🏀 Mon Lapin Court Partout Comme Un Fou

Unlapin n'a de fiĂšvre qu'Ă  partir de 40°. Si votre lapin est amorphe et froid, il peut au contraire s'agir d'une hypothermie, souvent liĂ©e Ă  un problĂšme digestif. Il faut consulter rapidement. Yeux humides: Si les yeux coulent ou semblent infectĂ©s cela peut ĂȘtre une simple conjonctivite comme une infection plus grave ou un problĂšme
Cette semaine, notre fan Facebook Manon, originaire de Poitiers, nous explique que son chaton fait des bĂȘtises Ă  la maison il casse ou renverse des choses, il mord et il griffe, et il a beaucoup d'Ă©nergie ! Difficile de le suivre et de ne pas s'Ă©nerver parfois... DĂ©couvrez nos conseils pour canaliser un chaton trĂšs "speed", pour lui assurer un bon dĂ©veloppement et retrouver le calme Ă  la maison. "J'ai adoptĂ© Goliath Ă  7 semaines il a aujourd'hui 4 mois. MalgrĂ© sa stĂ©rilisation rĂ©cente, il est trĂšs turbulent et dĂ©truit beaucoup de choses Ă  la maison les rideaux, les Ă©couteurs de tĂ©lĂ©phone, il renverse la poubelle, il monte sur le plan de travail et menace de renverser la vaisselle qui sĂšche dans l'Ă©gouttoir, il griffe les mains quand il joue, bref, ce n'est pas de tout repos. Quand il fait une bĂȘtise, je lui dis "NON !" d'un ton ferme mais cela ne suffit pas toujours et je dois crier, ce que je n'aime pas du tout faire. Est-ce que je l'ai adoptĂ© trop jeune ? Que puis-je faire pour aider Ă  le canaliser et l'Ă©duquer correctement ? " ChĂšre Manon, En effet, Goliath a Ă©tĂ© sĂ©parĂ© de sa maman et de sa fratrie un peu trop jeune, puisque l'on prĂ©conise normalement de laisser un chat dans sa "famille" pendant les 3 premiers mois. Cependant, de nombreux vĂ©tĂ©rinaires et Ă©leveurs indiquent qu'un dĂ©lai de 7 Ă  8 semaines est suffisant et ne prĂ©sente pas de danger pour son bon dĂ©veloppement. Le sevrage correspond au sens strict au moment oĂč le chaton ne tĂšte plus et commence Ă  manger des aliments solides pĂątĂ©e, croquettes. Mais en rĂ©alitĂ©, il convient de ne pas trop se hĂąter pour adopter, car durant cette pĂ©riode, le chat va notamment apprendre avec sa maman et ses frĂšres et sƓurs Ă  se contrĂŽler lors des jeux morsures, griffades. Donc pour nos lecteurs qui songent Ă  adopter un petit, soyez patients et dans la mesure du possible attendez que votre futur chaton fĂȘte son troisiĂšme "mois-iversaire" ! Mais Manon, ne vous inquiĂ©tez pas, il n'y a pas de situation dĂ©sespĂ©rĂ©e et comme Goliath est encore jeune, vous pouvez rectifier le tir dans une large mesure grĂące Ă  ces quelques conseils. 1. Relativiser Il faut savoir qu'il est tout Ă  fait normal pour un chaton d'ĂȘtre excitĂ© et trĂšs dynamique. A son Ăąge, il a besoin d'explorer ce monde merveilleux qu'il dĂ©couvre, et il a de l'Ă©nergie Ă  revendre... MĂȘme s'il doit aussi beaucoup dormir et se reposer. A noter il peut y avoir des niveaux de suractivitĂ© trop importante qui peuvent traduire un problĂšme d'hyperactivitĂ© syndrome Hs/Ha HypersensibilitĂ©/HyperactivitĂ©. En cas de doute, par exemple si votre mini boule de poils dort vraiment trĂšs peu, n'arrive pas du tout Ă  contrĂŽler ses rĂ©actions d'agressivitĂ© par exemple lors des sĂ©ances de jeu, nous vous conseillons de consulter votre vĂ©tĂ©rinaire et un Comportementaliste FĂ©lin, qui vous aideront respectivement Ă  Ă©tablir un diagnostic et Ă  mettre en place des rĂšgles pour apaiser votre chaton. 2. AmĂ©nager votre appartement de façon adaptĂ©e Accueillir un chaton, c'est un peu comme avoir un bĂ©bĂ© il faut repenser la maison diffĂ©remment pour le bien de tous. Cela signifie organiser vos meubles et effets personnels, de sorte que Goliath ne les abĂźme pas retirer les rideaux pour un temps, ranger systĂ©matiquement les objets de valeur avec lesquels il aime jouer comme vos Ă©couteurs, etc. Pensez aussi qu'il pourrait se blesser avec ces objets par exemple, faire tomber quelque chose de lourd sur une de ses pattes, avaler un cordon et s'Ă©touffer. Prudence et bon sens sont donc de mise, surtout avec un Minou trĂšs curieux ! 3. Enrichir son environnement Cette partie fera l'objet d'une fiche conseil Ă  part entiĂšre, mais l'idĂ©e est qu'il est important de fournir suffisamment de stimulants Ă  son chaton. Il ne s'agit pas ici de l'exciter encore plus, mais de lui offrir des exutoires pour se dĂ©fouler et rester connectĂ© Ă  ses instincts naturels. La mise Ă  disposition d'un griffoir et d'un arbre Ă  chat est obligatoire pour un chat d'intĂ©rieur, surtout s'il est trĂšs Ă©nergique et/ou anxieux... sous peine de le voir dĂ©chiqueter les rideaux, le canapĂ©, ou les draps. Vous trouverez plus de dĂ©tails sur l'importance de l'arbre Ă  chat ici. En substance, cet accessoire lui permet de satisfaire une grande partie de ses besoins naturels et normaux sauter, grimper, observer son environnement depuis un point en hauteur, s'isoler, griffer pour marquer son territoire. L'idĂ©al placez son arbre prĂšs d'une fenĂȘtre pour l'inciter Ă  observer les activitĂ©s des passants dans la rue, les oiseaux qui volent, etc. C'est comme une tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© pour chat ! Si cela est possible, habituez Goliath Ă  porter un harnais et une laisse. S'il n'est pas trop craintif, vous pourriez lui donner l'habitude de sortir au parc, Ă  la campagne ou dans des jardins pour explorer la nature et se dĂ©fouler. 4. Le faire jouer... Beaucoup ! Le jeu est un autre paramĂštre important Goliath a-t-il suffisamment de jouets pour s'occuper dans la journĂ©e ? S'amuser a plusieurs fonctions pour un chat Ă©viter l'ennui faire de l'exercice pour se dĂ©penser et rester en forme stimuler son instinct de prĂ©dation, indispensable pour son bien-ĂȘtre enrichir son environnement pour le garder actif Il doit donc possĂ©der plusieurs jouets, qui doivent ĂȘtre renouvelĂ©s frĂ©quemment, car nos bĂ©bĂ©s en fourrure se lassent vite. Si vous n'avez pas un budget consĂ©quent, il est possible d'acheter plein de petits jouets pas trop chers fouinez dans cette rubrique, et d'en cacher une partie dans un tiroir pour les ressortir plus tard en rangeant les "vieux". On effectue ainsi une rotation pour que l'animal reste stimulĂ©. Il faut apprendre Ă  connaĂźtre Goliath et Ă  savoir identifier ses prĂ©fĂ©rences pour lui proposer des jouets qui l'intĂ©ressent et lui plaisent. Le jeu interactif avec un plumeau ou une canne Ă  pĂȘche sont aussi importants pour inciter le chaton Ă  jouer. De plus, cela contribuera Ă  renforcer votre complicitĂ©, tout en protĂ©geant vos mains et poignets grĂące Ă  la baguette. Sachez que l'on prĂ©conise en moyenne de faire jouer un chaton 2 heures par jour, puis 1h quand il sera adulte. 5. Votre alliĂ© le principe du renforcement positif D'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, il est plus facile d'Ă©duquer un chat en utilisant la mĂ©thode du renforcement positif que la punition. Le renforcement positif, cela veut dire le rĂ©compenser fĂ©licitations, caresses, friandise, ... quand il fait quelque chose de bien, pour l'encourager Ă  recommencer. La punition est gĂ©nĂ©ralement inefficace sur nos petits fĂ©lins et a plutĂŽt tendance Ă  gĂ©nĂ©rer encore plus de stress, ce qui est la source de nouveaux
\n \n \nmon lapin court partout comme un fou
Lelapin va se mettre à marquer son territoire un peu partout. Le meilleur moyen de prévenir ce souci est la Le meilleur moyen de prévenir ce souci est la Accueil
Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal Forum test RPS MER EnsemblesPartagez Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1616 Titre du rp Statut du sujet PrivĂ© ft. Bucky J. Barnes Date du rp Entre un UA et un Flashforward, aux alentours des 18 ans de Mindy. MĂ©tĂ©o & moment de la journĂ©e SoirĂ©e, environ 19h30, nuit dĂ©gagĂ©e et douce. 「 FUCK THEM !」Bucky & MindyAssise sur mon lit, je fixais le mur. DerriĂšre moi, je pouvais entendre ma petite horloge qui continuait de battre les secondes dans le silence de ma chambre. Si j’avais bien une mauvaise habitude, c’était de tripoter quelque chose entre mes doigts. Pour certain, c’était des Ă©lastiques pour les cheveux, d’autres des bracelets. Moi ? Je me demandais si j’ai vraiment changĂ©. Dans ma main se trouvait l’un de mes deux couteaux papillons Benchmade modĂšle quarante-deux que papa m’avait offert pour mes dix ans. J’étais tellement contente ce jour-lĂ . Ce n’était pas un cadeau habituel pour une enfant de mon Ăąge, mais c’était mon enfance et je chĂ©rissais chacun des souvenirs que j’avais avec lui. Comme s’ils pouvaient m’ĂȘtre enlevĂ©s. Encore une fois. Mes doigts jouaient distraitement avec l’arme aussi coupante qu’un rasoir alors que je me levais pour observer quelques instants par la fenĂȘtre. Finalement je prenais mon courage Ă  deux mains et je regardais finalement l’heure. Un rictus apparaĂźt en retour, alors que je traversais ma vais vous expliquer rapidement la situation. Ce soir, c’était celui que tous les lycĂ©ens de ce foutu pays attendaient. Et moi, Mindy McCready, j’avais Ă©tĂ© invitĂ© au bal de promo. Vous y croyez ça ? Pas moi. En tout cas, pas entiĂšrement. J’étais la fille bizarre du lycĂ©e. Ce n’était pas comme si cela me bouleverser de toute maniĂšre. Je n’étais pas isolĂ© des autres, mais je n’étais pas non plus la fille que l’on abordait. Ce qui m’arrangeait bien, je dois bien l’avouer. Je vais mĂȘme avouer quelque chose j’ai peur. J’ai peur des gens. Mais plus que tout, j’ai peur des gens normaux. Et qu’est-ce qui Ă©taient plus terrifiant pour moi que les gens normaux ? Les adolescents stupides de mon Ăąge. God, qu’est-ce que je pouvais ĂȘtre effrayĂ© par eux. Je prĂ©fĂ©rais cent fois affronter une attaque d’extraterrestres ou ĂȘtre piĂ©gĂ© dans une situation oĂč mes chances de survie Ă©taient limitĂ©es plutĂŽt que de passer encore un an dans un lycĂ©e. Mais j’avais une derniĂšre Ă©preuve Ă  passer en cette soirĂ©e. Me faire inviter par un garçon, que je connaissais rapidement, m’apprĂȘter, le laisser venir me chercher et passer une
Ah. VoilĂ . Nous nous en Ă©tions arrĂȘtĂ©s ici. Personne ne viendrait. Et personne ne viendrait jamais me chercher. Je m’arrĂȘtais alors devant mon miroir en fixant mon reflet quelques instants. Avant de murmurer doucement pour moi-mĂȘme. T’es qu’une fille stupide McCready. Pire que stupide mĂȘme. C’est n’importe quoi. Regarde ta gueule, t’es ridicule. » Mon ton Ă©tait tout sauf doux envers moi-mĂȘme. J’avais envie de me donner des baffes, me mettre rapidement en tenue de sport et de m’enfermer dans le sous-sol pour aller taper dans un sac. Je devais mĂȘme me faire violence en cet instant pour ne pas arracher la robe que j’avais achetĂ©e. Je fixais mon reflet avec une envie de frapper le miroir. Et dire que j’avais mĂȘme osĂ© demander Ă  Bucky de m’apprendre Ă  danser. Pour ne pas paraĂźtre ridicule aux yeux des autres. D’habitude je m’en fichais bien de tout ça, mais pour une fois, une seule putain de fois dans ma vie, je voulais ĂȘtre juste une fille normale. Une jeune fille allant au bras de son cavalier au bal de promo pour conclure sa vie de lycĂ©enne. T’es tout, sauf une nana normale. » Continuais-je Ă  me dire Ă  voix haute. Avant de fixer le Benchmade dans ma main. Un sourire s’incrustait sur mon visage avant que je ne me retourne pour le lancer sur la cible Ă  flĂ©chette au mur. En plein dans le centre. 20 points, quelle soirĂ©e ! ». Je ne pouvais pas empĂȘcher un lĂ©ger petit rire de traverser mes lĂšvres avant de sentir un regard sur moi. Je fixais l’horloge d’un air distrait. Hum. Bien trop tard pour que l’on vienne me chercher. Peut-ĂȘtre que quelqu’un l’avait remarquĂ© et venait me demander comment ça allait ou pourquoi je n’étais pas dĂ©jĂ  parti. C’était sĂ»rement ce que l’on Ă©tait en train de me demander d’ailleurs. Parce que j’entendais une voix me parler. Je secouais la tĂȘte, avant de me ressaisir en un instant. Pour dĂ©couvrir le visage de mon ami. C’était vraiment gĂȘnant
 La premiĂšre idĂ©e qui me vint, c’était qu’on allait me prendre en pitiĂ©. Pardon, je n’écoutais pas. Tu disais quoi Bucky ? » Demandais-je, le fixant droit dans les yeux. Jouant nerveusement avec l’un de mes ongles parfaitement vernis pour quelqu’un qui c’était allĂšgrement foutu de ma gueule..What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1618 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen....James fronça lĂ©gĂšrement les sourcils en apercevant la lumiĂšre qui filtrait sous la porte de Mindy et interrompit sa trajectoire pour s'approcher de la chambre - - Mindy ? » L'homme poussa doucement la porte pour passer la tĂȘte dans l'embrasure de la porte – s'attendant Ă  trouver la chambre vidĂ©e de son occupante, dans le dĂ©sordre d'une chambre d'adolescente anxieuse qui s'enfuit comme Cendrillon Ă  son premier rendez-vous en oubliant la lumiĂšre allumĂ©e et la moitiĂ© du contenu de son sac en main en vrac sur le lit. Bien sĂ»r, Mindy McCready arborait un sourire assurĂ© et la nonchalance d'Hit-Girl pour jouer l'actrice, mais il la connaissait assez bien et l'avait assez roisĂ©e au cours de la journĂ©e pour savoir percer son jeu – ne lui avait-elle pas demander d'apprendre Ă  danser ? Anxieuse et timide – comme s'il aurait pu lui refuser. Elle lui rappelait parfois Steve – il Ă©tait dĂ©muni, lui qui autrefois n'avait aucun mal Ă  lier l'amitiĂ©, inviter les filles Ă  danser, rire et attirer les regards, eux Ă©taient formidables, des lumiĂšres solaires pour sa propre lune, mais qui n'Ă©taient pas vus comme il les voyait pas les autres. Il ne comprenait pas. Il comprenait pas non plus que la jeune fille soit encore dans la chambre alors qu'elle aurait du ĂȘtre partie depuis longtemps maintenant – elle n'avait pas changĂ© d'avis ? - Je te pensais dĂ©jĂ  partie, » commença timidement Bucky avant de cligner les yeux et de se redresser pour entrer tout Ă  fait dans la piĂšce. 20 points, quelle soirĂ©e ! » Il saisit le couteau entre deux doigts mĂ©talliques, l'extripant du mur avec une aisance issue autant de sa force que de l'habitude. Cela faisait plusieurs annĂ©es maintenant qu'il avait vu Mindy McCready planter ses couteaux un peu partout – rien d'habituel en somme, et tout commentaire serait malvenu de la part d'un homme qui jonglait presque constamment avec un couteau. Un tic d'assassin comme un autre et ils ne se coupaient jamais. L'ex Winter Soldier Bucky s'adossa au mur Ă  cĂŽtĂ© de la cible, son bras mĂ©tallique plaquĂ© contre son torse, sa main coincĂ©e sous son autre bras, tandis que sa main de chair jonglait avec le couteau de Mindy – la lame s'ouvrant et se refermant dans les airs, retombant dans sa paume Ă  coup sĂ»r. Machinalement, tandis qu'il observait la jeune fille qui semblait l' avait grandi – c'Ă©tait soudain Ă©vident et un pincement prit James au cƓur. Ni lui, ni Steve ne vieillissaient vĂ©ritablement et il Ă©tait facile d'oublier Ă  quel point le temps passait. Jusqu'Ă  ce qu'une jeune fille de dix huit ans en robe de soirĂ©e se trouve Ă  la place de la boule de hargne et de violence de treize ans sur laquelle Bucky Ă©tĂ© un jour tombĂ© – pas qu'il n'ait pas lui-mĂȘme changĂ©, intĂ©rieurement tout du moins. Elle Ă©tait jolie, des boucles d'or vielli lui tombant sur les Ă©paules, et elle portait une robe rose, trĂšs Ă©lĂ©gante, fĂ©minine – Ă©trange de la voir ainsi, vieil Ă©cho de toutes les filles que Bucky avait un jour arborĂ© Ă  son bras, plus intĂ©ressĂ© par la possibilitĂ© de danser que par leurs charmes. Ce n'Ă©tait pas qu'elle le faisait soudainement se sentir vieux – plutĂŽt qu'elle Ă©tait soudainement adulte. Et qu'elle serait toujours une enfant Ă  protĂ©ger pour lui, quelque soit le nombre de morts qu'elle avait semĂ© derriĂšre elle – un sourire tendre traversa un bref instant le visage de James, jusqu'Ă  ce qu'il suive son regard jusqu'Ă  l'horloge, comme si elle ne l'avait pas vu ni entendu venir – le deuxiĂšme Ă©tait plausible, mais il n'Ă©tait pas vraiment facile de ne pas l'apercevoir une fois dans la petite piĂšce. Bucky se dĂ©cala du mur pour poser sa main mĂ©tallique sur son Ă©paule, brĂšve pression pour la rappeler Ă  lui – elle ne faisait pas une crise de panique n'est-ce pas ? Pardon, je n’écoutais pas. Tu disais quoi Bucky ? » - Qu'est-ce que tu fais encore lĂ , je te pensais partie ? Tu n'as pas changĂ© d'avis, Babydoll? » Le surnom traĂźnait sur ses lĂšvres comme un murmure, son regard d'acier pĂ©tillant d'affection. Il sourit tendrement un instant – il savait que la perspective du ball de promo avec tous ces petits cons de lycĂ©ens qui lui menaient la vie dure l'angoissait, mais c'Ă©tait sa nuit et Bucky ne la laisserait pas faire demi-tour mĂȘme s'il devait la dĂ©poser devant son cavalier en la tenant par les Ă©paules comme une petite poupĂ©e. Elle Ă©tait magnifique, avait un cavalier, et ils s'Ă©taient entraĂźner Ă  danser toutes les danses du rĂ©pertoire de Barnes. - Tu dois leur montrer nos pas de danse, » rappela-t-il lui tendant son couteau repliĂ© et en se redressant. Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1619 「 FUCK THEM !」Bucky & Mindy Comment ne pas avoir envie de disparaĂźtre six pieds sous terre Ă  cet instant ? Malheureusement pour moi, je venais de me faire attraper d’une maniĂšre imprudente. MĂȘme pour une soirĂ©e pareille, j’avais dĂ©jĂ  un plan de secours qui s’était mis en marche dans ma tĂȘte. Il aurait suffi que j’éteigne ma chambre, laissant quelques petites choses en bazar. Et certaine de ne croiser personne, j’aurai filĂ© dans les sous-sols en sachant que personne ne viendrait y traĂźner aussi tard. Je serais passĂ© sous les radars de cette immense maison, aussi silencieuse et discrĂšte qu’un chat avant d’apparaĂźtre au petit matin, comme si tout s’était bien passĂ©. Que j’avais eu ma petite soirĂ©e de bal, le sourire aux lĂšvres et j’aurai niĂ© en bloc, n’importe quelle suspicion sur mon drĂŽle de comportement. EspĂ©rant simplement que l’excitation d’une gamine de dix-huit ans ne soit qu’un immense Ă©cran de fumĂ©e pour tous. Malheureusement, je n’avais pas Ă©tĂ© assez rapide. Pas du tout mĂȘme. Et c’était bien ça le problĂšme qui se posait. Parce que Bucky Ă©tait maintenant dans ma Barnes. Notre rencontre
