animaux ne seront définitivement plus des choses ! Poursuivant cette volonté affirmée d’un statut protecteur, Marine Le Pen souhaite également garantir leur protection au niveau constitutionnel. La protection de l’animal reconnue par la constitution ne pourra donc pas être contredite par une simple loi inférieure à la constitution autorisant des pratiques allant à l’encontre de leur bien-être. Elle sera également opposable à d’autres principes d’ordre constitutionnel. C’est donc un sérieux bond en avant dans la défense des animaux qu’ose ainsi Marine Le Pen !Enfin, parmi les propositions fortes, Marine Le Pen entend doter l’Etat d’outils nécessaires à la protection animale. Elle crée un secrétariat d’état » à la protection de la nature et de la condition animale », un défenseur des animaux », autorité administrative indépendante disposant de réels pouvoirs d’investigation pour effectuer des contrôles, et un statut de lanceur d’alerte afin de dénoncer des pratiques cruelles ou notera également pour terminer, l’obligation d’étourdir l’animal d’élevage avant d’être abattu ; le renforcement des sanctions pénales jugées trop faibles dans le code pénal actuel ; l’interdiction d’importer des produits qu’il aurait été illégal de vendre ou de produire en France eu égard à la protection de l’environnement et aux lois en vigueur ; la volonté de privilégier les circuits courts et l’élevage de proximité pour réduire la souffrance le voit bien, ce ne sont pas de simples mesurettes » qui s’ajouteront les unes aux autres mais bel et bien une révolution de fond des esprits et des textes avec de véritables leviers juridiques, qu’entend opérer Marine Le Pen. Les amis des animaux, si elle est élue, pourront s’en réjouir !
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