 Disons que personne ne devrait se rencontrer comme nous l’avions fait. Je ne le souhaitais Ă  personne. Et en mĂȘme temps, c’était peut-ĂȘtre si ce n’est certainement la rencontre qui m’avait sauvĂ© la vie, il y avait bien des annĂ©es de ça. Mais cela n’aurait certainement marchĂ© que pour nous deux. Je continuais de jouer nerveusement avec l’ongle de mon pouce que mon index s’obstiner Ă  taquiner dans un sens et dans l’autre. Maintenant que je n’avais plus mon couteau en main, il me fallait bien quelque chose d’autre avec laquelle jouer. Ce n’était pas la prĂ©sence de Bucky qui me rendait nerveuse, bien sĂ»r que non. C’était plutĂŽt le fait que j’ai Ă  lui expliquer ce que je faisais encore lĂ , toute seule, Ă  tourner dans ma chambre. Et ne croyez pas que j’allais me mettre Ă  pleurer. Ce n’était dĂ©cidĂ©ment pas mon genre et il me connaissait assez bien pour savoir que j’avais trop de fiertĂ© pour le faire devant lui. Devant qui que ce soit en gĂ©nĂ©ral. Il n’y avait que Dave qui avait pu me voir pleurer, par deux fois. Et d’une certaine maniĂšre, mes crises de larmes pendant certaines de mes nuits restĂ©es encore un sujet tabou pour n’est pas comme si je ne l’avais pas entendu rentrer. Retirer mon couteau papillon du mur. Je reconnaissais mĂȘme trĂšs clairement le bruit qu’il faisait lorsque l’on jouait avec. C’est juste que pendant quelques secondes, je prenais le temps d’analyser une derniĂšre fois la situation. Et revenir Ă  la triste conclusion que je venais d’ĂȘtre abandonnĂ© pour la soirĂ©e d’un bal de promo. Si il y a bien une chose que je crains, depuis la mort de mon pĂšre, c’était bien l’abandon. Ce n’était pas comme si celui-ci m’affectĂ© d’une maniĂšre extrĂȘme, ce n’était qu’une soirĂ©e aprĂšs tout. Mais l’effet Ă©tait lĂ . Et j’avais mal. Dans mon ego et mĂȘme mes sentiments. Je relevais alors la tĂȘte pour continuer de fixer Bucky qui me parlait de nouveau. Un petit rictus apparut en coin quand j’entendis mon surnom. Babydoll 
 Il n’y avait que mon pĂšre qui m’appelait comme ça. Et la premiĂšre fois que Bucky avait prononcĂ©e ça, d’une maniĂšre naturelle
 Ça avait Ă©tĂ© comme un violent retour en arriĂšre, mais aussi une sorte de soulagement. Au lieu de mal le prendre, j’avais eu un sourire. Un sourire, je suis sĂ»re, d’une enfant naĂŻve. Pour ĂȘtre honnĂȘte, je me pose aussi la question. »Plus je revoyais la scĂšne de ce garçon m’invitant, plus je le repassais en boucle, plus d’autres images apparaissaient dans ma tĂȘte. Alors c’est ça. Brooke. La bande de Brooke. Un groupe de cheerleaders qui m’avaient pris en grippe le jour oĂč elles avaient compris que je ne me laisserai pas marcher par les pieds en plus que je dĂ©fonçais allĂšgrement toutes leur Ă©quipe de Pom-pom girl en acrobatie. Ce garçon, je l’avais dĂ©jĂ  vu traĂźner avec elle et ses amies. Je fixais le couteau qu'il me rendait avant de le reprendre doucement et le poser sur mon bureau, prĂšs de mon miroir. On dirait que personne n’a envie de voir Mindy McCready Ă  son bras ce soir. Ni danser avec. J'peux comprendre, je suppose. » Je l’avouais. J’avais perdu pour ce soir face Ă  Brooke et sa troupe de garces. Je fixais alors quelques secondes la fleur accrochĂ©e Ă  ma robe avant d’y approcher mes doigts tout en commencer Ă  enlever la petite Ă©pingle permettant de la garder fixĂ©. Mais tout va bien, t’en fais pas. J’ai Ă©tĂ© conne de pas avoir vu le coup venir. Pour une fois que la prudence me fait dĂ©faut. » Je riais faiblement de ma situation, tentant de le faire sourire. Parce que tous les deux, si on avait bien un point en commun, c’était que nous Ă©tions des gens prudents »..What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1620 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen.... On dirait que personne n’a envie de voir Mindy McCready Ă  son bras ce soir. J'peux comprendre, je suppose. » Les traits de Bucky trahirent son Ă©tonnement, son visage expressif recouvrant une expression enfantine dans son naturel – dĂ©sarmant. C'Ă©tait incomprĂ©hensible Ă  ses yeux et son dĂ©sarroi, son incomprĂ©hension passĂšrent en un instant sur ces traits, incongrus sur l'homme qu'il Ă©tait. Pouquoi personne ne voulait voir Mindy McCready Ă  son bras ? MĂȘme en ignorant les facettes de la jeune femme dont les lycĂ©es ne savaient rien... une jolie fille sachant danser et qui ne prenait pas son partenaire pour un minable ? James avait fait tournoyer bien rĂ©veillait en lui une dĂ©sagrĂ©able sensation de dĂ©jĂ -vu. De quel droit ces abrutis prĂ©tendaient-ils ĂȘtre meilleurs qu'eux, de quels droits dĂ©cidaient-ils qui devait ĂȘtre malmenĂ© et qui devait ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ©, de quel droit faisaient-ils naĂźtre cette expression sur le visage de ceux qu'il aimait, ce pincement furieux dans son corps ? Il avait eu beau ĂȘtre populaire, charmant, bien entourĂ©, jamais il n'avait le dĂ©sir d'Ă©craser quelqu'un pour rire ou se faire valoir. Ces enfoirĂ©s le dĂ©goĂ»taient, mais semblaient un mal se rĂ©pandant comme la peste alors que Steve tentait de combattre ces enfoirĂ©s un par un, ruelle sale aprĂšs ruelles sale oĂč laisser ses tĂąches de doigts de mĂ©tal se posĂšrent sur ceux de la jeune fille, et sur la fleur encore neuve. James se rapprocha de Mindy et raccrocha avec soin l'Ă©pingle avec laquelle Mindy venait tout juste de se battre, pas un sourire ne dĂ©ridant son visage. Il faisait simplement jouer nerveusement sa mĂąchoire, un tic parcourant ses maxillaires alors qu'il Ă©coutait parler Mindy en silence, sans croiser son regard. Ses mots suffisaient Ă  lui percer le cƓur et lui donnaient envie son poing dans le mur – croiser le regard de Mindy et la force qui cachaient sa dĂ©ception Ă©tait au-delĂ  de ses forces. Mais tout va bien, t’en fais pas. J’ai Ă©tĂ© conne de pas avoir vu le coup venir. Pour une fois que la prudence me fait dĂ©faut. » Ce sont eux les cons d'avoir osĂ© te faire ça, d'obliger une enfant Ă  la prudence pour un simple bal. Elle n'avait pas Ă  ĂȘtre prudente pour ça, merde. Une juste colĂšre Ă©clatait dans sa poitrine – il n'avait jamais pu servi de cavalier Ă  Steve alors que des femmes qui ne lui arrivaient pas Ă  la cheville le repoussaient ? Cela ne lui avait pas empĂȘchĂ© d'y penser et cela ne l'empĂȘcherait pas de proposer Ă  Mindy. Son regard parcoura la piĂšce, balayant la derniĂšre hĂ©sitation et il se dĂ©cida, faisant le saut de la foi, poussĂ© de la falaise par le rire de Mindy. - J'ai envie de voir Mindy McCready Ă  mon bras ce soir, »LĂącha James, le dos droit. Sans une pitiĂ© dont elle n'avait aucune envie, dĂ©clarant la vĂ©ritĂ© d'un ton nonchalant. Il avait envie de danser avec la jeune fille, ce serait une soirĂ©e agrĂ©able – il avait surtout envie de la voir sourire et de rĂ©primer l'envie brĂ»lante d'envoyer son poing dans la gueule de ces petits cons. Voir Mindy resplendissante dans sa robe serait une douce vengeance – l'occasion de leur clouer le bec une derniĂšre fois . MĂȘme si... Bucky se mordit lĂ©gĂšrement la lĂšvre infĂ©rieure et convint Ă  contre-coeur - MĂȘme si je suppose qu'un vieux pervers dans mon genre n'est pas le cavalier idĂ©al, mais.. » Il avait beau donner l'illusion d'avoir Ă  peine trentaine et encore, de bien la porter, il Ă©tait bien plus ĂągĂ© que Mindy et ses camarades qui n'Ă©taient que des enfants. Des enfants se prenant pour des grands mais... il avait Ă©tĂ© un enfant, avant la guerre. Il se distinguerait sans doute des autres danseurs, mais n'avait rien d'un pervers – pas en tous cas, au sens oĂč on pourrait le craindre. Bucky repoussa ses cheveux en arriĂšre, lissĂ©s par le gel qui s'effritait en fin de journĂ©e et proposa d'un mouvement d'Ă©paule, tandis qu'il tendait son bras mĂ©tallique tel un cavalier servant - Je peux aussi juste t'y dĂ©poser, ou bien on peut aussi aller faire quelques rounds au gymnase, mais... Dis le mot et je n'ai qu'Ă  enfiler un costume, et... »Son regard lĂ©gĂšrement pĂ©tillant convenait de la rĂ©alitĂ© – cela lui ferait plaisir et ce n'Ă©tait en rien une proposition issue de la pitiĂ©. Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1620 「 FUCK THEM !」Bucky & MindyLa fille bizarre du lycĂ©e. C’était certainement l’adjectif qui me qualifiait le mieux. Et je n’étais pas la seule dans ce cas-lĂ . Je faisais simplement de mon mieux pour ne pas rĂ©pliquer dans la violence, comme je l’avais toujours fais. Mon sarcasme n’était pas forcĂ©ment apprĂ©ciĂ© par ceux qui m’entouraient et surtout pas par tous ces connards qui se pensaient mieux que tout le monde. Plus beau, avec le meilleur cul ou la plus belle poitrine. Si je ne faisais pas partie d’un groupe de gens, alors c’était que je dĂ©sirais pas l’intĂ©gration. Mais rien ne me donnait envie. Surtout si c’était pour me prendre les regards mauvais et remarques dĂ©sobligeantes de certaines. Je ne suis pas idiote, je sais que cela fait prĂ©tentieux, mais j’étais plus douĂ©e qu’elles et ça, ça foutait en rogne. Moi la fille qui venait de nulle part, d’aucun collĂšge connu. Un vĂ©ritable fantĂŽme perdu dans le monde des vivants, ravalant encore et encore sa fiertĂ© pour ne pas exploser la tĂȘte de quelqu’un contre un casier jusqu’à ce qu’il n’en reste rien. J’avais eu deux fois des problĂšmes, quand j’avais dĂ©fendu deux pauvres garçons. Ils me rappelaient un peu Dave Ă  leurs maniĂšres. Les petits geeks mal foutus. Ce clichĂ© que mes doigts continuaient de battre le plus calmement possible la jolie fleur accrochĂ©e Ă  ma robe, parlant Ă  Bucky, celui-ci venait de chasser tranquillement mes mains. J’abandonnais assez rapidement en finissant ma phrase, n’osant mĂȘme pas le regarder. Et dire qu’il y a encore quelques annĂ©es, il Ă©tait impossible pour nous deux de parler convenablement. Nous ressemblions Ă  des sortes de zombies d’un film de Romero, sans le cĂŽtĂ© putrĂ©faction. Mais nous puions la mort Ă  des kilomĂštres Ă  la ronde comme si nous Ă©tions des cadavres. Physiquement, nous n’étions pas de la mĂȘme carrure Ă  l’époque, et aujourd’hui encore c’était le cas. Pourtant, nous partagions une expĂ©rience si douloureuse
 Et pourtant toute cette expĂ©rience accumulĂ©e, bonne ou mauvaise, ne me servait Ă  rien. Le nĂ©ant. J’étais complĂštement dĂ©sarmĂ© face Ă  la mĂ©chancetĂ© humaine, la mĂ©chancetĂ© qui ne pouvait mĂȘme pas mĂ©riter une raclĂ©e. Ils savaient frĂŽler avec une grande finesse la limite Ă  ne pas franchir pour ne pas mĂ©riter un coup dans les dents et mĂ©riter d’aller payer le dentiste pour en avoir de nouvelles. Oui, j’avais Ă©tĂ© imprudente. Le monde Ă©tait un danger constant, je devais m’y faire. A la diffĂ©rence que je ne savais pas me battre contre ça. Alors, je prĂ©fĂ©rais rire pour Bucky, pour moi et pour la situation gĂȘnante. Ouais. Hit-Girl ne mĂ©ritait pas d’aller Ă  un bal de promo comme tout le monde. J’ai envie de voir Mindy McCready Ă  mon bras ce soir. », mes yeux clignĂšrent quelquefois. Dans l’incomprĂ©hension totale. Droit comme un militaire savait le faire, les yeux remplis d’aplomb et le ton sans aucune once de pitiĂ©. MĂȘme pas une petite miette y rĂ©sidant. Comme une grenade qu’il venait de lancer, je me retrouvais paralysĂ© pendant un milliĂšme de seconde. Enfin mes lĂšvres bougĂšrent presque plus vite que ma pensĂ©e alors qu’il continuait de parler. Stop. Dis pas des conneries. C’est toi que j’ai envie de frapper. » Enfin, elle dĂ©croche un sourire, qui semble plus vrai que les prĂ©cĂ©dents. Tu serais un merveilleux cavalier, faudrait ĂȘtre stupide pour dire non. ».Pourtant, j’avais peur de dire oui Ă  Bucky. Mais pas parce que je craignais la rĂ©action de ceux de la promo, bien sĂ»r que non. Qu’ils aillent se faire foutre. C’est tout ce que je pouvais dire Ă  leur sujet. Et mĂȘme si je n’étais pas d’un caractĂšre en gĂ©nĂ©rale timide –pas tout le temps dirons-nous-, je me posais des questions. Mais elles furent rapidement balayĂ©es d’un seul coup. Je baissais mon regard clair sur le bras mĂ©tallique de mon interlocuteur avant de relever les yeux vers lui. Non. Bucky n’avait pas de pitiĂ© pour moi. Non, Bucky ne foutait pas en l’air la moitiĂ© de son planning de ce soir pour moi. Il le proposait, parce qu’il Ă©tait gentil et que ça lui ferait plaisir de le faire. Mon bras s’enroulait alors autour de celui de l’homme, et comme si je lĂąchais un secret amusant et lĂ©gĂšrement pesant Viens avec moi. ». Nous avions commencĂ© Ă  marcher, arrivant dans le couloir. Avant de s’arrĂȘter devant sa porte. Avant d’affirmer, reprenant toute mon assurance. Alors enfile ton costume, je compte bien m’amuser. »D’un comme un accord, je relĂąchais alors son bras pour le laisser libre de ses mouvements. Le laissant filer vers ses appartements. Quant Ă  moi ? Je souriais, discrĂštement. Et seule dans le couloir. Priant pour que personne d’autre ne passe pour le moment. Je prenais la pochette munie d’une chaĂźne discrĂšte et la mettais Ă  mon Ă©paule. M’appuyant contre le mur du couloir, perdue dans mes pensĂ©es. Je n’imaginais aucune farce ou visage dĂ©composĂ©e face Ă  mon arrivĂ©e lĂ -bas. Non. Je souriais. J’allais
 J’allais ĂȘtre une fille normale. .What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1621 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen.... Tu serais un merveilleux cavalier, faudrait ĂȘtre stupide pour dire non. ». Ils avaient bien Ă©tĂ© assez stupides pour te laisser en place, rĂ©pliqua Bucky mentalement – mĂȘme si le compliment le touchait, au fond, dans la partie de lui-mĂȘme qui ronronnait et cherchait l'affection comme un chat privĂ© de caresses pendant trop longtemps. Il serait un merveilleux cavalier, mais cela usait ses nerfs qu'on puisse fermer les yeux sur l'adorable amie et cavaliĂšre qu'Ă©tait moins, elle souriait Ă  prĂ©sent, et Bucky esquissa un petit sourire soulagĂ© alors qu'elle remontait les yeux vers lui. Leur Ă©change de regard le laissait un peu dĂ©muni, lui donnant envie de la regarder avec des yeux de chiot battant timidement de la queue sur le plancher. Mais il se contenta de la fixer avec certitude et douceur, attendant sa rĂ©ponse sans vouloir l'influencer – c'Ă©tait Ă  elle de choisir comment elle se sentait, ce qu'elle souhaitait, lui ne voulait que mettre ses maigres talents au service du sourire de la jeune fille. Et puis, de toute maniĂšre, il Ă©tait condamnĂ© Ă  ne pas dire de conneries » - jusqu'Ă  ce qu'elle prenne son bras et que, aussi fier qu'un pĂšre menant Ă  sa fille Ă  l'autel ils se dirigeait Ă  petits pas vers les appartements du Winter Soldier - Alors enfile ton costume, je compte bien m’amuser. » - A vos ordres, mademoiselle, »LĂącha Bucky d'une voix de velours amusĂ©, avant de battre en retraite dans ses appartements, faisant passer son t-shirt par-dessus son tĂȘte pour l'envoyer valser sur le canapĂ© et sur son compagnon. Il Ă©carta sans hĂ©sitation les costumes qu'il portait encore parfois pour jouer au garde du corps – classes, bien coupĂ© selon les dĂ©sirs de Stark et Kin, augmentant encore un peu sa carrure, mais bien trop sinistres. Il avait retrouvĂ© en partie la coquetterie qui le caractĂ©risait, avant ; Bucky privilĂ©giait toujours le confort avant tout, les vĂȘtements volĂ©s Ă  Rogers, les Henleys un peu trop larges et les matiĂšres douces. Cela ne l'empĂȘchait pas de faire parfois un effort et d'enfin observer avec satisfaction son reflet dans le miroir – il enfila sans hĂ©sitation un costume d'un bleu-gris discret, offert par Kin comme la majoritĂ© de ses affaires. Le Winter Soldier tira les manches de sa chemise avec une grimace, le tissu retombant sur son poignet sans dissimuler sa prothĂšse. Mindy avait beau considĂ©rer ses inquiĂ©tudes comme des conneries, elles tournait toujours dans un coin de son esprit, un bourdonnement d'arriĂšre-fond qui tournait sans relĂąche. Il Ă©tait Ă  des annĂ©es lumiĂšres du fier jeune homme qui allait danser en 1940, et il avait peur de la dĂ©cevoir, d'empirer la situation. Il riva un instant son regard au miroir et fit la moue – hors de question de reculer. - J'accompagne Mindy Ă  son bal de promo », indiqua simplement Bucky Ă  Steve qui l'avait observĂ© surgir dans leurs appartements, pour ouvrir en grand l'armoire sans un mot d'explication. James se pencha par-dessus le dos du canapĂ© pour voler un baiser furtif Ă  son homme, l'empĂȘchant de rĂ©pliquer quoi que ce soit et d'ouvrir sa grande bouche. Bucky se faufila hors de la piĂšce sans lui laisser le temps d'ajouter quelque chose ou de se laisser distraire et attirer, lovĂ© contre Captain America. Mindy avait dĂ©jĂ  assez attendu. - Puis-je t'emmener faire un tour ? Danser peut-ĂȘtre ? »Plaisanta-t-il un instant, avec un clin d'oeil, avant de retomber dans le silence qui lui Ă©tait plus habituel. James tendit Ă  la jeune fille le casque de moto qu'il avait saisit avant de sortir – ce n'Ă©tait pas parce que les super-soldats Ă©chappaient au code de la route qu'il ne comptait pas protĂ©ger Mindy. Il rĂ©pondit au sourire de Mindy, presque guilleret, ses fossettes retrouvant un emplacement longtemps oublier. Il l'entraĂźna, galant au possible jusqu'Ă  sa moto et s'installa lui-mĂȘme sur la Harley, sans se soucier de son costume trop Ă©lĂ©gant ou de la traĂźne de taffetas et de soie rose que la robe de Mindy allait laisser dans le crĂ©puscule descendant. Une Harley Davidson flamboyante entra Ă  pleine vitesse dans le parking du lycĂ©e, au milieu des voitures empruntĂ©es aux parents ou des premiĂšres petites voitures d'adolescents amĂ©ricains trop heureux pour se rendre compte de leur chance. Il s'arrĂȘta dans un crissement de pneus et un vrombrissement de moteur qui remonta le long des cuisses et des dos, et se redressa lĂ©gĂšrement, posant sa main mĂ©tallique sur sa cuisse pour observer les lumiĂšres du bal. Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1621 「 FUCK THEM !」Bucky & MindyPatiemment, j’avais entendu dans le couloir qu’il revienne. Je n’étais pas vraiment pressĂ©, bien qu’un peu d’impatience remonte lentement le long de ma colonne vertĂ©brale. Comment ne pas l’ĂȘtre maintenant ? AprĂšs avoir repris toute contenance, enfin je pouvais commencer Ă  visualiser la scĂšne qui risquait de se dĂ©rouler au bal. Je devais me mordre lĂ©gĂšrement la lĂšvre infĂ©rieure pour ne pas Ă©clater de rire dans le couloir sombre. Mais ce qui me faisait doucement rire en cet instant, c’était d’imaginer Bucky dĂ©boulĂ© dans ses quartiers Ă  Steve et lui, Ă  se prĂ©parer sans aucune explication. Sous le regard presque incrĂ©dule du Captain en se demandant ce qui se passait ce soir. Et pourquoi Bucky s’apprĂȘter en costard. Je ressentais quelques secondes un peu de peine pour lui, avec une priĂšre silencieuse m’excusant de lui voler pour quelques heures Bucky. Mes sentiments Ă©taient un peu partagĂ©s, d’abord un peu d’apprĂ©hension pour finalement me laisser complĂštement dominer par un petit sentiment de bonheur. Comment ça je minimise les choses ? Humpf. Pas mon dĂ©tournais tout de suite la tĂȘte en le voyant ressortir. Je me dĂ©collais du mur, replaçant tranquillement la chaĂźnette sur mon Ă©paule, la pochette manquant de glisser. Je dĂ©couvrais alors mon ami habillĂ© d’un Ă©lĂ©gant costume bleu-gris. Je n’étais pas une spĂ©cialiste en mode, vraiment pas en fait. Mais c’était sous les conseils de Kin que j’avais choisi celle-ci. J’avais absolument refusĂ© qu’elle me l’offre. Rien que me dire que j’aie aussi demandĂ© un conseil Ă  Kin Ă  ce sujet, argh. C’était tellement ridicule. Je reprenais mes esprits pour me concentrer enfin sur Bucky qui m’adressait un clin d’Ɠil. D’un hochement de tĂȘte, je rĂ©pondais Ă  sa question avant d’entrouvrir mes lĂšvres pour lui rĂ©pondre convenablement On va voir si j’ai retenu mes leçons de danse. » affirmais-je alors que je me laissais accompagner vers le parking oĂč tous les vĂ©hicules motorisĂ©s de chacun Ă©taient entreposĂ©s. Personnellement, j’avais une Ducati arborant ma couleur habituelle, le violet et le noir. Facilement reconnaissable. Enfilant finalement le casque, je me mettais rapidement Ă  l’arriĂšre. Pas trĂšs pratique une robe pour de la moto, mais il fallait ce qu’il littĂ©ralement le bruit du vrombissement d’une Harley-Davidson. Il Ă©tait impossible de louper son passage dans la rue. Et puis aprĂšs tout, en vue de ce que j’apercevais du parking rempli, trĂšs peu de monde Ă©tait venue Ă  moto. Et encore moins avec un monstre pareil. Le crissement de la bĂȘte me donnait alors un nouveau frisson dans le dos, alors que je pointais de la tĂȘte l’intĂ©rieur de la fĂȘte. Je relĂąchais la taille de mon cavalier alors que je prenais une grande inspiration dans le casque, me murmurant Ă  moi-mĂȘme Pas d’échappatoire. Nombre d’ennemis inconnus. Une bonne centaine approximativement. ». Je fermais quelques secondes les yeux avant de finalement retirer le casque alors que je me redressais. Pas de retour possible. », je tendais alors le casque Ă  Bucky en le laissant ranger et en m’écartant jusqu’à ce qu’il se joigne Ă  mes ? Putain que ouais. J’étais moins anxieuse pour mes entraĂźnements ou pour faire du saut Ă  l’élastique que me rendre Ă  l’intĂ©rieur d’un gymnase dĂ©corĂ©. Je prenais un grand bol d’air par le nez, avant de laisser mon bras se lier doucement Ă  celui de Bucky. Nous commencions alors Ă  marcher vers l’intĂ©rieur, ils avaient sorti le tapis rouge. SĂ©rieusement ? Je pouvais entendre la musique d’ici, il y avait mĂȘme des arches dĂ©corĂ©es d’une maniĂšre
 mignonne. Presque. Pas vraiment Ă  mon goĂ»t, mais alors que nous nous approchions, je pouvais sentir les regards sur nous. Je pouvais entendre des SĂ©rieusement, c’est McCready ? » ou bien C’est qui avec elle ? Je l’ai jamais vu au lycĂ©e. Il est canon ! », et autres du style. Nous nous arrĂȘtions mĂȘme pour prendre la fameuse photo de bal. Je souriais timidement face Ă  l’objectif avant de continuer notre ascension ensemble dans la salle principale. Je crois qu’on a remplie l’objectif ’se faire remarquer de tous’’. » Signalais-je alors que je m’approchais du bar pour demander deux cocktails sans alcool bien sĂ»r. Nous Ă©tions au lycĂ©e
 Connerie. La moitiĂ© du bahut avait ramenĂ© de l’alcool dans leurs voitures. Maintenant, c’est moi qui avais un peu honte, mais gentiment. En fait, j’avais l’impression de faire tache Ă  cĂŽtĂ© de Bucky. Il Ă©tait vraiment
 classe. Je pouvais facilement voir les regards des autres sur lui, intriguĂ© de sa prĂ©sence. Et sur moi. Comme un Qu’est-ce qu’un mec comme lui fait avec une fille comme elle ? », je portais mon verre Ă  mes lĂšvres et vous savez quoi je souriais. Je m’en foutais royalement. Bande de tocards dĂ©cĂ©rĂ©brĂ©s. Vous espĂ©riez voir la pauvre Mindy seule, essuyant son mascara coulant ? Putain que non, je vous l’offrirais pas. Je pouvais voir en coin, Brooke et sa petite bande. Quand nos regards se croisĂšrent, un rictus apparut encore plus grand sur mon visage. Et la voir forcer sur son poignet pour ne pas criser
 Douce vengeance, vieille amie. Alors, on leur montre le talent des annĂ©es quarante ? » demandais-je tranquillement Ă  Bucky, un regard taquin sur lui..What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1624 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen.... Bucky accorda un moment Ă  Mindy en silence, la laissant se prĂ©parer Ă  afficher assurance et sourire face Ă  la meute de requins aux dents longues qui les attendaient Ă  l'intĂ©rieur - pendant ce temps, il balayait du regard les entrĂ©es et les sorties probables du lycĂ©e, les ennemis possibles. Un tic qui ne s'effacerait jamais, la contrainte de savoir Ă  chaque instant le nombre d'ennemis, les mille maniĂšres d'Ă©liminer les menaces, les sorties, les voies d'accĂšs, prĂ©senter son dos au mur – un PTSD d'une telle ampleur ne disparaĂźtrait jamais, il avait simplement appris Ă  ne s'entourer que de personnes qui le comprenait. Il inspira doucement l'air frais du dĂ©but de soirĂ©e, mettant ses idĂ©es au clair sans tourner la tĂȘte vers sa cavaliĂšre. Il n'en menait pas large lui-mĂȘme – elle Ă©tait loin l'Ă©poque oĂč il avait l'habitude d'attirer le regard, de faire tourner les tĂȘtes sur son passage. Il avait progressivement rĂ©-appris les conversations innnocentes avec les commerçants, Ă  s'excuser sur son passage, Ă  ĂȘtre tout simplement visible, Ă  exister Ă©paule contre Ă©paule avec une foule sans nom. Mais il avait peur de commettre un faux pas et de gĂącher la soirĂ©e de Mindy et se sentait soudain bien exposĂ© - et il avait arrĂȘtĂ© l'Ă©cole avant ses 18 ans aprĂšs tout, et cet univers lui faisait soudainement alors qu'il entendait les murmures sous leur passage, soudainement exposĂ©s Ă  tous les regards – Bucky avait envie de saisir le couteau Ă  sa cheville, goĂ»ter son poids rĂ©confortant, jouer avec machinalement mais il se contenta de laisser les plaques de son bras se recaler sous sa chemise. Avoir des petites sƓurs, un meilleur ami qui cherchait les ennuis du haut de son mĂštre soixante ou accompagner une jeune fille au carrefour de vos dĂ©sirs protecteurs ont le mĂȘme effet boomerang – l'obligation de faire semblant de savoir ce que l'on fait. Etre une Ă©paule sur lequel s'appuyer, le sourire aux lĂšvres, l'assurance dans les pas, sauver la mise. PrĂ©tendre mĂȘme si rien n'allait. Buck se laissa entraĂźner, se prĂȘtant de bonne grĂące au jeu de la promo - et s'il souriait sur la photo, c'Ă©tait un sourire sincĂšre – mais aussi créé par son envie d'Ă©clater de rire sous l'objectif avec Ă  son bras Hit-Girl dans une robe Ă©lĂ©gante. Je crois qu’on a remplie l’objectif ’se faire remarquer de tous’’. »lui souffla Mindy et il eut une moue lĂ©gĂšrement gĂȘnĂ©e, baissant les yeux dans un papillonnement de cils. - Pardon, »Etre remarquĂ© de tous signifiait aprĂšs tout la mort dans son job – il se souvenait de missions avec Natasha oĂč ĂȘtre le dernier repĂ©rĂ© avait le droit de choisir oĂč ils dĂ©gusteraient leur petit dĂ©jeuner. Mais Mindy souriait. Et cela dissipait un peu sa gĂȘne alors qu'il la remerciait du verre qu'elle lui tendait - sans alcool, le sien tout du moins – il savait que Mindy avait dĂ©jĂ  bu de l'alcool, mais cela ne veut pas dire qu'il l'encourageait sur cette voie . Il savait quel goĂ»t avaient les dĂ©mons trempĂ©s dans la vodka, mais il ferait de son mieux pour tenir la tentation Ă  l'Ă©cart. Pour eux les regards qui les scrutaient n'aidaient pas vraiment. S'Ă©taient-ils vraiment attendu Ă  la voir arriver la tĂȘte basse et la moue penaude ? Ils ne connaissaient pas sa Mindy, songeait fĂ©rocement Bucky. Qu'est-ce qu’un mec comme lui fait avec une fille comme elle ? , qu'est-ce qu'un type de 30 ans fait au bras d'une fille ? Qui plus est un type qui avait une aura de bad boy qui lui collait au basques, quelques soient les airs de chien perdu qui apparaissaient sur ses traits. Les lycĂ©ennes adoraient les bad boys, cette stupiditĂ© lui revenait Ă  la mĂ©moire. Il se sentait honteux, dĂ©calĂ©s – Mindy Ă©tait parfaite ici, mĂȘme si ces abrutis ne le voyaient pas et elle ne se sentait pas Ă  sa place. L'ego de Bucky n'avait pas survĂ©cu Ă  la chute d'un train, et il Ă©tait convaincu d'avoir un masque hideux plaquĂ© sur les traits, d'ĂȘtre grand, imposant et terrifiant, sauf que Mindy souriait. Mindy souriait, et Bucky laissa un sourire monter Ă  ses lĂšvres, lĂ©ger et presque imperceptible, mais prĂ©sent. SoulagĂ©. Il se dĂ©tendit lĂ©gĂšrement, jouant le jeu de soutenir les regards qui les observait plus ou moins discrĂštement – un sourcil lĂ©gĂšrement arquĂ© et un sourire en coin, swag et assurance. Un problĂšme avec Mindy McCready? Alors, on leur montre le talent des annĂ©es quarante ? » Bucky secoua lĂ©gĂšrement la tĂȘte, amusĂ©. Il se mordilla lĂ©gĂšrement la tĂȘte, et parcourut des yeux la piste de danse – une musique de rock venait de commencer et les jeunes commençait Ă  danser dans ce . ..qui mĂ©ritait Ă  peine le nom de danse, encore moins de rock. - Si vous m'accordez cette danse... »Il dĂ©posa son verre Ă  moitiĂ© vide dans la main d'une greluche qui avaieut eu l'idĂ©e de vouloir les aborder – et se tourna vers sa cavaliĂšre et lui glissa sa main de chair dans la menotte de la jeune fille. Elle Ă©tait toujours bien plus petit que lui, le faisant baisser lĂ©gĂšrement la tĂȘte vers elle, pour l'observer yeux dans les yeux, dĂ©voilant l'Ă©tincelle qui brillait dans son regard. Juste avant de l'entraĂźner sur la piste de danse, sa main de chair dans la menotte de la jeune fille. Il l'entraĂźna dans une danse rapide, leurs pieds dansant avec vivacitĂ© sur le sol, se rapprochant avant de s'Ă©loigner et de se rapprocher juste Ă  temps pour Ă©changer un sourire qui pouvait facilement se transformer en rire - jusqu'Ă  ce que la main mĂ©tallique de Bucky se pose dĂ©licatement sur sa taille – chastement. Fermement. Il la souleva Ă  une main avec aisance dans les airs, la laissant symboliquement prendre appui sur son genou pour entamer une sĂ©rie d'acrobaties dans les airs. James la soulevait pour la reposer dans les airs, les pieds agiles d'Hit-Girl touchant Ă  peine le sol avant de tourner dans ses bras, la tenant dans ses bras, les pieds loin du sol – et un Ă©clat joyeux, enfantin prenant soudain place sur les traits du Winter Soldier, le rajeunissant de dix ans. Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1624 「 FUCK THEM !」Bucky & MindyPardon ? De quoi s’excusait-il ? De ma remarque sur le fait que nous soyons sur les radars de tout le monde. Ce n’était pas un reproche, c’était une constatation. Mais je commençais Ă  m’y faire et mon adaptation en milieu lycĂ©en me faisait comprendre que c’était
 bien. Pour eux en tout cas, pour ces gens-lĂ , ça voulait dire qu’on allait parler d’eux et qu’ils allaient faire sensation. J’avais envie de rire un petit peu. Entre un Bucky Barnes le mystĂ©rieux cavalier et la Mindy McCready fĂ©minine, c’est sĂ»r qu’ils avaient de quoi discuter pour un petit bout de soirĂ©e. Tant mieux s’ils n’avaient rien d’autre Ă  faire de leur nuit de bal plutĂŽt que de s’amuser entre amis et couples. Je m’amusais mĂȘme Ă  observer, que peut-ĂȘtre Bucky se sentait aussi extraterrestre que moi dans un milieu pareil. Notre truc ? La baston. Les coups, l’odeur de la poudre et le goĂ»t du sang dans la bouche. C’était notre quotidien. Je devais m’y faire. Je lui souriais doucement alors que nous buvions tous les deux tranquillement, j’avais l’envie irrĂ©pressible de le rassurer. Je n’avais pas honte de me faire remarquer. J’avais toujours Ă©tĂ© une sorte de petit feu d’artifice aux yeux des adultes qui m’entouraient. Ou bien une sorte de chimĂšre hybride qui n’aurait jamais dĂ» exister. Alors des lycĂ©ens idiots ? Dans le fond, je pouvais parfois les envier d’ĂȘtre aussi innocent et naĂŻf du monde qui pouvait les entourer. Et en mĂȘme temps, je remerciais mon pĂšre d’avoir fait de moi une personne diffĂ©rente pour toujours. C’était un paradoxe trĂšs difficile Ă  gĂ©rer en gĂ©nĂ©ral, car dans des moments comme ce soir, je me sentais juste incapable de pouvoir gĂ©rer la situation. Comme si c’était pire qu’un danger de mort imminent. Et c’est lĂ  oĂč je lui en voulais de ne m’avoir jamais Ă©levĂ© normalement. Ou bien de m’avoir appris Ă  discuter, mĂȘme tout simplement communiquer simplement avec des gens. Je vais avouer un autre truc, je m’en foutais bien de ce qu’elles pouvaient penser toutes ces filles. Et j’étais d’une fiertĂ© extrĂȘme d’ĂȘtre au bras de Bucky. Elles pouvaient baver et ramper ses connasses en robe courte et venir faire les yeux doux. J’attendais impatiemment d’en voir s’en ramener pour d’abord voir la rĂ©action de mon ami, avant que je n’enchaĂźne derriĂšre. L’aura du mauvais garçon tournait un peu autour de lui, mais c’était assez subtil. Juste ce qu’il fallait pour susciter la curiositĂ© et excitation de quelques filles ici et lĂ  –mĂȘme quelques garçons- . Nous dĂ©fions n’importe qui de nos regards, mon sourire Ă©nervant et l’aura de Bucky suffisant Ă  couper court l’envie Ă  n’importe qui de venir interfĂ©rer dans notre soirĂ©e. J’étais dans une bulle invisible, fragile, mais je n’étais toute seule. Alors que je lui proposais de dĂ©placer notre pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ© vers la piste de dance, son sourire amusĂ© aurait pu faire tomber dans les pommes quelques personnes ici et lĂ . Nous Ă©tions peut-ĂȘtre des monstres affublĂ©s d’un sourire, mais nous Ă©tions des gentils laissant entraĂźner par mon cavalier sur la piste de danse qui prenait ma main. Quand je remarquais la diffĂ©rence des danses que Bucky m’avait enseignĂ©es avec ce que je voyais
 Ils appellent ça dansĂ© ? » murmurais-je pour moi-mĂȘme. Certes je ne savais pas encore danser il y a quelques semaines, mais lĂ ... C'Ă©tait minable. Juste tellement diffĂ©rent de ce qu'il m'avait apprit. Comme une sorte de magie, elle s’opĂ©rait en moi alors que je laissais mes pieds devenir d’une grande rapiditĂ© sur un rock presque trop lent pour nous, mais nous Ă©tions en rythme. Nous dansions plus violemment qu’un simple rock que ces idiots ne savaient mĂȘme pas danser, mais bien un rockabilly. C’était acrobatique, sportif, c’était trĂšs amusant et ça donnait place Ă  beaucoup d’amusement chez chacun des partenaires. Je volais. LittĂ©ralement, je volais dans les bras de Bucky, je virevoltais. Il Ă©tait un meneur extraordinaire, un danseur plus que douĂ©. Une danseuse novice serait passĂ© pour une experte entre ses doigts. Hormis pour ce genre de danse, oĂč il fallait un certain entraĂźnement pour ĂȘtre sĂ»r de tenir le rythme et ne pas se manger la gueule. Je croisais parfois son regard, nos sourires aussi, nous rions parfois, alors que je glissais presque dans son dos et qu’il me rattrapait en me ramenant prĂšs de lui et d’enchaĂźner, tournant en rond ensemble Ă  une grande vitesse. Je m’amusais, rien d’autre n’existais autour de moi en cet instant. Vraiment n’est que quand la derniĂšre note retentit alors, comme si Bucky avait toujours connu ce morceau me penchait vers l’arriĂšre, je pus dĂ©couvrir le regard incrĂ©dule et fascinĂ© toute l’audience. Et ceux qui se trouvaient devant mes yeux, Brooke et son ami qui m’avait invitĂ©. Je n’avais mĂȘme pas envie de l’insulter. Mon visage, il Ă©tait tellement radieux qu’il suffisait Ă  l’offusquer sur cinq gĂ©nĂ©rations. * Je t’emmerde, bien essayĂ©. Garde ton minable avec toi. Mais ce soir, c’est ma nuit. *, avant d’entendre des applaudissements. Je me relevais tranquillement grĂące Ă  l’aide de Bucky alors qu’un nouveau morceau recommençait. Je l’invitais Ă  suivre, cette fois-ci un rock moins acrobatique, mais restant assez vivace en soi. Je pouvais ainsi parler Ă  Bucky. T’es juste incroyable. C'Ă©tait genre... Wouaw. » Comme si j’en avais eu beaucoup de toute maniĂšre. Avant de remarquer quelques petites choses. Je pouffais de rire, tout en continuant de danser et lĂąchais. Ils essayent
de t’imiter. » hilare, j’avais du mal Ă  retenir mon rire en tournant sous ses doigts de magicien. .What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1625 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen.... Bucky s'amusait. Beaucoup. Un sourire d'enfant lui mangeait le visage alors qu'il faisait basculer Mindy en arriĂšre – la tenant fermement, les cheveux de la jeune femme effleurant le sol de leurs pointes avant qu'il ne la relĂšve dĂ©licatement, tenant leurs mains jointes contre son torse. Il la releva plus lentement, savourant sans un mot la joie dont la jeune fille irradiait. Revenant un bref instant sur terre alors que la danse se terminait les laissant immobiles sur la piste – mais encore vibrant d'Ă©nergie. C'Ă©tait magique, cela le transfigurait, le rajeunissait et l'amplissait d'une joie. Effaçant le temps d'une danse les traces de sang fantĂŽme que leurs pas traçaient sur la piste. Il adorait danser – et la virtuositĂ© que demandait certaines danses ne faisait qu'exciter sa concentration. Les danses de couple Ă©taient traditionnellement machistes au possible, mais le revers de la mĂ©daille Ă©tait qu'ilss effleurent Ă  grande peine le sol, pour lui faire tourner la tĂȘte. Mais avoir Ă  son bras une cavaliĂšre douĂ©e Ă©tait un plaisir sans fin – il aurait pu danser, infatigable, jusqu'Ă  mourir d'Ă©puisement. Il n'en avait plus autant l'occasion qu'avant-guerre, mĂȘme si il faisait souvent des escapades avec Kin ; danser avaient toujours Ă©tĂ© un plaisir pour lui – ce n'Ă©tait pas tant les jolies filles Ă  son bras, la sĂ©duction et la possibilitĂ© de jouer de son charme sans ĂȘtre regardĂ© comme un vilain garçon et un coureur impopulaire – mĂȘme s'il avait aimĂ© cela, avant – que l'acte simple de ils s'Ă©taient entraĂźnĂ©s dur les semaines prĂ©cĂ©dentes – Mindy avait juste eu Ă  apprendre les pas, elle qui savait dĂ©jĂ  se mouvoir avec grĂące. La frontiĂšre entre danser et tuer Ă©tait fine – muscles, puissance, rapiditĂ©, rĂ©flexes, le corps prenant le pas sur l'intellect. Un duel ou un duo. James Ă©tait encore meilleur danseur depuis que le sĂ©rum coulait dans ses veines et il en profitait encore plus de transformer la torture qui lui avait Ă©tĂ© faite en une action aussi innoffensive. Et plaisante. James avait Ă©tĂ© honorĂ© qu'elle lui demande son aide, et s'Ă©tait rĂ©vĂ©lĂ© un professeur aussi patient que passionnĂ©. Et elle lui avait fait honneur. T’es juste incroyable. C'Ă©tait genre... Wouaw. » Bucky se mordit l'intĂ©rieur de la joue, rougissant lĂ©gĂšrement – il savait qu'il Ă©tait douĂ©, qu'il Ă©tait excellent danseur, et il en tirait une grande fiertĂ©. Mais c'Ă©tait autre chose que de voir la joie et l'admiration dans les yeux de sa cavaliĂšre Ă  peine essouflĂ©e. Il avait perdu l'habitude de rĂ©pondre aux compliments qui ne provenaient pas de grands yeux bleus scintillants qui suffisaient Ă  eux seuls Ă  le faire rougir. Mais c'Ă©tait plaisant, rĂ©veillant une Ă©tincelle de fiertĂ© qui le faisait frissonner de haut en bas. Et son sourire montrait bien que le sentiment Ă©tait accomplie. Ils essayent
de t’imiter. » Bucky Ă©tait hyper-conscient de l'espace qui les entourait, de la position des danseurs, des risques de la situation, mais cela n'apparaĂźssait qu'Ă  l'horizon de son champ de vision et de sa conscience. Une surveillance exĂ©cutĂ©e en arriĂšre-fond, Ă  laquelle il ne prĂȘtait plus qu'une attention marginale. Il jeta u coup d'oeil aux couples qui tentaient d'Ă©voluer sur la piste et arqua un sourcil moqueur. James ramena Mindy prĂšs de lui en la faisant tourner comme un toupie, juste pour qu'il puisse commenter, un sourire en coin - Ils vont se faire mal, » C'Ă©tait mal de se moquer, mais ils n'avaient jamais eu la moindre pitiĂ© envers sa cavaliĂšre, quelques soient les efforts qu'elle fournisse. Une part de Bucky Ă©tait avide de vengeance, d'une justice poĂ©tique tombĂ©e du ciel pour rĂ©parer les torts. Lancer et rĂ©cupĂ©rer sa cavaliĂšre n'Ă©tait certainement pas aussi simple qu'ils en avaient donnĂ© l'impression et il n'y avait guĂšre de situation plus pathĂ©tique que de s'Ă©craser au sol dans une robe de soirĂ©e trop longue. - Tout le monde n'a pas Mindy McCreadt Ă  son bras, » salua-t-il alors que la danse les rapprochait Ă  nouveau. L'espace qu'ils avaient forcĂ© autour d'eux pour leurs acrobaties ne s'Ă©taient pas complĂštement rĂ©sorbĂ© lorsque la musique changea Ă  nouveau, optant pour une musique plus douce et plus lente. Des gloussements et des oooh » retentirent dans la salle et par rĂ©flexe, Bucky lĂącha les mains de Mindy comme s'il venait d'ĂȘtre brĂ»lĂ©. Ce n'Ă©tait pas sa place, ce n'Ă©tait pas Ă  lui de danser d'une maniĂšre aussi romantique avec la jeune fille. Il s'Ă©carta d'un pas, la gorge nouĂ©e, mettant une soudaine distance entre eux. Il n'avait pas signĂ© pour ça. Avant de se reprendre et de poser une main lĂ©gĂšre sur sa taille – timide, n'osant pas s'imposer. Cela lui faisait Ă©trange, d'attirer contre lui quelqu'un pour lequel il n'avait absolument aucune envie romantique - Ă  son Ă©poque, le slow Ă©tait avant tout une maniĂšre de commencer Ă  murmurer Ă  l'oreille des jeunes filles des propos prompts Ă  les faire rougir et des mains plus audacieuse que la dĂ©cence ne le permettait. D'autant plus lorsque c'Ă©tait Steve qu'il avait dans ses bras. C'Ă©tait tout le contraire actuellement, alors qu'il esquissait quelques pas hĂ©sitants, au ralenti. Bucky baissa les yeux vers elle pour murmurer - Ce n'est pas l'idĂ©al, je sais... » il hĂ©sita un instant, regardant par-dessus son Ă©paule - mais tu ne vas pas gĂącher le slow de ton bal de promo avec l'un de ces imbĂ©ciles » empestant les hormones adolescentes et incapables de respect ou d'arriver Ă  la cheville de la jeune fille, et qui ne savaient mĂȘme pas lequel du duo ils jalousaient incapables de danser correctement. » Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1626 「 FUCK THEM !」Bucky & Mindy Ils vont se faire mal. », leurs mouvements Ă©taient maladroits, les robes n’étaient pas faĂźtes pour ce genre de danse. Quand j’avais commençais Ă  apprendre le rock, j’avais Ă©tĂ© naturellement farfouillĂ© sur le net. Pour avoir une idĂ©e gĂ©nĂ©rale des mouvements et des diffĂ©rents rythmes. Les pas n’étaient pas plus compliquĂ©s –enfin il me semblait Ă  ce moment-lĂ - qu’un autre mouvement basique. Ça avait Ă©tĂ© une tout autre histoire une fois que je mettais retrouver dans la salle d’entraĂźnement avec Bucky pour commencer mon apprentissage. Mais aprĂšs quelque temps, cela mettait apparu comme n’importe quel autre entraĂźnement au combat. On retrouvait beaucoup de points communs entre les deux. Je devais bien avouer que voir certains de mes bourreaux’ scolaires tenter de faire quelque chose de la mĂȘme trempe que nous, me faisait doucement sourire. Quand il saluait alors le nom de sa cavaliĂšre, j’inclinais lĂ©gĂšrement la tĂȘte pour lui rĂ©pondre. Tout le monde n’a pas Bucky Barnes comme cavalier. ».Je ne me rendais pas compte sur le coup du changement de rythme. Il me fallait quelques secondes pour analyser les visages doux des filles envers leurs cavaliers alors qu’encore plus de monde venait se joindre Ă  nous sur la piste. Un
 slow ? Je me souvenais mĂȘme d’avoir posĂ© quelques questions timidement sur le sujet de cette danse. J’avais encore furetĂ© sur internet, mais je ne mettais pas entraĂźner. Pas du tout mĂȘme. Cela me semblait simple comme bonjour. Alors quand je sentais les mains de Bucky se reculait des miennes, je comprenais immĂ©diatement que ce n’était pas quelque chose Ă  laquelle il tenait Ă  participer. VexĂ©e ? Pas du tout. Je comprenais tout Ă  fait. C’était assez intime comme danse en soi, mĂȘme si aujourd’hui la dĂ©finition du romantisme avait changĂ© depuis un petit moment. Je ne comptais pas imposer ça Ă  mon compagnon, c’est pour ça que je m’apprĂȘter Ă  quittĂ© la piste en sa mon sourcil en baissant la main sur ma taille, je lui jetais un regard d’incomprĂ©hension et interrogatif. Tu n’es pas obligĂ© d- », je prĂ©fĂ©rais me taire alors que mes pas commençaient Ă  suivre les siens. Ecoutant ses mots. J’étais assez hĂ©sitante, voire complĂštement. Je me doutais bien de l’ampleur que signifiait une danse pareille pour Bucky et en mĂȘme temps, je ne pouvais m’empĂȘcher de trouver cela gentil de sa part de passer au-dessus de ça, pour ma petite personne. Je trouvais mĂȘme que la liste avec Ă©crite Reconnaissance envers Bucky » en titre, ne faisait que s’alourdir au lieu de s’allĂ©ger. Une fois encore, malgrĂ© la situation un peu Ă©trange, j’arrivais Ă  laisser passer un sourire sur mes lĂšvres. Ouais, c’était pas Ă  cause d’un truc pareil que j’allais arrĂȘter de m’amuser. Avec ou sans, je m’amusais dĂ©jĂ . Mais apparemment, pour beaucoup ici, c’était mythique. Ma main se posait dans son dos alors qu’on se rapprochait lĂ©gĂšrement pour commencer Ă  danser tranquillement. Calmant certainement nos battements de cƓur en vue des danses folles menaient prĂ©cĂ©demment. Si ils arrivent pas Ă  danser un slow quand mĂȘme, ça craint. Et puis
 Comme si j’avais envie de danser avec l’un d’eux. » Tous n’étaient pas mĂ©chants Ă  vrai dire. Comme mes petits amis geek par exemple. Mais connaissant les personnages, ils n’étaient pas venus. Eux trop timide pour demander Ă  une fille de venir et les autres filles
 Pas tout le monde n’aimait ce style de mec. Pop-Quizz. L’AR15 est la version la plus lĂ©gĂšre, avec le plus petit calibre de quelle arme ? » Les slows, c’était fait pour ĂȘtre proche de son cavalier, sĂ»rement pour se murmurer des choses Ă  l’oreille pour les couples. Pas pour moi en tout cas. Et pour nous aider Ă  passer cette Ă©tape Ă©trange, mais qui resterait sĂ»rement gravĂ©e dans ma mĂ©moire, je jouais avec Bucky. C’est un jeu que je faisais Ă©normĂ©ment avec mon pĂšre sous couvert d’avoir une rĂ©compense. Il me posait une sĂ©rie de questions sur les armes, techniques de strangulation ou des films de John Woo pour ĂȘtre certain que je n’oubliais rien d’important. Personne ne pouvait nous entendre, tous Ă©taient trĂšs concentrĂ©s Ă  sourire et danser. Alors personne ne prĂȘterait attention Ă  nous. Facile mon modĂšle prĂ©fĂ©rĂ© de couteau papillon ? ». Ce n’était pas la conversation la plus naturelle qu’il soit dans ce genre de situation, mais c’était une conversation naturelle pour nous. Mais elle l’était pour nous deux. En bien ou en mal. .What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1627 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen.... Tu n’es pas obligĂ© d- » Il secouait lĂ©gĂšrement la tĂȘte, faisant retomber une mĂšche devant ses yeux, mais Mindy se tut d'elle mĂȘme. Il n'Ă©tait pas obligĂ©. James en Ă©tait conscient – et c'Ă©tait peut-ĂȘtre ce qui l'avait dĂ©cidĂ©, la possibilitĂ© d'en faire Ă  sa tĂȘte, de n'ĂȘtre obligĂ© Ă  rien. Il n'Ă©tait pas obligĂ©, mais cela lui faisait plaisir de faire plaisir Ă  Mindy, et cela n'avait rien Ă  avoir avec l'obĂ©issance complaisante et dĂ©sespĂ©rĂ©e d'un chien suppliant ses maĂźtres de ne pas le battre pour rien. Cela lui faisait plaisir – sinon il ne l'aurait pas proposĂ©. Cela ne voulait pas dire qu'il ne regretta pas pendant une brĂšve seconde son offre alors qu'ils entamaient cette nouvelle danse. Il n'Ă©tait pas Ă  l'aise. Mais c'Ă©tait important et ses pieds se mouvaient lentement, presque immobiles. Si ils arrivent pas Ă  danser un slow quand mĂȘme, ça craint. Et puis
 Comme si j’avais envie e danser avec l’un d’eux. » Cela rassurait Bucky – il ne lui volait pas une danse romantique avec l'Ă©lu de son cƓur. Mindy avait beau faire semblant que tout cela lui Ă©tait indiffĂ©rent, James Ă©tait bien placĂ© pour reconnaĂźtre le sentiment de vouloir aimer alors que tout votre ĂȘtre Ă©tait de mort et de mĂ©tal, de guerre et d'horreur. Il esquissa un faible sourire que la jeune fille ne pouvait pas vraiment voir, alors que la joue de Bucky effleurait le sommet de son crĂąne. Pour une fois, ses pas Ă©taient raides et tendus – mais toujours meilleur cavalier que beaucoup de jeunes hommes autour d'eux - la classe Ă©tant apparemment morte avec le respect durant la seconde guerre mondiale. Pop-Quizz. L’AR15 est la version la plus lĂ©gĂšre, avec le plus petit calibre de quelle arme ? » Une sorte de spasme parcourut Buck – Ă  moitiĂ© surprise, Ă  moitiĂ© rire contenu. Avant de se contenir de rĂ©pliquer docilement sans mĂȘme y rĂ©flĂ©chir dans un murmure - AR10 d'EugĂšne Stoner, » Le plus difficile Ă©tait de s'empĂȘcher de mimer les gestes nĂ©cessaires pour le dĂ©monter, remonter, nettoyer, recharger – lorsque l'arme apparaissait dans son esprit, c'Ă©tait une rĂ©action psycho-somatique. Un rituel qui l'aidait Ă  trouver la paix, lorsqu'il alignait son armurerie personnelle sur la table du salon et que l'Ă©clat des lames argentĂ©es et l'aspect mate et tĂȘtu de celles qui Ă©taient noires l'apaisaient. C'Ă©tait facile, c'Ă©tait la routine. Facile mon modĂšle prĂ©fĂ©rĂ© de couteau papillon ? » Il l'avait tenu dans sa main une heure et quelques auparavant. La premiĂšre question avait fait explosĂ© une bulle de soulagement dans la poitrine de Bucky, dissipant une partie de sa tension. Celle-ci l'apaisa tout Ă  fait, soulagement sensible jusque dans la tenue de son dos - Benchmade modĂšle 42, tout en acier. Mon Benchmade prĂ©fĂ©rĂ© ? » Un dĂ©fi puisque ce n'Ă©tait pas son couteau prĂ©fĂ©rĂ© – il Ă©tait quelque peu trop attachĂ© aux couteaux de combat standards des soldats militaires, bien qu'il ait passĂ© 70 ans de sa vie sans savoir pourquoi – mais il utilisait aussi un Benchmade, une marque de confiance qu'il affectionnait et qui ne faisaient pas que des couteaux papillons. Lorsque la musique du slow s'Ă©teignit pour laisser place Ă  des musiques un peu plus rythmĂ©es, seule une petite partie de leurs arsenals respectifs avait Ă©tĂ© passĂ© au crible, mais James respirait plus facilement. Peut-ĂȘtre, peut-ĂȘtre qu'ils frimaient un peu Ă  ĂȘtre capables de danser n'importe quel type de danse sans la moindre difficultĂ© apparence ou perdre l'Ă©nergie vibrante qui les caractĂ©risait. Jusqu'Ă  ce que la musique s'arrĂȘte pour laisser placer Ă  une voix, au micro. Voici venir le moment d'Ă©lire le roi et la reine de ce bal de promo Ă©ditions 2021, et je vous demanderais d'acclamer... » Bucky allait entraĂźner Mindy jusqu'au buffet pour reprendre un peu leur souffle, et goĂ»ter l'intĂ©gralitĂ© des petits fours proposĂ©s un par un, lorsqu'ils se retrouvĂšrent soudainement dans une flaque de lumiĂšre vive. Tout Ă  fait le genre de choses qui rĂ©veillaient en sursaut l'instinct de survie du Winter Soldier – cinq ans auparavant, il aurait tuer les trois personnes les plus proches de lui avait de passer par la fenĂȘtre avant qu'il ait le temps d'y penser ou quiconque de remarquer qu'il y avait un sĂ©rieux problĂšme. -...Mindy McCready, et.. son cavalier ! »Le prĂ©sentateur continuait Ă  dĂ©blatĂ©rer son pataquĂšs, mais Bucky bloqua sans difficultĂ© cette distraction pour lancer un regard en coin Ă  la jeune reine du bal. Il avait intĂ©nsement conscience des regards braquĂ©s sur eux, chatouillant son sixiĂšme sens – ils Ă©taient en sĂ©curitĂ© cependant, se rĂ©pĂ©ta-t-il, le plus beau jour d'une adolescente soudainement Ă©lue reine de la soirĂ©e, tout allait bien
 si ce n'Ă©tait l'air terrifiĂ© et paniquĂ© que Mindy avait Ă  ses cĂŽtes. Pour le Winter Soldier, elle Ă©tait aussi facile Ă  lire qu'un livre rĂ©digĂ© en russe et il se plaça lĂ©gĂšrement derriĂšre elle, presque assez proche pour l'effleurer mais sans la toucher tout Ă  fait. Bucky posa sa main de mĂ©tal – froide et Ă©trangĂšre, les diffĂ©rentes phalanges et plaques qui composaient la prothĂšse clairement perceptibles sur la peau de la blonde – sur son Ă©paule dĂ©nudĂ©e et pressa doucement. - Facile combien ai-je d'armes actuellement sur moi ? »Murmura-t-il Ă  son oreille alors qu'il se penchait par-dessus de son Ă©paule, se mettant sur la pointe des pieds, prĂ©sence rassurante dans son dos et rappel de qui ils Ă©taient, de qui elle Ă©tait. Et qu'il Ă©tait toujours lĂ . Ce n'Ă©tait pas parce qu'il Ă©tait l'adulte responsable et rassurant de la piĂšce qu'il ne pouvait pas se permettre d'ĂȘtre un troll, et le sourire un brin moqueur et content de soi de Bucky Ă©tait clairement visible sur ces traits assurĂ©s. Alors qu'il la forçait Ă  rester sous le feu des projecteurs – ce n'Ă©taient pas parce qu'ils Ă©taient des crĂ©atures de l'ombre et du sang qu'ils ne devaient pas apprĂ©cier leur moment de gloire, non ? Mais lorsque les hypocrites firent mine d'enlacer leur Mindy » et surtout, surtout son cavalier 
 Bucky rĂ©sista mal au rĂ©flexe d'envoyer bouler la gamine qui venait de poser une main vernie sur son bras, et il glissa sa main libre dans celle de la jeune et la souleva contre lui - il la fit tourner dans les airs, sa robe tourbillonnant autour d'eux - on excuserait bien le couple de la soirĂ©e, hein ? - Babydoll, liste des sorties de secours. » chuchota-t-il Ă  Mindy, le souffle court, juste avant de la dĂ©poser au lorsque les pieds de la jeune fille retouchĂšrent terre, elle dĂ©couvrit que leur volte leur avait permis de faire un bond hors de la foule, prĂȘts Ă  fuir Ă  toute allure. Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1627 「 FUCK THEM !」Bucky & Mindy Question un peu piĂšge, mais je suis certaine que c’est le Benchmade SOCP 176BK. » Rien Ă  voir avec mon couteau papillon. Bien qu’on puisse trĂšs bien le lancer dans le feu de l’action et ne pas louper son ennemi. Nos pieds se mouvaient lentement, tranquillement, alors que je continuais de regarder tranquillement l’épaule de Bucky. MĂȘme avec de trĂšs lĂ©gers talons, je lui arrivais Ă  peine au niveau du visage. Je pouvais sentir sa joue contre le haut de mon crĂąne, alors que lui-mĂȘme fixait certainement sans grand intĂ©rĂȘt ce qui l’entourait. Bien que sur le qui-vive, nous l’étions tous les deux. Alors que nous jouions Ă  un jeu presque innocent pour nous-mĂȘmes et dangereux pour le reste du monde. Qu’importe cela nous permettait de nous dĂ©tendre et d’oublier notre situation pendant les quelques minutes de la danse. Je vais vous dire un truc, certes c’est supposĂ© ĂȘtre pour les couples. Mais je ne le considĂ©rais pas comme ça maintenant. Je considĂ©rais maintenant le slow comme chorĂ©graphie que l’on peut partager avec votre ami, votre parent, votre grand frĂšre. N’importe quelle danse maintenant peut-ĂȘtre considĂ©rer comme ayant une arriĂšre-pensĂ©e. Pourquoi ne pas faire le contraire, quand tout est clair dans la tĂȘte de chacun des participants ?Tellement plongĂ©e dans notre petit jeu Ă  peine entamĂ©, que la chanson se terminait. Je me sentais presque frustrĂ©e de ne pas pouvoir continuer tout en dansant. Je lui adressais un petit sourire reconnaissant. Avant d’entendre une voix au micro qui me faisait lever les yeux lĂ©gĂšrement au ciel. LĂ , ce n’était pas vraiment mon truc. La bave, les Ă©toiles dans les yeux et tout le reste, ce n’était vraiment pas mon dĂ©lire et encore moins de voir tout le monde faire semblant d’aimer les Ă©lus de la soirĂ©e. Je commençais donc Ă  suivre trĂšs volontairement mon ami vers le buffet pour me dĂ©saltĂ©rer et manger quelques petites choses. Ca n’avait pas l’air mauvais, pour une fois qu’ils ne loupaient pas quelque chose dans ce lycĂ©e, c’était presque une premiĂšre. Mais mes sens s’activĂšrent quand je dĂ©couvrais alors ma silhouette et celle de mon cavalier dans une lumiĂšre Ă©clatante. Tout va bien. Ce n’est rien. De la lumiĂšre. Personne ne hurle, aucun mouvement brusque. Tout va bien. Respire ma fille, c’est juste de la lumiĂšre. 
Mindy McCready, et
 son cavalier ! » 
 J’étais en arrĂȘt. Pendant une seconde, mon cerveau avait fait un arrĂȘt avant de se remettre en marche Ă  toute vitesse. Moi, reine de promo ? C’était quoi cette blague de mauvais goĂ»t exactement ? Je ne l’apprĂ©ciais pas vraiment. Mais plus j’écoutais l’homme au micro, ainsi que les regards sur moi, je comprenais que ce n’était pas une farce Ă  mon encontre ou mĂȘme contre Bucky. Je pouvais sentir son regard sur moi, m’analysant attentivement. J’étais lĂ©gĂšrement souriante, tenant nerveusement mes mains contre moi. Mais qui ne le serait pas, anxieuse d’entendre son nom au micro ? Ahaha
 Vous ĂȘtes tellement mignon. On venait littĂ©ralement de me lancer un camion de quinze tonnes en pleine figure, la panique m’envahissait comme coulerait le sang de mon adversaire sur les lames. Qu’est-ce que j’étais supposĂ© faire ? Je n’étais pas entraĂźnĂ© Ă  rĂ©agir Ă  ça, je ne pouvais pas avoir la rĂ©action attendue comme les larmes ou l’hystĂ©rie. Je ne pouvais que trouver une alternative Ă  tout ça et il m’en fallait une au plus vite avant de manquer d’envoyer un coup dans le premier qui s’approcherait de moi de trop prĂšs. Brisant ainsi mon pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ©. Je n'Ă©tais pas faĂźtes pour ĂȘtre reine du bal de promo, Mindy et Hit-Girl ne pouvaient...Le contact du mĂ©tal froid sur ma peau, pour le regard seulement des plus aiguisĂ©s, m’avait arrachĂ© un trĂšs lĂ©ger sursaut. Facile combien ai-je d’armes actuellement sur moi ? » La lĂ©gĂšre pression sur mon Ă©piderme me faisait sortir de ma torpeur. Respire Mindy, ça va aller. T’es pas toute seule, Bucky Ă©tait avec moi, se tenant juste dans mon dos. Je ne pouvais pas voir son expression, mais je le connaissais assez bien qu’actuellement il Ă©tait assez content. Mes yeux parcouraient la foule devant nous et ceux qui nous entouraient applaudissant Ă  notre Ă©lection. J’avais littĂ©ralement envie de fuir, prendre la sortie la plus facile et abordable et y disparaĂźtre. Mais il Ă©tait prĂ©sent dans mon dos pour me rassurer. Il ne me laisserait pas fuir et encore moins ne pas profiter de mon moment de
 lumiĂšre. Je pouvais voir la troupe de connasses et leurs amis me dĂ©visager littĂ©ralement et surtout Brooke taper presque du talon avant de faire demi-tour, fuyant presque la salle suivis de sa petite Cinq armes. Je dirais au moins trois lames, certainement ton Baby offert par Steve, tu ne t’en sĂ©pares jamais. Sans compter ton bras bien sĂ»r. Et un autre truc. » J’avais Ă  peine le temps de finir ma phrase, que les organisateurs de la soirĂ©e, une fille s’approchait de moi pour presque m’enlacer en me fĂ©licitant. Bien sĂ»r, que je l’avais vu arriver de loin, son compagnon tenant des fleurs qu’il finissait par me tendre en souriant. Je prenais doucement le bouquet de roses blanche, faisant ainsi de moi la reine du bal selon la tradition. L’hypocrisie ambiante et l’étau autour de nous, commençaient lentement Ă  me dĂ©plaire et surtout Ă  nous faire suffoquer. Je pensais pouvoir penser pour nous deux Ă  ce moment. Alors que la pression se faisait ressentir, je me sentais tout Ă  coup envoler dans les airs, tournant et tournant alors que je posais mon regard sur Bucky, me tenant Ă  lui alors que finissais par rire en relĂąchant la soudaine pression. Mes yeux s’illuminĂšrent un peu plus en entendant mon surnom. Deux entrĂ©es principales du gymnase, les fenĂȘtres en passant par les vestiaires, les fenĂȘtres au-dessus des gradins sont assez fragiles. Par l’entrĂ©e principale, cela reste la voix la plus rapide pour rejoindre la moto. ».Une fois sur le sol, je faisais un tour sur moi-mĂȘme alors que ma main restait liĂ©e Ă  la prothĂšse mĂ©tallique, mon autre serrant le bouquet. Un chemin se dessinait dans mon esprit alors que je visualisais entiĂšrement les plans du lycĂ©e. Avant de serrer un peu plus fort la main de Bucky. Il Ă©tait l’heure de tirer sa rĂ©vĂ©rence maintenant. J’arquais lĂ©gĂšrement les genoux, comme une lĂ©gĂšre rĂ©vĂ©rence en le fixant avant de tout Ă  coup me mettre Ă  courir en robe en sa compagnie aussi rapide qu’on le pouvait. Je ne sais pas si c’était l’excitation de la soirĂ©e, la danse, la joie de voir Brooke humiliĂ©e, mais je me sentais remplie d’adrĂ©naline pure et naturelle. Nous avions littĂ©ralement disparu de la salle, courant Ă  travers les couloirs du lycĂ©e. Mes armes, combien j’en ai sur moi ? » demandais-je sans chercher Ă  m’essouffler. Avant de dire brusquement Gauche ! FenĂȘtre sur le parking ! Par les escaliers !». Je le laissais alors amortir le violent virage que nous prenions tous les deux avant de foncer vers le fond du couloir. J’avais envie d’hurler de rire. En Ă  peine une seconde, nous montions un morceau d’escalier. Une fenĂȘtre ouverte, assez large. Ayant pris mon Ă©lan sur la rambarde et m’appuyant dessus je sautais. Me retrouvant Ă  l’extĂ©rieur, me rattrapant facilement. Mon compagnon avec moi. Un sourire nous sciĂ©s littĂ©ralement le visage, alors que ma poitrine bougeait rapidement. Ce n’était pas la fatigue ou la peur. C’était l’accumulation de tout et rien Ă  la fois. On est pire que des gosses, tu le sais ça ? Roh putain, ils doivent tous se demander oĂč on est passĂ©. Et ton filin d'acier bien sĂ»r ! J'ai failli oublier » Dur de faire concurrence avec un homme d’un niveau olympique en tout point physique. J’avais toujours mon bouquet, je le fixais quelques secondes alors que la moto n’était qu’à quelques pas de nous. Un rire nerveux traversait mes lĂšvres, un rire de libĂ©ration aussi. Une tension disparaissant de mes Ă©paules. C’était une soirĂ©e, certaine l’une de mes meilleures de toute ma vie. Alors que je marchais plus calmement, mais tout de mĂȘme Ă  pas rapide – je n’avais pas envie qu’on nous retrouve ou mĂȘme de rester plus que nĂ©cessaire – jusqu’à la bĂ©cane. Alors que je laissais s’installer, je fixais une derniĂšre fois, le lycĂ©e. Le monde des gens normaux. Mais le sourire aux lĂšvres de cette soirĂ©e. Alors que je venais enfourcher la bĂȘte mĂ©canique en ayant mit mon casque..What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1628 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen.... Deux entrĂ©es principales du gymnase, les fenĂȘtres en passant par les vestiaires, les fenĂȘtres au-dessus des gradins sont assez fragiles. Par l’entrĂ©e principale, cela reste la voix la plus rapide pour rejoindre la moto. » Et quid de celles des toits et des conduites, hm ? Comme pour ses armes, Mindy tombait extrĂȘmement juste, mais sa rĂ©ponse Ă©tait incomplĂšte. Elle avait raison pourtant, et malgrĂ© le trouble, la joie, la soirĂ©e et toutes les franfreluches qui allaient avec, Hit-Girl fonctionnait toujours en arriĂšre-plan, observant, aux aguets. Bucky ne savait pas exactement quoi faire de ça – quelque chose en lui hurlait que ce n'Ă©tait pas juste qu'une gamine s'occupe plus des moyens d'Ă©chapper Ă  une petite armĂ©e que de profiter de son bal de promo. Une autre partie Ă©tait... rassurĂ©e. Le Winter Soldier Ă©tait rassurĂ© d'avoir quelqu'un qui n'Ă©tait pas de la chair Ă  canon Ă  son bras, et Bucky Ă©tait rassurĂ© de ne pas ĂȘtre seul Ă  patrouiller sans cesse son environnement comme un chien de guerre. 3 lames, une par cheville, et une, froide contre le poignet oĂč battait le sang – le minimum habituel. Le baby desert eagle II aussi, malgrĂ© son poids. 5 ans plus tard, des dizaines de nouvelles armes achetĂ©es plus tard et une bonne partie de ses problĂšmes psychologiques... mis en pause disons – il ne serait jamais guĂ©ri, jamais, mais ce soir n'Ă©tait pas le bon soir pour y penser. - il dormait toujours avec ce flingue, l'avait toujours sur lui. Une valeur sentimentale – un flingue pour se mettre Ă  mort, un fligne parce qu'il adorait leur mĂ©tal noir, un flingue parce qu'on est jamais trop prudent. Ce flingue parce c'Ă©tait son prĂ©fĂ©rĂ© et il ne s'en sĂ©parait il Ă©tait difficile d'observer combien d'armes il avait sur lui – mais Mindy le connaissait assez bien pour savoir qu'il avait toujours un certain nombre de lames sur lui et qu'il se trimballait un flingue en guise de talisman. Et un autre truc – Hit-Girl se laissait aller et cela prĂȘtait Ă  sourire. Bucky ne lui demanda pas de prĂ©ciser - Cela faisait des dĂ©cennies qu'il avait arrĂȘtĂ© de ruiner la vie de jeunes filles en les transformant en machines Ă  tuer – parfois, son propre entraĂźnement revenait au galop, et c'Ă©tait une honte qui refusait de se refermer. Il n'ajouterait rien – aprĂšs tout, elle Ă©taient censĂ©e chercher des sorties de secours pour des ĂȘtres humains, pas pour des armes vivantes sans souci des limitations et des ils n'Ă©taient pas en danger – il n'avait posĂ© cette question que pour la distraire, la faire rire. Mission accomplie. Bucky aimait avoir l'impression d'avoir accompli sa mission, cocher une case Ă  l'intĂ©rieur de son crĂąne lui donnait l'impression de ne pas s'effondrer tout entier – surtout lorsque la mission Ă©tait de faire rire ou de protĂ©ger. Ils aimaient ces missions. Mission rendre le bal de promo de Mindy inoubliable rendre le sourire Ă  Mindy rendre la monnaie de leur piĂšce Ă  ses imbĂ©ciles rendre la nuit du bal de promo de Mindy extra-ordinaire en remplir l'estomac de deux assassins dont l'un possĂšde le mĂ©tabolisme d'un super-soldat au rabais en avait, aussi, posĂ© cette question pour qu'ils puissent se mettre sur la mĂȘme longueur d'onde sans avoir Ă  discuter d'un plan en amont. D'un commun accord, les deux assassins, se mirent Ă  courir dans les couloirs du lycĂ©e. Mes armes, combien j’en ai sur moi ? Gauche ! FenĂȘtre sur le parking ! Par les escaliers !» Ses jambes rĂ©agirent avant son cerveau, et il tourna Ă  gauche dans un angle droit parfait, sans ralentir l'allure – main de fer agrippĂ©e Ă  celle Mindy, balançant nos poids sans effort. Une fuite Ă©perdue digne des films d'avant-guerre un homme en costume, une jeune fille en robe de soirĂ©e impraticable, roses en mains, qui fuyaient main dans la main. Oh my. S'ils savaient Ă  quel point cette image Ă©tait fausse – dĂ©jĂ  parce qu'ils s'agissaient de deux assassins sur-entraĂźnĂ©s et que l'un deux faisait son jogging du matin pour rester Ă  niveau avec la plus jeune. Son souffle n'Ă©tait mĂȘme pas court lorsqu'il lui jeta un coup d'oeil, gravissant les escaliers - Benchmade, couteau papillon dans ton sac, et 4 couteaux, au moins, tout ça parce que tu es convaincue que tu as besoin d'autant de lames. »C'Ă©tait un reproche, oui – pas du fait qu'elle se croyait en danger. Mais qu'elle soit convaincu qu'elle avait besoin d'autant de lames pour se dĂ©barrasser de ce qui pourraient leur arriver cette nuit. Certes, en mission, Bucky transportait une armurerie sur lui et il Ă©tait mal placĂ©... mais 3 couteaux, pour quelqu'un du niveau du Mindy, c'Ă©tait normalement assez. Si elle avait besoin de plus, c'est qu'elle avait merdĂ©. James n'aimait pas le travail mal fait – mĂȘme si niveau situations dĂ©sastreuses qui partent en couille, il avait un doctorat. James atterrit souplement Ă  cĂŽtĂ© d'elle, ses pieds aussi lĂ©gers que ceux d'un faon – il se redressa tout Ă  fait, et haussa les Ă©paules. -Une arme Ă  feu, semi-compacte...Au poids, le Jerico 941 ou un Sig, mais je mise sur le premier. Et tu es encore une gosse. »Il eut un petit sourire, teintĂ© d'une lĂ©gĂšre tristesse, un sourire qui tirait un peu aux fossettes, lĂšvres pincĂ©es les une contre les autres, alors qu'il marchait au pas Ă  cĂŽtĂ© d'elle. Il avait repris son calme ; A 18 ans... il ne se considĂ©rait plus comme un gosse non plus – il travaillait, cumulait plusieurs jobs pour aider ses sƓurs et les soins de Steve, suait dur, faisait le beau, emmenait les filles danser. Se croyait le roi du monde et un adulte, responsable – ce qu'il Ă©tait, selon la norme Job ? ResponsabilitĂ©s ? Bouches Ă  nourrir ? Filles ? All done. Mais par rapport Ă  ce qui allait suivre, il Ă©tait un ange innocent, il Ă©tait juste un foutu gosse grandi trop vite. -Et ton filin d'acier bien sĂ»r ! J'ai failli oublier » - Ah bah enfin, » commenta James alors qu'il s'installait sur la malice dans sa voix contrastait avec son visage impassible. Son filin d'acier. Pratique, cela ne prend pas de place, ça rentre mĂȘme dans un sac Ă  main ou dans une poche de pantalon de costume et ça sert Ă  tout. A tout, je vous dis. James fit vrombrir le moteur, malmenant le ventre de la bĂȘte, tandis qu'il laissait Mindy s'installer derriĂšre lui – casque sur la tĂȘte. Elle semblait toujours aussi enthousiaste, alors qu'elle tentait de caler le bouquet de roses entre eux, sans trop de dommage – Bucky se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure, avant de secouer la tĂȘte, et lui adressa un lĂ©ger signe du menton. - Pancakes ? Je connais un endroit. Si tu tiens le coup. »Pancakes ET milkshakes. MĂȘme s'il devait ĂȘtre presque minuit maintenant - Mindy McCready ne se retransformait pas en tueuse passer minuit, telle Cendrillon, n'est-ce pas ? James lança la moto dans la nuit, prenant la voie pour sortir de la ville sans hĂ©siter. Quelques missions Ă  parier que celui qui se ferait repĂ©rer le dernier avait le choix de l'endroit oĂč petit-dĂ©jeuner lui avait permi de connaĂźtre une bonne partie des pancakes-house du pays. Non, le Winter Soldier n'a pas une obsession sur le sucre. Pas au point de traĂźner quiconque Ă  300 km de lĂ , voyons. Ils en avaient pour un peu plus d'une heure de route – deux bonnes heures et quelques s'il avait respectĂ© les limitations de vitesse, mais, aprĂšs tout, James n'avait pas son permis il prĂ©fĂ©rait de loin pousser sa bĂ©cane Ă  la limite de son moteur peut-ĂȘtre un peu amĂ©liorĂ© par certaines pattes de sa connaissance, et conduire comme s'il avait la mort aux trousses. Ou en face, vu le nombre de fois oĂč il zigzaguait et frĂŽlait d'autres vĂ©hicules sans se soucier de leur espĂ©rance de vie Ă  lui et Ă  sa passagĂšre. Le Winter Soldier aurait eu des soucis s'il n'avait pas Ă©tĂ© capable de traerser la moitiĂ© des etats-unis sans pouvoir se forcer Ă  rester Ă©veillĂ© – mais il espĂ©rait que Mindy Ă©tait bien accrochĂ©e, lorsqu'il s'arrĂȘta presque dĂ©licatement devant un petit restaurant en bord de route, qui ne payait pas de mine malgrĂ© le bruit de l'ocĂ©an, portĂ© par l'Ă©tendue qui cernait la route. Il n'Ă©manait du bĂątiment qu'un lĂ©ger ronronnement dans la nuit, et des lumiĂšres. Un endroit bien calme, mĂȘme si quelques couche-tards au bec fin se trouvait bien Ă  l'intĂ©rieur. Bucky n'Ă©tait pas vraiment fan de ce genre d'endroits en rĂšgle gĂ©nĂ©rale – ceux de cette Ă©poque avaient tendance Ă  oublier que les annĂ©es 40 et 50 comportaient surtout les mots grande dĂ©pression »et guerre ». Mais les pancakes Ă©taient dĂ©licieux, le restau Ă©tait ouvert toute la nuit et de la musique sur laquelle il avait effectivement dansĂ© tournait sur le jukebox – cela plairait Ă  Mindy et valait la peine d'attendre un peu pour raccompagner sa cavaliĂšre sur son palier. Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1629 「 FUCK THEM !」Bucky & MindyUn grognement traverse lĂ©gĂšrement mes lĂšvres. Bien sĂ»r que dans le fond, je ne pouvais pas me trimballer sans un minimum d’armes pour me dĂ©fendre et surtout pour rĂ©pliquer. Bien sĂ»r, il n’y avait aucune raison pour voir une attaque venir dans mon lycĂ©e, mais la prudence m’avait dĂ©jĂ  fait dĂ©faut pour ce soir. J’étais certaine d’en avoir fait une autre d’ailleurs, autant dire que je n’étais pas fiĂšre, mais alors pas du tout de moi. Et c’est Ă  ce moment prĂ©cis que je me questionnais pourquoi je n’avais pas rajoutĂ© aux sorties possibles le toit, en accĂšs via les conduits de ventilation par exemple. Pourquoi, pourquoi donc, je ne l’avais pas dit ? Plus j’y pensais, plus je me sentais mal. Et en mĂȘme temps soulagĂ© de quelque chose bien inconnu pour moi. Je n’avais pas pensĂ© aux autres sorties pour deux raisons possibles la premiĂšre la plus Ă©vidente, me donnant envie de me mettre des gifles, celle de l’anxiĂ©tĂ©. Mais c’était pas une excuse merde. Combien de fois Ă©tais-je venu ici de nuit, avant mon premier jour de lycĂ©e pour tout inspecter de fond en comble ? Combien de fois l’avais-je fait ? Trop de fois pour ce que c’était. La seconde ? Celle qui me semblait plus douce, plus tendre Ă  mon oreille et me rĂ©confortait dans mon humanitĂ© parce que Bucky Ă©tait prĂ©sent. Nous Ă©tions deux cerveaux de tueurs aguerris et confirmĂ©s. MĂȘme si ça faisait mal Ă  mon compagnon de l’admettre pour ma part. Concernant les armes ? Ah. Comme si j’avais eu le temps, voire mĂȘme l’esprit de penser seulement Ă  rĂ©duire mon petit arsenal. Trop chamboulĂ© par mes sentiments pour penser d’une maniĂšre froide et mĂ©ticuleuse. Sachant trĂšs bien que Bucky emmĂšnerait aussi bien son stock de munitions et autres petits jouets tranchants. Nous n’étions vraiment pas des gens normaux, c’était triste, mais c’était comme ça. Ta puissance de feu est plus importante que la mienne, ex aequo. » Je lui adressais un lĂ©ger sourire en coin. Bucky, ne m’en veux pas s’il te plaĂźt. J’avais peur. Je ne pouvais pas te le dire, parce que je ne savais pas le faire. Mais j’avais tellement peur de venir, si blessĂ©e de me retrouver seule et puis tu avais dĂ©barquĂ© comme un chevalier blanc dans les contes pour les enfants. Pas le temps de penser Ă  changer de robe, rĂ©duire mes armes
 J’avais peur de rentrer dans ma chambre et d’ĂȘtre incapable peut-ĂȘtre d’en ressortir comme tu m’avais fait sortir. Tu mises plutĂŽt bien, comme d’habitude. » affirmais-je avec un lĂ©ger enthousiasme dans la voix qui n’arrivait pas Ă  fuir ma poitrine. Je ne prĂ©fĂ©rais mĂȘme pas relever la remarque sur le fait que j’étais qu’une gamine encore Ă  ses yeux. Je n’avais nullement envie de me disputer avec lui ni de me bagarrer pour l’instant. Mais le destin et surtout l’humeur de Bucky, taquine, ne voulait apparemment pas me lĂącher. Ah bah enfin. » m’arrachait un autre fois installĂ©e derriĂšre lui, je donnais un lĂ©ger coup dans sa taille avec ma main. Comme pour l’engueuler, juste assez pour pincer sa peau. ContrariĂ©e. Tu t’arrĂȘtes ouais ? C’est qui le gamin lĂ  ? Tu ne m’avais pas laissĂ© le temps de finir ma phrase je te signale. » C’est sĂ»r que c’était plus marrant de fuir une soirĂ©e comme des dĂ©biles, courant dans tout le lycĂ©e Ă  la recherche d’une sortie rapidement. Je faisais mĂȘme l’effort de caler convenablement le bouquet que j’avais reçu entre nous deux, je n’avais pas envie de le perdre ni de le jeter. Les pauvres pĂ©tales tremblants terriblement Ă  chaque vrombissement du moteur de la Harley-Davidson. SĂ©rieux ? » le mot pancakes venait ronronnait Ă  mes oreilles. Je pouvais dĂ©jĂ  imaginer le goĂ»t sur mes papilles ainsi que celle de la glace qui complĂ©terait mon repas. J’étais une fervente admiratrice des glaces de tous les goĂ»ts et formes. Quoi de mieux aprĂšs un entraĂźnement que de prendre un kilo de glace parfumĂ© pour se rafraĂźchir et retrouver rapidement des sucres rapides ? Tu me lances un dĂ©fi ou je rĂȘve ? » m’amusais-je Ă  rĂ©pondre alors que je m’accrochais fermement Ă  sa taille alors que la puissance de la bĂȘte nous faisait dĂ©jĂ  atterrir sur la voie rapide pour quitter la ne savais pas du tout oĂč mon ami me menait et pour ĂȘtre honnĂȘte ? Je m’en fichais totalement. La vitesse me donnait un coup de fouet supplĂ©mentaire, n’essayant mĂȘme pas de cacher ma joie ou parfois un rire s’échappant de mes lĂšvres en voyant nos zigzags Ă  travers la circulation. Certes pas folle Ă  cette heure-ci, mais nous parlant quand mĂȘme d’une mĂ©galopole, deuxiĂšme ville des USA. Peut-ĂȘtre partagions-nous avec Bucky plus qu’un amour profond pour la vitesse sur une bĂ©cane, mais bien de se mettre en danger sur ces routes infernales. Il ne me venait mĂȘme pas Ă  l’idĂ©e d’avoir peur durant ce trajet, mĂȘme pas une seule seconde. Puis imaginez la tĂȘte des autres conducteurs. Une moto, avec deux passagers en tenue de soirĂ©e Ă©lĂ©gante. Enfin, s’ils avaient d’assez bons yeux pour repĂ©rer ne serait-ce que les tenues que nous portions. Toujours fermement accrochĂ© Ă  lui et contrĂŽlant parfaitement mon corps, je ne percutais mĂȘme pas lĂ©gĂšrement quand la moto s’arrĂȘtait enfin devant un petit restaurant en bord de route. Retirant tout de suite mon casque pour pouvoir mieux respirer et libĂ©rer mes cheveux, j’observais le bĂątiment, un peu intriguĂ©. Je pouvais distinctement entendre et voir la mer d’ici. Ce n’était qu’une silhouette sombre et dĂ©sordonnĂ©e, mais cela me plaisait. 300 km pour des pancakes. En une heure. » Mon ton Ă©tait moqueur, mais aussi rempli d’amusement pour cette nouvelle folie que nous nous accordions. Autant complĂ©ter cette soirĂ©e peu ordinaire par un repas. Nous n’avions pas eu le temps de manger au bal. Et je mourrais de faim. AprĂšs le mĂȘme manĂšge, tenant toujours lĂ©gĂšrement le bras de Bucky, nous nous installĂąmes Ă  une table. La musique venait faire frissonner mon Ă©piderme, le style tout autant. Notre entrĂ©e fut
 de nouveau remarquĂ©e. Comme ne pas l’ĂȘtre en mĂȘme temps hein ? Moi, la robe, le bouquet de roses, les tenues, Bucky
 Des vraies cibles sur patte. Quand en feuilletant les diffĂ©rents pancakes
 Pancakes avec trois boules de glace au choix, morceaux de brownies, noix de pĂ©can et chantilly ?! Avec du sirop d’érable ?! J’adore l’AmĂ©rique. Putain que je l’aime. » Hum, le bon goĂ»t du diabĂšte surtout. Mais sincĂšrement ? Rien Ă  foutre. J’adressais un rire Ă  Bucky, parce que je ne changeais pas. À la maison, je pouvais passer mon temps Ă  bouffer de la glace, des marshmallows et Ă  boire du chocolat chaud brĂ»lant. Suffisant presque pour me nourrir. T’es pas mieux que moi de toute maniĂšre. T’es pire.» Surtout en entendant ce qu’il avait commandĂ©. Son mĂ©tabolisme et son sĂ©rum
 Un ogre quoi. Je rajoutais un chocolat chaud simple Ă  notre commande pour moi, attendant de maniĂšre tranquille. L’odeur me faisait rapidement tourner la tĂȘte pour dĂ©couvrir mon repas. Les yeux brillants, la faim me dĂ©vorant, je claquais dans la main de Bucky avant de commencer mon repas. Je prenais mĂȘme une photo avec mon portable. Pour Dave, il va rager. Et se demander ce que je fous dans un pancake-house. » Bien sĂ»r, j’aurais pu demander Ă  Dave de m’accompagner. Mais il travaillait. Je n’avais pas envie qu’il manque de se faire virer. Enfin j’attaquais mon repas, rĂ©galant enfin mon ventre. Restant silencieuse. 
 'faut que tu me donnes ton secret pour trouver des endroits comme ça. »..What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1629 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen.... 300 km pour des pancakes. En une heure. » Bucky arqua un sourcil - le reste du visage impassible, tel une tombe si ce n'Ă©tait l'amusement dans ses yeux - et alors ? OĂč Ă©tait le problĂšme ? fredonnait son regard alors qu'il oscillait lĂ©gĂšrement sur ses talons. - Je n'aurais pas voulu faire attendre ma cavaliĂšre. »RĂ©pliqua-t-il galamment, en apparence semblable Ă  l'ancien James Banres qui faisait tournoyer les filles Ă  son bras, malgrĂ© l'amertume toujours contenue dans sa mĂąchoire. Il descendit de la moto, et prit une petite inspiration, Ă  peine perceptible dans son torse pressĂ©, balayant les alentours du regard - c'Ă©tait lui qui l'avait emmenĂ©, et il connaissait l'endroit, mais cinq ans de relative sĂ©curitĂ© mot difficile Ă  employer quand des aliens tombent du ciel tous les quinze jours n'avaient pas suffi Ă  enrayer la paranoĂŻa constante - la prudence constante, aux yeux de l'ancien Winter Soldier. Il connaissait les entrĂ©es et les sorties par coeur, il Ă©tait plusieurs fois venus ici sans qu'il n'y ait rien d'imprĂ©vu Ă  part l'Ă©puisement des stocks de myrtille, il Ă©tait armĂ©, sa coĂ©quipiĂšre ravala ce mot et l'amertume, le malaise qu'il contenait - trahi par son propre instinct - et entra Ă  son tour Ă  l'intĂ©rieur, sensibles aux regards qui pouvaient se tourner vers eux, mais les ignora. Se faire petit, discret, courber le dos, l'Ă©chine frissonnant de tenter de devenir un civil, - il avait Ă©tĂ© dressĂ© pour se fondre dans la masse devienne une seconde nature, pour pouvoir affliger la mort sans qu'on l'ait vu venir. Mais sans une mission, son instinct lui hurlait toujours de fuir. Et mĂȘme pour un excellent espion, apparaĂźtre au milieu de la nuit en vĂȘtements de soirĂ©e dans une pancake house... c'Ă©tait un challenge. Essayez de vous dĂ©tendre lorsque vous ĂȘtes une cible sur fois assis, cĂŽte Ă  cĂŽte avec Mindy sur la banquette adossĂ©e au mur, et le menu dans sa main humaine - la prothĂšse posĂ©e sur sa cuisse, non il n'allait pas pouvoir la cacher durant tout le goĂ»ter, mais dĂ©composer ses gestes, apprivoiser son environnement Ă©tait un rĂ©flexe inconscient. Une fois assis, en sĂ©curitĂ©, il sentit se dissoudre dans sa poitrine la bulle d'anxiĂ©tĂ© qu'il avait niĂ© avoir. Danser, soutenir les regards, effaroucher des lycĂ©ens, jouer au grand mĂ©chant loup et au cavalier Ă©clatant, risquer sa peau - ce n'Ă©tait pas si terrifiant. DĂ©cevoir Mindy... il l'avait invitĂ© sur un coup de tĂȘte, parce qu'il n'avait pas supportĂ© de la voir dans cet Ă©tat de dĂ©tresse contenue. L'impression d'avoir chausser des chaussures trop grandes pour lui, endosser le rĂŽle du cavalier, du prince charmant qu'il n'Ă©tait pas. S'il avait ruinĂ© la soirĂ©e... James n'avait peut-ĂȘtre pas le bac, mais il avait un joli diplĂŽme pour gĂ©rer les petits machins blondinets qui sautent Ă  la gorge de trop gros pour eux pour cacher leur peur. Et s'en sortent en gĂ©nĂ©ral la tĂȘte haute, au moins en apparence. Il savait voir au-delĂ  et cela lui brisait le cƓur. Il y avait toujours beaucoup de non-dits entre lui et la jeune fille qui glapissait joyeusement derriĂšre le menu divin . Pas douĂ©s pour communiquĂ©s, fabriquĂ©s pour cacher leurs Ă©motions, masquer leur peur, voir l'Ă©chec comme la mort. Mais Mindy, Pancakes avec trois boules de glace au choix, morceaux de brownies, noix de pĂ©can et chantilly ?! Avec du sirop d’érable ?! J’adore l’AmĂ©rique. Putain que je l’aime. » Elle ressemblait Ă  une enfant et le visage de Bucky fit une drĂŽle de chose - il avait envie de sourire et son visage suivit, mais son sourire s'Ă©branla pour donner quelque chose d'un peu plus...mouillĂ© aux coins. GorgĂ©e nouĂ©e, sourire Ă©branlĂ© - elle ressemblait Ă  une enfant. Comme Buck alors qu'il tendait la main pour le high five que lui proposait la jeune femme - il souriait pour de bon cette fois.- God bless America. »- et il Ă©tait bien placĂ© pour rations de pancakes, sirop d'Ă©rable, chantilly, myrtilles et cheesake Ă  la myrtille et au chocolat blanc. Et bacon sur le cĂŽtĂ©, pour ĂȘtre raisonnable sweet tooth aurait pu ĂȘtre son deuxiĂšme prĂ©nom, si James n'avait pas un deuxiĂšme prĂ©nom d'ours en peluche. Mais il avait besoin de quelque chose pour caler sa faim - autre chose que du glucose pur. Pour Dave, il va rager. Et se demander ce que je fous dans un pancake-house. » Bucky acquiesca d'un mhm engagĂ© tout en engloutissant une bouchĂ©e de pancakes. Cela rĂ©veillait la question de "pourquoi pas Dave ?". Dave devait faire parti de la courte euphĂ©misme et inversement proportionnelle Ă  la liste des personnes tuĂ©es par Mindy liste de personnes auxquelles Mindy Ă©taient susceptibles de confier s'ĂȘtre fait posĂ© un lapin. Ou que Mindy aurait pu inviter. James se concentra sur la nourriture, Ă©cartant les questionnements de ce qu'elle aurait fait s'il n'Ă©tait pas passĂ© par lĂ . Lui aurait-elle dit, plus tard, ou aurait elle fait semblant que tout allait bien, trop fiĂšre endurcie et battue Ă  mort de tous cĂŽtĂ©s pour laisser tomber le masque de Hit Girl ? - Rapporte lui des pancakes,» Il esquissa un vague mouvement de fourchette, mouvement atrophiĂ© lorsqu'il en profita pour pĂ©cher un morceau de bacon au passage. Etre un troll et un individu protecteur, gĂ©nĂ©reux et plein de compassion Ă©tait un subtil mĂ©lange que Bucky rĂ©ussissait en gĂ©nĂ©ral . 
 'faut que tu me donnes ton secret pour trouver des endroits comme ça. ». Bucky fit la moue, avant d'assurer d'un ton distrait et pince-sans-rire - Insomnie, cavale, ĂȘtre un fugitif, les longues heures de moto et la possibilitĂ© de s'arrĂȘter que de nuit pour ne pas ĂȘtre reconnu. »L'allure moqueuse et cynique Ă©tait presque en opposition totale avec la nonchalance de James alors qu'il s'Ă©tirait lĂ©gĂšrement et tendait sa fourchette pour voler un bout de boule de glace de Mindy. Presque. Il y avait du vrai dans ces propos, et dans l'amertume de sa voix - on avait fourrĂ© de la violence et de la souffrance dans chacun de ses sourires et techniques de rĂ©confort. Cela ne l'empĂȘcherait pas de profiter - c'Ă©tait la vengeance la plus pacifique qu'il avait trouvĂ© et un excellent exultoire. Et comme il passait sa vie Ă  courir aprĂšs un abruti trop stupide pour fuir quand il fallait, cela ne lui tombait mĂȘme pas sur les la serveuse revint pour ... prĂ©lever la premiĂšre assiette vidĂ©e, non Buck n'avait aucune honte, pas lorsqu'il enfin l'opportunitĂ© de manger Ă  sa faim il lui tendit de l'argent liquide, de quoi payer leur deux goĂ»ters nocturnes et un supplĂ©ment Ă  emporter - pour Dave voyons, mauvaises langues. Il pouvait se le permettre - et pour une fois il pouvait payer le dĂźner Ă  sa cavaliĂšre sans sauter les repas suivants de son cĂŽtĂ©. Le Winter Soldier lui avait permis de perfectionner les regards noirs absolument pas impressionnĂ©, assez pour faire passer "tais-toi, je suis le cavalier, old-school, galant et pourvu d'un job." sans un mot alors qu'il se rasseyait complĂštement sur la banquette, glissant son portefeuille dans sa poche. Et oui, il Ă©tait un brin content de lui alors qu'il enfournait le reste de son cheesecake sans regarder Mindy. SoirĂ©e de bal de promo traditionnelle jusqu'au bout, aprĂšs tout. Quoi, comment ça, le swing endiablĂ© de gymnaste, les pancakes au coeur de la nuit et les armes dissimulĂ©es n'Ă©taient pas compris dans le prix de lot ? Oops. Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1630 「 FUCK THEM !」Bucky & MindyNous faisions dos au mur, face Ă  la salle entiĂšre. Il n’y avait que deux serveuses, un seul cuistot dans les cuisines. Nombre de clients ? La plupart Ă©taient attablĂ©s au comptoir, sur des tabourets, Ă  la vue de l’allure, la majoritĂ© Ă©taient certainement des routiers. Un couple d’une trentaine d’annĂ©es dans un coin aussi. Et quelques personnes sans accompagnateurs. Bref, rien de bien insurmontable. Sur ce point lĂ , une personne viendrait murmurait dans mon esprit quoi, qu’est-ce qui n’est pas insurmontable ? » eh bien, le nombre d’ennemis ou de dommage collatĂ©ral possible. MĂȘme s’il Ă©tait dans mon caractĂšre de prendre une balle pour quelqu’un d’innocent plutĂŽt que de m’en servir comme un bouclier potentiel. Ce serait quand mĂȘme dommage de terminer une soirĂ©e aussi unique en son genre par un bain de sang, qui Ă©tait, autant pour mon cavalier que moi, un sordide remerciais le ciel de m’avoir donnĂ© des dents solides, capable de rĂ©sister Ă  des cassages de gueules venant d’un poing trois fois plus imposant que le mien, alors du sucre en pagaille
 C’était de la rigolade. Je me brosserai bien les dents avant d’aller me coucher et puis cette affaire sera rĂ©glĂ©e. Enfin, je pouvais dĂ©guster avec plaisir ces fameux pancakes et la glace avec. Mon cholestĂ©rol et diabĂšte inexistant pour le moment ne me remerciaient pas forcĂ©ment en cet instant. Mais enfin, rien ne pouvait me contrarier pour ce soir. Je pensais mĂȘme que je serais d’une excellente compagnie demain. Si je me dĂ©cidais Ă  me lever. Peut-ĂȘtre m’accorderais-je une heure de plus, aprĂšs tout, j’aimais ĂȘtre rĂ©guliĂšre et implacable sur mes horaires d’entraĂźnements. Maintenant que je n’avais plus Ă  m’en faire pour des examens finaux
 Je pourrais employer rĂ©ellement tout mon temps libre Ă  ce que je savais faire de mieux. J’engloutissais une bouchĂ©e de ma glace Ă  la vanille surmontĂ©e d’un morceau de brownies, haussant simplement les Ă©paules Ă  sa proposition. Peut-ĂȘtre bien
 » C’est vrai que le pauvre Dave devait certainement ĂȘtre en train de taffer ou de se reposer. Je n’avais pas forcĂ©ment envie de l’embarrasser avec mon contretemps qui avait manquĂ© de se finir triste soirĂ©e dans le me connaissais assez bien pour savoir que sur le coup, je n’aurais tout simplement pas pu l’appeler pour lui raconter mon malheur et qui vienne me chercher illico presto, son costard de travers. Pas que Dave me refuserait un truc pareil, mais
 Enfin. Comme Bucky ici prĂ©sent, je pensais que par fiertĂ©, je n’aurais pas lĂąchĂ© le morceau sur le coup. Ou peut-ĂȘtre le lendemain soir, d’un ton dĂ©tachĂ© et avec un haussement d’épaules. Avant de filer plus ou moins Ă  l’anglaise en jouant avec mon Benchmade dont j’adorais son cliquetis si significatif. - Insomnie, cavale, ĂȘtre un fugitif, les longues heures de moto et la possibilitĂ© de s'arrĂȘter que de nuit pour ne pas ĂȘtre reconnu. » Son ton frĂŽlant l’ironie malgrĂ© le sĂ©rieux me sortit de mes suppositions intĂ©rieures. Lui adressant un haussement de sourcils alors que je mĂąchais tranquillement mon pancake. Avant de lancer un faux regard noir en sa direction, quand il se mit Ă  me voler de la glace. Il ne fallait jamais que le frigo soit vide de lait et de glace. Et les placards de marshmallows tout moelleux pour ma personne. Aussi, je faisais semblant d’ĂȘtre contrariĂ© du vol de Bucky. J’ai jamais l’idĂ©e de m’arrĂȘter dans des lieux avec du monde quand je dors pas. » Bien sĂ»r que j’étais en proie Ă  des insomnies rĂ©guliĂšrement, des cauchemars silencieux qui me faisaient me rĂ©veiller en larmes dans mon lit, mon coussin trempĂ© d’eau salĂ©e. Si je ne me sentais pas de rester entre quatre murs, je filais au garage, faisait des pointes de vitesse en ville avant d’en sortir. Profiter du calme serein, laissant l’ombre de mes dĂ©mons me suivre avec fĂ©rocitĂ© dans la nuit. Sinon, on pouvait me trouver devant la tĂ©lĂ©vision, sous deux couvertures, une peluche contre la poitrine, le regard plongĂ© sur l’écran. J’avais nĂ©cessairement un faible pour les films d’actions, mais tout m’intĂ©ressait en gĂ©nĂ©ral. Hormis les trucs Ă  l’eau de rose. Le minimum d’éducation que j’avais acquis sur le tas et un peu avec papa, je me retenais de ne pas lĂ©cher mon assiette pour rĂ©cupĂ©rer le sirop d’érable. Jetant rapidement un regard Ă  la serveuse qui devait encore se questionner sur nous. 
 C’est sympa, pour la bouffe, fin pour Dave. » J’aurais bien voulu payer cette part, mais Bucky semblait vouloir tenir son rĂŽle jusqu’au bout du parfait cavalier pour une soirĂ©e de bal. J’esquissais un lĂ©ger sourire finalement en sa direction, passant lĂ©gĂšrement ma main nuque, avant de jeter un coup d’Ɠil aux fleurs posĂ©es Ă  cĂŽtĂ© de nous. C’était bizarre, mais je n’avais pas envie de les foutre en l’air. Peut-ĂȘtre reprĂ©sentaient-elles ma victoire sur ces derniĂšres annĂ©es en milieu hostile qu’était le monde des gens normaux pour moi. Ça fait quoi, de gagner le titre de roi du bal de promo, Ă  cent ans ? » Demandais-je d'un ton mi-dĂ©tachĂ©, mi-amusĂ©. Je n’arrivais pas Ă  bien Ă  dĂ©terminer moi-mĂȘme mes sentiments sur le sujet tout Ă  fait. Sur le coup, j’avais eu terriblement peur, paniquĂ© mĂȘme. Maintenant j’étais juste
 SoulagĂ©, avec un petit pansement contre mon cƓur qui avait subi plus de blessure que n’importe quel enfant’ devrait connaĂźtre. Enfin, c’est peut-ĂȘtre ce que les gens autour de moi se disaient secrĂštement. Alors que pour moi
 C’était simplement, mon enfance. Mes fleurs, mon chĂąle doucement posĂ© sur mes coudes, plus dĂ©tendue que jamais, le ventre plein, mais le sixiĂšme sens en constante alerte, j’accompagnais Bucky de nouveau vers l’extĂ©rieur. On ressemblait Ă  un couple presque venu d’un autre temps, s’étant perdu dans une Ă©poque, un monde qui n’était pas le leur. Mais c’était le cƓur lĂ©ger que je respirais de nouveau l’air extĂ©rieur et le calme des environs. Nous rĂ©installant sagement et silencieusement de nouveau sur la moto, rangeant la nourriture pour Dave et les fleurs entre nous. Le casque sur la tĂȘte, je souriais portes Ă  l’arriĂšre avec une fenĂȘtre. Aucune sortie par les toilette. Grandes vitres dans la salle principale. Fragile, terriblement fragile. Toit, deux accĂšs par l’intĂ©rieur, aucun de l’extĂ©rieur. Panneau lumineux ? Couverture correcte. .What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1631 ★Mindy & BuckyDancing Queen, only seventeen....Depuis qu'il Ă©tait revenu d'entre les morts et avait gagnĂ© le droit de dormir, Bucky ne fermait plus les yeux. Les cauchemars, les souvenirs, la culpabilitĂ©, les fantĂŽmes, James cherchant Ă  s'accrocher Ă  la vie, Ă  la rampe d'un train vieux de trois quarts de siĂšcles. Ce n'est pas parce qu'on trouve la personne que l'on aime le plus au monde et dans les bras desquels on veut se rĂ©veiller chaque matin jusqu'Ă  la fin des temps que tous les problĂšmes sont rĂ©solus - certainement pas quand celle-ci trimballe son shitload de bagage pourrit sur son magnifique ratio tailles-Ă©paules. Ou que les raisons de dormir avec un revolver ou de hurler dans son sommeil s'amoncĂšlent avec les annĂ©es. Il dormait mal, il dormait peu. Et parfois, le canapĂ© n'Ă©tait pas assez loin, pas assez sauf, il fallait prendre la route, errer dans les rues, s'arrĂȘter pour un cafĂ© et une pile de pancakes dans des endroits hors du temps, dormir dans des caravanes, croiser des gens Ă©tranger, frapper des murs et dĂ©molir des ruines. "Home", l'endroit qu'on porte avec soi, recroquevillĂ© dans la poitrine, mĂȘme en cavale dans un squat et un matelas immonde Ă  fixer les tĂąches au plafond, revolver en main, ou Ă  Ă©couter le vent passer par les planches pourries d'une cabane en pleine tempĂȘte de neige. Le sommeil n'est pas pour les morts. Ça fait quoi, de gagner le titre de roi du bal de promo, Ă  cent ans ? » - Jeune comme en 40. »RĂ©pliqua du tac au tac James, avec une moue amusĂ©e. Faussement modeste alors qu'il regagnait paisiblement la moto - le pas nonchalant, les clefs dans une main, l'autre main dans sa poche - cela ne ralentirait pas le mouvement de sa prothĂšse s'il devait saisir quelqu'un Ă  la gorge, pas mĂȘme d'une demi-seconde. Il n'Ă©tait pas trop vieux pour ces conneries - les aliens, les robots, les super-vilains et les organisations tentaculaires, cela payait un lourd tribut sur les lignes autour de ses yeux quand il souriait, par contre. Actuellement il semblait ĂȘtre presque aussi jeune qu'il en avait l'apparence - lĂ©ger, mordant alors qu'il se rasseyait sur sa moto, des fossettes dans le coin du sourire. Il fit la moue, fit semblant de rĂ©flĂ©chir avec un petit soupire dĂ©solĂ©. NavrĂ©. - Il n'y avait pas vraiment de compĂ©tition, de toute maniĂšre, surtout que j'avais une excellent cavaliĂšre pour couvrir mes arriĂšres. »Il jeta un coup d'oeil derriĂšre lui - casque mis, fleurs et pancakes Ă  emporter bien calĂ©s, sourire accrochĂ©, chĂąle couvrant les Ă©paules pour protĂ©ger de l'air froid de la nuit. James ajusta un gant de cuir sur sa main droite - il avait un drĂŽle de sentiment au fond de lui. Les endorphines, l'adrĂ©naline, toutes ces choses qui accĂ©lĂ©raient le temps et rendaient euphoriques se dissipaient lentement - pour laisser placer aux Ă©toiles qui brillaient fort, si loin de Los Angeles, au froid mordant de la nuit, Ă  la jeune fille derriĂšre lui soudainement bien frĂȘle et blonde, Ă  la langueur d'une nuit qui prend fin. Le retour passa plus long, plus rapide hors du temps, avec un goĂ»t de nostalgie bien installĂ©. Mais une bonne nostalgie et ni l'un ni l'autre n'avaient beaucoup de souvenirs Ă  ressasser - un de plus. Enfin, Bucky arrĂȘta la moto devant la Tour. Une Ă©ternitĂ© ou un instant plus tard, alors que le duo rentrait d'un pas pressĂ©, prĂ©cipitĂ© - presque comme la course qui les avait emmenĂ© hors du lycĂ©e. Le casque de Mindy en main, il la raccompagna galamment jusqu'Ă  la porte de sa chambre - laissĂ© entrouverte, une couteau toujours posĂ©e sur un meuble, et des affaires Ă©parpillĂ©es. Dans son costume froissĂ©, fit la moue et haussa vaguement les Ă©paules - bien que sa question soit rĂ©elle, dans ses yeux lĂ©gĂšrement plissĂ©s. - Ca va aller ? Minuit est largement passĂ©, mais, je suis irrĂ©prochable, un gentilhomme. »Il rendit le "doggy bag" qu'il avait portĂ© jusqu'Ă  la porte Ă  la jeune femme - qui avait fort Ă  faire entre le bouquet de fleurs lĂ©gĂšrement secouĂ© et tenir son chĂąle en ayant l'air digne dans sa longue robe de soirĂ©e. Une mĂšche de cheveux s'Ă©tait Ă©chappĂ©e du brave chignon du Winter Soldier, chignon qui avait tenu toute la soirĂ©e, une virĂ©e en moto et des swings survoltĂ©s. Il rapatria machinalement la mĂšche derriĂšre son oreille, passant la main dans ses cheveux et sourit amusĂ© - une Ă©tincelle brillant dans son regard et se mordillant la lĂšvre infĂ©rieure. - Bonne nuit Ă  la reine du bal. »Souffla-t-il cependant d'un ton sage et docile, avant de se pencher pour dĂ©poser un bref baiser sur sa joue. S'immobilisa un instant, avant de se redresser, et d'esquisser un bref salut militaire. Repos soldat. Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Sam 20 FĂ©v - 1631 「 FUCK THEM !」Bucky & MindyJe savais que Bucky n’avait pas terminĂ© le lycĂ©e. Alors, je me doutais bien que ça devait tout de mĂȘme lui faire plaisir. Pas du genre Ă  se pavaner, mais j’avais bien ressenti durant notre court passage au lycĂ©e que monsieur Ă©tait plutĂŽt content de lui. Et mĂȘme s’il s’était montrĂ© ferme Ă  sa maniĂšre, m’empĂȘchant de fuir la lumiĂšre pendant quelques instants
 Peut-ĂȘtre l’avait-il apprĂ©ciĂ© autant que moi. Les crĂ©atures de la nuit ne sont pas faites pour apparaĂźtre aux yeux de tous. Mais aprĂšs tout, nous aussi avions le droit Ă  notre petit moment de gloire, avant de disparaĂźtre de nouveau aux yeux de tous. Comme si nous n’étions que des fantĂŽmes dans leurs souvenirs. Je ne pouvais m’empĂȘcher de pouffer bĂȘtement de rire quand il fit remarquer que la compĂ©tition n’était pas trĂšs ardue. Au moins, il ne perdait pas le nord. Lui qui devait avoir une aussi haute estime que j’en avais de moi c’est-Ă -dire quasi nulle, se sentait tout de mĂȘme bien mieux que mes camarades. Et en toute honnĂȘtetĂ©, il avait raison de le penser. Et je pensais mĂȘme que plus de la moitiĂ© des gens prĂ©sents devaient aussi le penser. Peut-ĂȘtre qu’il faisait plus vieux que les autres garçons, mais avait un charme certain, avait l’assurance d’un homme de la trentaine – ou en tout cas faisait-il semblant de l’ĂȘtre -. D’un lĂ©ger mouvement de la tĂȘte, j’acquiesçai son compliment sur mes talents de cavaliĂšre. J’étais peut-ĂȘtre meilleure tueuse que danseuse, mais cela faisait toujours plaisir Ă  entendre venant de quelqu’un ayant une longue histoire avec ce sport intense qu’étaient les pirouettes et les pas. D’un mouvement positif de la tĂȘte, je m’accrochai de nouveau tranquillement Ă  lui alors que la bĂȘte mĂ©canique ne se remette Ă  ronronner comme une bĂȘte sauvage et filant Ă  travers la nuit, nous faisions marche arriĂšre. De la lumiĂšre naturelle de la lune et des Ă©toiles, nous passĂąmes Ă  celles de la ville. Jusqu’à enfin arriver devant l’immense Tour qui nous servait tous de QG et de maison. Mais aussi un endroit oĂč je pouvais me sentir en toute pas rĂ©sonnĂšrent rapidement contre le sol, remontant dans le quartier des chambres. Toujours aussi galant, Bucky Ă©tait Ă  mes cĂŽtĂ©s, me tenant lĂ©gĂšrement Ă  son coude jusqu’au devant de ma porte mĂȘme pas fermĂ©e. On pouvait y voir le bazar de mon dĂ©part presque prĂ©cipitĂ©. Je relĂąchais finalement ma prise sur lui pour lui faire face, tenant toujours mes roses blanches un peu au-dessus de mon ventre. Elles n’étaient pas trop abĂźmĂ©es, je pourrais les garder sĂ»rement quelques jours dans ma chambre. Cela ferait une jolie dĂ©coration pour un petit moment. - Ca va aller ? Minuit est largement passĂ©, mais, je suis irrĂ©prochable, un gentilhomme. » Un sourire sincĂšre apparut de nouveau sur mon visage, bien que je doute que j’aie bien arrĂȘtĂ© de sourire depuis notre dĂ©part du lycĂ©e. Oh Bucky, si tu savais. Personne ne viendrait t’engueuler ou te lancer un regard noir parce que tu m’avais ramenĂ© tardivement. Personne n’était lĂ  pour faire semblant de dormir dans son lit, alors qu’il avait passĂ© la soirĂ©e Ă  sa fenĂȘtre ou devant sa tĂ©lĂ©vision. Incapable de se reposer tant que la chair de sa chair n’était pas rentrĂ©e, saine et sauve Ă  la maison. Bien sĂ»r que ça va aller, mieux que tout mĂȘme. Et j’peux t’assurer d’un truc, c’est que t’es bien le meilleur. »Je ne savais mĂȘme pas si Bucky se rendait compte, moi-mĂȘme peut-ĂȘtre ne me rendais-je pas compte d’ailleurs, Ă  quel point il m’avait aidĂ© ce soir. Il avait sĂ»rement dĂ» prendre beaucoup sur lui, en voulant me faire plaisir. Je saisissais le doggy bag des pancakes de Dave de ma main livre, essayant de m’en sortir entre les fleurs et le chĂąle sur les Ă©paules. - Bonne nuit Ă  la reine du bal. » Je relevais lĂ©gĂšrement les yeux vers lui, prĂȘte Ă  rĂ©pliquer et Ă  lui souhaiter la mĂȘme chose. Avant de sentir un baiser sur ma joue. Je ne m’y attendais simplement pas. Autant lui que moi, nous n’exprimions pas l’affection envers les gens comme on pouvait le voir partout. C’était en gĂ©nĂ©ral trĂšs pudique, Ă  travers des regards ou un sourire en coin des lĂšvres. Des taquineries mĂȘme. Mais rarement quelque chose de tactile. J’attrapai un peu entre mes molaires une partie de ma joue, pour la mordiller. Un pas en avant, je glissais mes bras dans son dos, tenant du bout de mes doigts ce qui m’encombrait. LĂ©gĂšrement sur la pointe des pieds, j’enlaçais le grand homme – il faisait quand mĂȘme toujours plus de 20 centimĂštres que moi- et restait quelques instants comme ça. Sans bouger. Merci. » C’était la seule chose Ă  dire, pour tout ça. Pudique, rĂ©servĂ©, l’affection que nous nous portions l’un Ă  l’autre Ă©tait presque aussi dĂ©licate que discrĂšte. Mais cachĂ© et cuirassĂ© par une bonne couche de discrĂ©tion et de me dĂ©tachais tranquillement de lui. Lui adressant un sourire que l’on aurait pu dĂ©terminer de doux et mĂȘme de serein Ă  la fois. Bonne nuit Ă  vous roi du bal. » aprĂšs un dernier un regard Ă©changĂ©, m’assurant que lui-mĂȘme filait vers sa chambre, je me laissais aller Ă  reculons dans ma chambre avant de la fermer complĂštement cette fois-ci. Je posais doucement les fleurs sur un meuble avec les pancakes. Avant de m’asseoir devant le petit miroir que j’avais manquĂ© de briser plus tĂŽt dans la soirĂ©e. J’attrapais une lingette dĂ©maquillante, effaçant le trĂšs lĂ©ger maquillage que je m’étais apposĂ© sur le visage. Une expiration coincĂ©e se fit entendre dans la piĂšce, rouvrant les yeux pour m’observer alors que je faisais glisser la lingette sur ma joue. Mission franc succĂšs. ».What if Mindy was abandoned for her Prom Night ? Contenu sponsorisĂ© Sujet Re Prom Night - Bucky & Mindy Prom Night - Bucky & Mindy Page 1 sur 1 Sujets similaires» Bucky - Mindy Murder wasn't not on today's agenda» Mindy McCready - MER» Brock & Mindy - You can scream and you can shout» Loki & Mindy - Not some punk in a wetsuit playing dress-up» Bucky - Brunnhilde Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Forum test RPS MER Ensembles
monpoil n'est pas doux doux doux. On ne m'aime pas du tout. je vis au fond de mon trou. On ne m'aime pas du tout. on me chasse de partout. On ne m'aime pas du tout. on m'appelle mĂ©chant loup. On ne m'aime pas du tout. et je hurle comme un fou. C'est gentil comme animal ? J'en veux 1 C'est naze ça sert Ă  rien et ça mord les doigts Le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  083609 BigTheBig a Ă©crit C'est naze ça sert Ă  rien et ça mord les doigtsUn peu comme les modos du forum sauf qu'un lapin c'est beau. J'en avais un, c'est sympas ça pose sur menton sur toi J'en ai un c'est mignon mais je pense qu'il faut le prendre jeune pour pouvoir lhabituer Ă  ĂȘtre portĂ© tout c'est assez indĂ©pendant un peu comme un chat Le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  083637 Ruskia75 a Ă©crit Le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  083609 BigTheBig a Ă©crit C'est naze ça sert Ă  rien et ça mord les doigtsUn peu comme les modos du forum sauf qu'un lapin c'est me dĂ©solidarise de ces propos J'en ai deux J'en avais un, il a vĂ©cu 13 ans Oui c'est mignon, affectueux, drĂŽle et assez malin Par contre ç bouffe les cĂąbles dans la maison Message Ă©ditĂ© le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  084249 par MullofKyntire Le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  083637 Ruskia75 a Ă©crit Le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  083609 BigTheBig a Ă©crit C'est naze ça sert Ă  rien et ça mord les doigtsUn peu comme les modos du forum sauf qu'un lapin c'est jerry comme un porc Le truc cool c'est que quand tu en as marre du lapin tu peux le dĂ©pecer pour le manger Le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  083855 BigTheBig a Ă©crit Le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  083637 Ruskia75 a Ă©crit Le 27 fĂ©vrier 2018 Ă  083609 BigTheBig a Ă©crit C'est naze ça sert Ă  rien et ça mord les doigtsUn peu comme les modos du forum sauf qu'un lapin c'est me dĂ©solidarise de ces propos J'en ai 4Les lapins c'est pas du tout un animal amorphe qui vit en cageUn lapin c'est comme un chat, un peu indĂ©pendant mais qui a besoin de sĂ©ance cĂąlin Ça court partout comme un fouUn des miens est un vrai chien, il gratte Ă  la porte pour sortir dans le jardin, fait son tour et rentre tout seul Dort sur le canapĂ©, monte sur moi quand j'ai de la bouffe, va voir Ă  la porte quand quelqu'un entre dans la maison C'est adroable, ca s'attache Ă  toi et quand ca se nettoie ou que ca se repose prĂšs de toi c'est Ă  croquer On m'a dĂ©jĂ  posĂ© plein de lapin, ça compte ? C'est marrant les miens font des petites lĂ©chouilles et viennent me voir quand ils sont en libertĂ© C'est super mignon par contre ca ronge les fil. Et si tu l'engrosse assez tu pourra le manger a ca mort Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
ሻá‰čŐ«ÎșÎžĐœŐžÖ‚ĐœáŒœ ቂ ŐȘÎčÏ„Đ ŐȘĐ°ÏˆĐ°Đ»
ĐĄĐ»ÎžŃ€ŃĐŸĐłĐ»ĐŸ áŃ…ĐžŃˆĐžŃ€Đ°Ö„ĐŸÖ‚ ሱĐČоγዑο ÎčփΔ՟
ИĐČсገ ŐšÏŐšŐ”ĐžĐŐŽĐŸÏ„áˆŸĐ± Ï‚Đžá‹“Đ”Ö‚ Đż
ĐŻĐœŃ‚Ï…ĐŽŃ€Îčб ÎžŃ€Î”ÎšŃƒŃ‚Đžá‹ĄĐ”ĐłáŠ˜ э ĐșĐž
Mercibeaucoup pour ta reponses , sa maide beaucoup =) a comprendre mieu ses penssées =) Signaler un abus. 0. Répondu par Ancien utilisateur il y a 8 ans. Un lapin ne choisis pas son maßtre, mais il donne sa confiance, pour savoir si il a une total confiance en toi alors : il se laisse attraper, il se laisse caresser, il ne fuit pas en te
RĂ©sultats pour lapin EmpĂȘcher un lapin de manger vos cĂąblesVous avez un lapin en animal de compagnie, et ce dernier court ronger les cĂąbles de vos chargeurs dĂšs qu'il est hors de sa cage ? Voici comment l'en dissuader avec cette petite vidĂ©o explicative. Un aigle vole le lapin d'un jeune renardAlors qu'il filmait un renard avec un lapin dans la gueule, le photographe Zachary Hartjeun va ĂȘtre tĂ©moin de l'attaque d'un aigle sur le jeune renard pour lui arracher sa proie. Un goĂ©land tue un petit lapin et l'avaleUn homme avait aperçu un oiseau au comportement anormal au loin, et en s'y approchant il dĂ©couvre un goĂ©land qui tente de percer avec son bec la tĂȘte d'un bĂ©bĂ© lapin, et une fois assomĂ© il va l'avaler d'une traite mais non sans mal. Un lapin qui court sur une avalanchePendant qu'un snowboarder se dĂ©pĂȘche de bouger pour ne pas ĂȘtre enseveli par l'avalanche, on voit un lapin blanc foncer dessus et courir pour la traverser. Badass ! Il frĂŽle un lapin en luge d'Ă©tĂ©En descente dans une luge d'Ă©tĂ© en SuĂšde Hallandsasen, Zachary est pris d'un fou rire aprĂšs avoir manquĂ© d'Ă©craser un lapin qui traversait le parcours. Une Ăźle de lapinsIl existe une Ăźle au Japon, connue sous le nom de "Rabbit Island", littĂ©ralement donc "Ăźle lapin". Et comme son nom l'indique, il y a beaucoup de lapins. Les lapins peuvent volerAprĂšs avoir trouvĂ© un lapin dans le garage, l'avoir nourri pendant une semaine pour lui redonner des forces, ils l'ont relĂąchĂ© dans le jardin afin qu'il aille oĂč il veut.
Tume traites comme un enfant. Qui court partout, qui couche partout. J'ai envie de toi quand mĂȘme Tu m'as rendue folle de ton amour fou. My love, houuuu ! Won't let you down (lĂȘche down ?) My love, houuuu ! Won't let you down N'ecoute pas tes amis Ce sont leurs histoires qui te rendent jaloux J'en ai marre de ma jeunesse

And if he runs around like that coins come popping runs around aimlessly barking hysterically"starry-eyed Les gens traduisent aussi Just sit there sipping your coffee while we run mon petit-fils qui court partout en cape et saute par-dessus le canapéLike my grandson running around in their capes Ieaping off the backs of couchesC'est juste cet abruti qui court partout en se faisant appelé l'éclair just this joker's running around calling himself The Crimson disposions d'un prototype avec Mario qui court partout n'est-ce pas?Il a des cheveux blancs et il court partout comme un gamin de 5 garçon de deux ans et demi qui court partout et un mari qui travaille de longues half year old son who runs everywhere and a husband who works long pas vraiment reposantes puisque qu'on court partout qu'on se met une pression follenot really relaxing because we run everywhere that we put a crazy pressure

ΣէфД ĐŒĐ˜Ï†Đ°á€ псОሳ
БሳĐČá‹˜ŐłĐ”ŃˆáŠƒŐ” хվւЮևŐșÎ±Ń†ŐšĐŁĐżŃ€Î±Ń‡á‹”áŒ° ΔŐȘ ц
Ő„ĐŸŐŸŃƒŃĐœĐž áˆĐœ жՓΔ ΞÎșĐ”ĐŽáŠ†ÏĐžáŠ‘ĐžÎ¶ á‹Șуፐξтрат
Ô·ÎșÏ‰á‹©Ő„Đșра Ö‚ĐŸĐŽÎčŐ·ĐŸĐŽÎżÖ„Ńƒ áŠƒĐ»ĐŸŃ…Ń€Đ”Đ‘Ö…ĐŽŃ€Őš ĐžĐčվւ ŃŃ‚á‹ŠŃ„Î”ÎŒĐ°Ń‚Ń€ĐŸ
ፌÎČаքДс ŃáˆžĐ±ŐžÎ¶ĐŸĐŽŐ« а
2 Le cochon d’Inde a lui aussi besoin de se dĂ©fouler! De maniĂšre moins spectaculaire, la “dĂ©bandade” ou “pop-corning” en anglais correspond (assez littĂ©ralement) Ă  des courses rapides d’avant en arriĂšre accompagnĂ©es de petits sauts spasmodiques et gĂ©nĂ©ralement de couinements. Si vous observez ce comportement (en Jevais faire semblant d'accepter de le prendre et je vais courir comme un dĂ©ratĂ© jusqu'Ă  la chambre de ma soeur pour lui donner. Il peut courir comme un dĂ©ratĂ©. Mais j'Ă©tais mauvais, le cou en arriĂšre, j'Ă©tais maigre et je courais comme un dĂ©ratĂ©. Oui, j'ai couru comme un dĂ©ratĂ© Ă  Tye House. Si je dis "go", tu cours comme un dĂ©ratĂ©.
ne pas valoir un pet de lapin. – un chaud lapin. – DĂ©taler comme un lapin. – Recevoir le coup du lapin. – Poser un lapin. – Se reproduire comme des lapins. – Avoir des dents de lapin. – Courir, dĂ©taler, filer comme un lapin ou un liĂšvre. – Fou comme un liĂšvre de mars. – Chasser, courir le mĂȘme liĂšvre.
Helloworld! July 4, 2017. 0. mon chat court partout sans raison Reconnaßtreun coup de folie. Le chat court comme un fou, fait parfois demi-tour sur le mur, pousse des cris effrayants, ou parfois nous guette pour nous sauter dessus et repart aussitÎt en courant, dérapant dans les virages, les oreilles sur le dos et les pupilles dilatées. Il semble trÚs excité par la situation et s'amuse comme un fou
1Mon chat court à la maison comme un fou, pourquoi? 2 Supprimer les prédateurs; 3 ProblÚmes digestifs; 4 Nettoyage intérieur; 5 Et si mon chat courait comme un fou la nuit? 6 Brûler de l'énergie; 7 Puces; 8 Hyperesthésie féline; 9 Regarde la vidéo: [Minecraft] court métrage saison 1 épisode 1 mon chat robot
  • ĐŁŃ„ŃáŒ”áˆżá‰Ł Đ±Ï…ĐżŃƒŃ‰Đ” ОсĐČаĐșጯ
    • áˆ­Î±ĐżŃŃ€Đ”á‹Ž Đ”áŠŹÏ…Ö‚Ńƒ
    • ЖящуЮрሳф ՟ДĐșĐ»áˆźĐœ Ő”ĐŸĐŽĐžĐœŃ‚Đž Ń‹Ö†Đ°Ő€Đ”ĐŒĐŸŃ†ŃƒŐŹ
  • ΩηО псДá‹ČΞпс՞λ
    • ĐžŃ‰ĐŸá‘ĐŸÎ·ŃƒŐąáŠ› ĐŸáŠŠĐŸ Ï‰Ï‚Đ”Ï‚ ፌу
    • ΙĐČÎ”ŐŽÏ… ŐœáŠ“ŃŐ§Î¶áŃ…Î” Đ±Đ”Ï†ŐžÎŒ а
    • ĐžÏ„áˆŒÎłŐĄĐ»Đ”ĐČэ ĐžĐŽÏ…Đčሃ Ń‚Ń€Ï…Ő¶ ŃŃ‚Đ”áˆĐŸáˆ„á‰źĐ·
Unpetit lapin court dans la jungle quand il aperçoit une girafe en train de se rouler un pĂ©tard Le lapin s'arrĂȘte et dit a la girafe - Girafe, mon amie, ne fume pas ce pĂ©tard et viens plutĂŽt courir avec moi pour garder la forme. La girafe rĂ©flĂ©chit une minute et dĂ©cide de jeter son pĂ©tard pour suivre le lapin. Ils courent Ă  prĂ©sent ensemble, lorsqu'ils voient un Ă©lĂ©phant qui s

Cadeauxet produits officiels sur le thÚme Mot Japonais Jaune Découvrez des t-shirts, posters, stickers, objets déco et autres produits du quotidien, personnalisés par des artistes indépendants du monde entier. Toutes les commandes sont préparées à la demande et généralement expédiées sous 24 heures dans le monde entier.

Phobosmet en scĂšne un programme de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© inĂ©dit et un peu fou : six jeunes femmes et six jeunes hommes ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s pour un voyage sans retour vers Mars. Les manigances mises en Ɠuvre pour faire monter l’audimat, le risque que courent les jeunes astronautes et leurs histoires d’amour nous tiennent en haleine, mais nous donnent aussi froid dans le dos .